Alainjuno
Travailler, travailler encore et capter dans votre esprit en vagabondage les principales notes et couleurs qui vous rendent la vie belle.
Toutes les oeuvres de Alainjuno
PRESTIGES - Belles • 13 oeuvres
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« Femmes, Femmes, Femmes »
Collections « Belles » - « cabaret »
Un autre thème cher à l’artiste, émule[...]
« Femmes, Femmes, Femmes »
Collections « Belles » - « cabaret »
Un autre thème cher à l’artiste, émule d’Epicure est l’amour qu’il voue à la Femme, fleur parmi les fleurs de son jardin secret. Il la fait poser et lui impose souvent de véritables épreuves physiques dignes des lianes et plantes volubiles de la forêt . Une sensualité qui rejaillit dans sa peinture : jeux de couleurs et formes qui évoquent autant l’amour que le plaisir des sens. « Les vrais bonheurs de la vie ! », confie cet artiste…. aux multiples facettes.
Collections « Belles » - « cabaret »
Un autre thème cher à l’artiste, émule d’Epicure est l’amour qu’il voue à la Femme, fleur parmi les fleurs de son jardin secret. Il la fait poser et lui impose souvent de véritables épreuves physiques dignes des lianes et plantes volubiles de la forêt . Une sensualité qui rejaillit dans sa peinture : jeux de couleurs et formes qui évoquent autant l’amour que le plaisir des sens. « Les vrais bonheurs de la vie ! », confie cet artiste…. aux multiples facettes.
PRESTIGES - divers • 17 oeuvres
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« Femmes, Femmes, Femmes »
Collections « Belles » - « cabaret »
Un autre thème cher à l’artiste,[...]
« Femmes, Femmes, Femmes »
Collections « Belles » - « cabaret »
Un autre thème cher à l’artiste, émule d’Epicure est l’amour qu’il voue à la Femme, fleur parmi les fleurs de son jardin secret. Il la fait poser et lui impose souvent de véritables épreuves physiques dignes des lianes et plantes volubiles de la forêt . Une sensualité qui rejaillit dans sa peinture : jeux de couleurs et formes qui évoquent autant l’amour que le plaisir des sens. « Les vrais bonheurs de la vie ! », confie cet artiste…. aux multiples facettes.
Collections « Belles » - « cabaret »
Un autre thème cher à l’artiste, émule d’Epicure est l’amour qu’il voue à la Femme, fleur parmi les fleurs de son jardin secret. Il la fait poser et lui impose souvent de véritables épreuves physiques dignes des lianes et plantes volubiles de la forêt . Une sensualité qui rejaillit dans sa peinture : jeux de couleurs et formes qui évoquent autant l’amour que le plaisir des sens. « Les vrais bonheurs de la vie ! », confie cet artiste…. aux multiples facettes.
Ports de Provence et d'Azur • 4 oeuvres
Voir toutABSTRAITS - En Dehors du Temps • 3 oeuvres
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Depuis toujours parmis les dualitées de ma création des séries d'oeuvres abstraites ont vu le jour.[...]
Depuis toujours parmis les dualitées de ma création des séries d'oeuvres abstraites ont vu le jour. Dans les années 80 ce fût les toiles aux nuances de blancs, puis les orangés. Les années 90 ont connus les bleux, aujourd'hui, ce sont des toiles ou éclates les couleurs de l'arc en ciel...
Morpheopictura • 8 oeuvres
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Mouvement artistique contemporain issu de l’abstrait complexe mêlé à la reproduction exacte d’un rêve[...]
Mouvement artistique contemporain issu de l’abstrait complexe mêlé à la reproduction exacte d’un rêve par ses formes, couleurs et perspectives.
Il se constitue de plusieurs étapes précises :
• Manne pour Morphée : (de 1 à 2 heures)
L’artiste capte des sources d’inspiration et les répertorie dans son inconscient. Celles-ci peuvent être musiques, ouvrages, paysages, personnes ou œuvres d’art. Surtout rien de l’ordre de la technologie ou du religieux. Le dialogue ou l’intimité peuvent être de la partie, l’important étant les sensations fortes que la mémoire pourrait immortaliser ;
• Voyage dans les bras de Morphée : (de 1 à 8 heures)
L’artiste se plonge dans une longue rêverie soit en méditant soit en se reposant. Atteignant le sommeil paradoxal, il se focalise afin d’emmagasiner, dans son hémisphère gauche, chaque petit détail concernant les couleurs, les formes, la tridimensionnalité et les sensations que son subconscient lui fait ressentir et percevoir. Une fois éveillé et en pleine conscience, un premier travail peut débuter ;
• Esquisses de la main de Morphée : (de 1 à 2 heures)
Dès son retour à la réalité, et en vitesse, l’artiste reproduit au crayon, le plus précisément possible, les diverses formes abstraites qu’il a pu aborder dans ce rêve, sur plusieurs feuilles de papier, afin d’obtenir une série d’ébauches de traces épurées. Il note sur chacune les différents camaïeux et dégradés de teintes, ainsi que l’aspect de matière lié à la réalité. En conclusion, il décrit, avec des mots choisis frisant la poésie, les sentiments que lui ont procuré chacune de ses formes. Il expose, par la même occasion, les distances entre les nombreux éléments par rapport à son point de vue objectif ;
• Technologie de Morphée, de l’ébauche au digital painting : (de 3 à 6 jours)
Une fois réunies les études les mieux représentées, l’artiste les scanne une à une dans l’ordre où elles devront apparaître dans le champ visuel du spectateur, en débutant par le dernier plan. S’amorce alors un travail intense de composition sur logiciel de peinture digitale, soit sur tablette soit à la palette graphique, assisté par ordinateur. Naviguant au milieu de deux millions de pixels, un travail minutieux sur la disposition des éléments, précision des couleurs, profondeur de champs, illusion de matière, se déroule afin d’obtenir un rendu au plus proche du rêve. L’artiste n’hésite pas à retravailler avec véhémence certains petits détails infimes qui feront tout le perfectionnisme de l’œuvre en amont. Un véritable travail d’orfèvrerie ;
• Canevas de Morphée, du digital painting à la toile : (de 1 à 2 jours)
Le travail numérique terminé, puis imprimé sur feuille allant du format A4 au format A2, l’artiste se met à la toile. Suivant le prototype à la ligne près, il reproduit attentivement au crayon, à une échelle pouvant atteindre le 30/1ème selon la taille du support, les diverses formes.
• Domptage des lumières de Morphée : (de 1 à 2 semaines)
L’artiste choisi minutieusement les couleurs qu’il va devoir utiliser, créé des mélanges de teintes et organise les divers pinceaux. Il peint alors la profondeur de champs où les couleurs et formes pourront ainsi flotter dans une dimension infinie. Puis vient le travail le plus complexe, le cheminement des couleurs : l’artiste applique consciencieusement les teintes sur chacune des formes en créant les différents dégradés et illusions de profondeur. Encore un grand travail de rigueur entrecoupé par des périodes de séchage ;
• Dernière présence de Morphée : (de 1 jour à 2 semaines)
La principale version du rêve est désormais matérialisée. L’atelier, qui embaume de parfums de mille et une couleurs et d’effluves d’essences précieuses et indispensables, enivrent l’artiste. Il se laisse, dès lors, glisser dans un nouveau monde de rêves… Touches après touches, justement, l’œuvre est menée à son terme.
• Bonsoir Morphée…
Maintenant, arrive l’instant où l’artiste signe son œuvre, la titre et se replonge, à nouveau, dans les bras de Morphée. Un sommeil bien mérité... Et maintenant, en route pour une nouvelle aventure !
Il se constitue de plusieurs étapes précises :
• Manne pour Morphée : (de 1 à 2 heures)
L’artiste capte des sources d’inspiration et les répertorie dans son inconscient. Celles-ci peuvent être musiques, ouvrages, paysages, personnes ou œuvres d’art. Surtout rien de l’ordre de la technologie ou du religieux. Le dialogue ou l’intimité peuvent être de la partie, l’important étant les sensations fortes que la mémoire pourrait immortaliser ;
• Voyage dans les bras de Morphée : (de 1 à 8 heures)
L’artiste se plonge dans une longue rêverie soit en méditant soit en se reposant. Atteignant le sommeil paradoxal, il se focalise afin d’emmagasiner, dans son hémisphère gauche, chaque petit détail concernant les couleurs, les formes, la tridimensionnalité et les sensations que son subconscient lui fait ressentir et percevoir. Une fois éveillé et en pleine conscience, un premier travail peut débuter ;
• Esquisses de la main de Morphée : (de 1 à 2 heures)
Dès son retour à la réalité, et en vitesse, l’artiste reproduit au crayon, le plus précisément possible, les diverses formes abstraites qu’il a pu aborder dans ce rêve, sur plusieurs feuilles de papier, afin d’obtenir une série d’ébauches de traces épurées. Il note sur chacune les différents camaïeux et dégradés de teintes, ainsi que l’aspect de matière lié à la réalité. En conclusion, il décrit, avec des mots choisis frisant la poésie, les sentiments que lui ont procuré chacune de ses formes. Il expose, par la même occasion, les distances entre les nombreux éléments par rapport à son point de vue objectif ;
• Technologie de Morphée, de l’ébauche au digital painting : (de 3 à 6 jours)
Une fois réunies les études les mieux représentées, l’artiste les scanne une à une dans l’ordre où elles devront apparaître dans le champ visuel du spectateur, en débutant par le dernier plan. S’amorce alors un travail intense de composition sur logiciel de peinture digitale, soit sur tablette soit à la palette graphique, assisté par ordinateur. Naviguant au milieu de deux millions de pixels, un travail minutieux sur la disposition des éléments, précision des couleurs, profondeur de champs, illusion de matière, se déroule afin d’obtenir un rendu au plus proche du rêve. L’artiste n’hésite pas à retravailler avec véhémence certains petits détails infimes qui feront tout le perfectionnisme de l’œuvre en amont. Un véritable travail d’orfèvrerie ;
• Canevas de Morphée, du digital painting à la toile : (de 1 à 2 jours)
Le travail numérique terminé, puis imprimé sur feuille allant du format A4 au format A2, l’artiste se met à la toile. Suivant le prototype à la ligne près, il reproduit attentivement au crayon, à une échelle pouvant atteindre le 30/1ème selon la taille du support, les diverses formes.
• Domptage des lumières de Morphée : (de 1 à 2 semaines)
L’artiste choisi minutieusement les couleurs qu’il va devoir utiliser, créé des mélanges de teintes et organise les divers pinceaux. Il peint alors la profondeur de champs où les couleurs et formes pourront ainsi flotter dans une dimension infinie. Puis vient le travail le plus complexe, le cheminement des couleurs : l’artiste applique consciencieusement les teintes sur chacune des formes en créant les différents dégradés et illusions de profondeur. Encore un grand travail de rigueur entrecoupé par des périodes de séchage ;
• Dernière présence de Morphée : (de 1 jour à 2 semaines)
La principale version du rêve est désormais matérialisée. L’atelier, qui embaume de parfums de mille et une couleurs et d’effluves d’essences précieuses et indispensables, enivrent l’artiste. Il se laisse, dès lors, glisser dans un nouveau monde de rêves… Touches après touches, justement, l’œuvre est menée à son terme.
• Bonsoir Morphée…
Maintenant, arrive l’instant où l’artiste signe son œuvre, la titre et se replonge, à nouveau, dans les bras de Morphée. Un sommeil bien mérité... Et maintenant, en route pour une nouvelle aventure !
ABSTRAITS - Bouquet de Bonheurs • 7 oeuvres
Voir toutCONTEMPORAIN - Jeux de Dames • 2 oeuvres
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Jeux de Dames... Jeux de Bonheur...
Des Femmes mises à l'honneur, en valeur,
sortent de leur quotidien,[...]
Jeux de Dames... Jeux de Bonheur...
Des Femmes mises à l'honneur, en valeur,
sortent de leur quotidien, de leur vie coutumière.
Elles osent s'exprimer, elles dansent, elles s’ouvrent,
Sur des fonds de couleurs explosives,
Sur des formes surréalistes,
Sur des rêves enfouis d'une impossible réalité,
D'une fragilité de l'existence,
D'Amours plein d'émotions.
La peinture les réunit,
leur permet enfin d'exister, de vivre, d'espérer, d'ÊTRE.
Des Femmes mises à l'honneur, en valeur,
sortent de leur quotidien, de leur vie coutumière.
Elles osent s'exprimer, elles dansent, elles s’ouvrent,
Sur des fonds de couleurs explosives,
Sur des formes surréalistes,
Sur des rêves enfouis d'une impossible réalité,
D'une fragilité de l'existence,
D'Amours plein d'émotions.
La peinture les réunit,
leur permet enfin d'exister, de vivre, d'espérer, d'ÊTRE.
Graphiglass • 4 oeuvres
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Extrait de l’article datant du 14 juillet 2016 par Maë, journaliste culturelle lyonnaise, paru dans[...]
Extrait de l’article datant du 14 juillet 2016 par Maë, journaliste culturelle lyonnaise, paru dans « Body Action painting & Graphiglass » d’ALAINJUNO en 2019 :
« […] En contemplant son œuvre, nous distinguons une projection de peinture derrière
une plaque de Plexiglas ou de verre, mais il ne s’agit pas simplement d’une ravissante
photographie ou d’un savant travail d’artiste plasticien infographiste. En effet, le
GraphiGlass d’ALAINJUNO est le récit d’une longue histoire qui se déroule en cinq actes :
ACTE I – Préparation et Peinture : […]
ACTE II – La Photographie : […]
ACTE III – Le Tournage : […]
ACTE IV – Les Empreintes sur la Toile : […]
ACTE V – Le GraphiGlass :
Le dernier acte, tant attendu, révèle au grand jour l’exposition du GraphiGlass
final, terme créé par l’artiste. Tranquillement, posément, l’artiste s’empare des photos
mémorisées de la séance. Ce moment précieux où l’éternel remplace l’éphémère.
Débute alors le travail graphique : l’artiste est seul, face à lui-même, face aux images de
son premier travail. Recomposées, recolorées, transfigurées, les photos initiales parcourent
une nouvelle voie. Montage après montage, le GraphiGlass prend corps. Cette dernière
image sera ensuite traitée dans un atelier où les couleurs seront projetées à l’arrière d’un
Plexiglas, entre deux plaques de verre ou sur une surface métallique. »
« […] En contemplant son œuvre, nous distinguons une projection de peinture derrière
une plaque de Plexiglas ou de verre, mais il ne s’agit pas simplement d’une ravissante
photographie ou d’un savant travail d’artiste plasticien infographiste. En effet, le
GraphiGlass d’ALAINJUNO est le récit d’une longue histoire qui se déroule en cinq actes :
ACTE I – Préparation et Peinture : […]
ACTE II – La Photographie : […]
ACTE III – Le Tournage : […]
ACTE IV – Les Empreintes sur la Toile : […]
ACTE V – Le GraphiGlass :
Le dernier acte, tant attendu, révèle au grand jour l’exposition du GraphiGlass
final, terme créé par l’artiste. Tranquillement, posément, l’artiste s’empare des photos
mémorisées de la séance. Ce moment précieux où l’éternel remplace l’éphémère.
Débute alors le travail graphique : l’artiste est seul, face à lui-même, face aux images de
son premier travail. Recomposées, recolorées, transfigurées, les photos initiales parcourent
une nouvelle voie. Montage après montage, le GraphiGlass prend corps. Cette dernière
image sera ensuite traitée dans un atelier où les couleurs seront projetées à l’arrière d’un
Plexiglas, entre deux plaques de verre ou sur une surface métallique. »
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