L'exil - Villa de Tribschen 1866 (2020) Artes digitais por Béatrice Véronique Douda

Richard Wagner - L'exil - Villa de Tribschen 1866
« Je ne peux décrire l’intensité de ma peine et de mon amour pour vous. Je prie à genoux devant votre buste, je verse des larmes. »

Ainsi furent les mots du monarque Louis II de Bavière au compositeur Richard Wagner dans une lettre où il lui demande de quitter le pays.
En effet, devant les dépenses pharaoniques du roi pour le compositeur, le peuple gronde.

Retiré dans la villa de Tribschen, Wagner écrit à son royal et fervent mécène :

« De quelque côté que je me tourne c’est un enchantement. Je ne connais pas de plus beau lieu sur la terre. »

Immergé dans la création musicale, le compositeur achève alors son opéra les « Maîtres chanteurs ».
Et Cosima le rejoint dans son exil, loin du monde, exil qui prend fin en 1872.
Se profile alors, sur un vert horizon de Bavière, la silhouette imposante du théâtre de Bayreuth.

“I cannot describe the intensity of my pain and my love for you. I pray on my knees in front of your bust, I shed tears. "

So were the words of the monarch Ludwig II of Bavaria to the composer Richard Wagner in a letter asking him to leave the country.
Indeed, before the pharaonic expenditure of the king for the composer, the people are scolding.

Retired in the villa of Tribschen, Wagner wrote to his royal and fervent patron:

"Whichever way I turn it's enchanting. I don't know of a more beautiful place on earth. "

Immersed in musical creation, the composer then completes his opera “The Mastersingers”.
And Cosima joined him in his exile, far from the world, an exile that ended in 1872.
On a green Bavarian horizon then looms the imposing silhouette of the Bayreuth theater.

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