Impressions "Fine-art" sur papier
Il s'agit d'un processus d'impression sur papier d'art utilisant des encres pigmentaires de très haute qualité et imprimé en très haute définition. Son niveau de conservation est exceptionnel (plus de 100 ans), sa qualité, sa profondeur et sa richesse de nuances dépassent celles de l'impression photo classique sur papier argentique.

Finition brilliante
Outre son épaisseur exceptionnelle, le papier fibre est composé d'une base d'alpha-cellulose sans acide et il est recouvert de sulfate de baryum, et d'une couche microporeuse améliorant l'absorption des pigments lors de l'impression. Arborant une couleur blanc pur, ne jaunissant pas à la lumière, ce papier est spécialement conçu pour être durable dans le temps. Il est utilisé par les principaux musées du monde entier car il offre une excellente résolution et un rendu de couleurs profondes et denses.
Impression d'art "Fine Art" - Finition brillante sur papier à base de fibres 325 g.

Nos impressions et reproductions haut de gamme
ArtMajeur n'utilise que des papiers naturels au pH neutre, résistants et de haute qualité, sélectionnés par des papetiers de renom!
Une attention constante est portée par notre maître imprimeur, que ce soit en terme de contrôle des couleurs ou de respect de la chaîne graphique. Notre exigence de qualité élevée est un atout majeur pour les tirages d'art encadrés ArtMajeur.
Pour les artistes! Vous aidez les artistes à vivre de leur travail. Leurs royalties leur sont reversées chaque fois que vous achetez leurs impressions.
A propos de nos impressions-
Ce travail est une "Open Edition"
Arts numériques,
Giclée / Impression numérique
sur Panneau MDF
- Dimensions Plusieurs tailles disponibles
- Plusieurs supports disponibles (Papier d'art, Impression sur métal, Impression sur toile)
- Encadrement Encadrement disponible (Caisse américaine + sous verre, Cadre + sous verre acrylique)
- Catégories Street Art
🖋️Manifeste visuel pour un chaos lucide
— Une œuvre entre matière pauvre, mémoire saturée et geste primitif.
« Un témoignage contemporain d’un comportement primitif — et vice versa. »
Chez Belfeygor, il n’y a pas d’image sans mémoire, ni d’objet sans histoire. Il travaille comme on collecte, comme on se souvient.
Architecte éco-responsable, il est aussi peintre, sculpteur, mixeur et assembleur.
Il déchire, recycle, remonte — non pour reconstituer, mais pour révéler le tremblement des formes.
Il s’inscrit dans la filiation des artistes de l’Arte Povera :
privilégiant la matière brute, l’objet trouvé, le fragment blessé,
pour en extraire une poésie du rebut, une éthique du geste juste.
Chez lui, le déchet devient signal, le volume devient souvenir, l’image devient outil.
Ses photomontages recyclés, souvent à partir de photos glanées sur Internet ou générées par IA, sont des architectures d’images, des scènes figées d’un théâtre urbain disloqué.
Ses sculptures, faites d’objets récupérés, sont des mythes silencieux, souvent bancals, toujours habités.
Et sa peinture, souvent à l’aérographe, au doigt, ou au stylet, est méta-expressionniste :
Un langage pictural qui connaît ses racines expressives,
mais qui choisit de les détourner, de les amplifier ou de les saboter.
Il ne peint pas un cri : il peint la mémoire du cri.
Il ne sculpte pas une forme : il sculpte ce qu’elle laisse derrière elle.
Il ne compose pas une scène : il enregistre un effondrement.
📌 Références fondamentales :
Guy Debord :
« Étudier les effets spécifiques du milieu sur les émotions, c’est cartographier les blessures de la ville. »
→ La psychogéographie est omniprésente chez Belfeygor : ses cités, ses voitures, ses silhouettes ne sont jamais des objets, mais des zones émotionnelles, traversées par des flux.
Jacques Hondelatte :
« Le mythe surgit par la forme, si la forme accepte de perdre son autorité. »
→ Ses DS bleues, ses HLM effondrés, ses visages floutés deviennent des formes mythogéniques, incarnations anonymes d’un drame collectif.
🔧 Ses médiums :
Le collage visuel comme architecture du souvenir.
La peinture gestuelle comme témoin du corps en crise.
La sculpture d’objets pauvres comme acte de résistance poétique.
La MPC comme outil de mixage de sons, de textures et de silences.
🌆 Son monde :
C’est un théâtre post-industriel, habité par des formes floues, des cris coupés, des ruines sensibles.
Chaque œuvre est un fragment de rêve cassé, un morceau d’espace recyclé et rechargé d’affect.
C’est une peinture qui parle des marges, de la mémoire du geste, de la dignité des choses perdues.
Belfeygor ne décore pas. Il convoque.
Il ne représente pas. Il ressuscite.
Il ne cache rien. Il rend visible ce qu’on voulait oublier.
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Nationalité:
FRANCE
- Date de naissance : 1974
- Domaines artistiques:
- Groupes: Artistes Contemporains Français