B102 - QUAND UN ROI SUMERIEN RENCONTRE SON DIEU (2008) Painting by Philhelm

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BABYLONIEN / Interprétation d’un sceau-cylindre disparu, heureusement l’empreinte sur argile existe toujours, elle fait partie de la collection des anciens sceaux orientaux du Musée National des Etats-Unis à Washington : Cat. No.168976F, U.S.N.M. Sa particularité est d’être très petite, soit 19 x 25 mm pour le motif et d’être difficilement interprétable.[...]
BABYLONIEN / Interprétation d’un sceau-cylindre disparu, heureusement l’empreinte sur argile existe toujours, elle fait partie de la collection des anciens sceaux orientaux du Musée National des Etats-Unis à Washington : Cat. No.168976F, U.S.N.M. Sa particularité est d’être très petite, soit 19 x 25 mm pour le motif et d’être difficilement interprétable. Ce qui correspond parfaitement aux premières périodes de l’apparition des sceaux en Mésopotamie. André Malraux écrivait en 1960 : « …que le sculpteur de sceaux-cylindres sumériens, s’il simplifie les formes, c’est pour délivrer l’homme de son humanité. Il est hanté par une obsédante référence aux formes primordiales, à des formes élémentaires qu’elles commandent….comme si de telles formes étaient par elles-mêmes des moyens de communication avec l’Eternel ? ».
Cette peinture qui en est extraite, ainsi que la plupart de cette série babylonienne, existent au bénéfice d’une vérité jadis proclamée et aujourd’hui inconnue ! Elles nous suggèrent que notre plus profonde relation avec l’Art est d’ordre métaphysique…
Que voyons-nous ou plutôt que pourrions-nous voir dans ce tableau? Trois personnages dans de longs vêtements, dont un adorant porteur d’une bouquet-fleur et d’une branche d’arbre qui est habituellement porteuse de végétations, c’est un roi et il s’est fait tondre sa chevelure en signe d’humilité, il se tient face à son Dieu qui pourrait être Marduk. Derrière ou dans la main gauche du Dieu, apparaît deux éléments rajoutés par l’artiste et qui n’existent que pour une perception subliminale du Monogramme de Philhelm. Entre eux un arbre totémique surmonté du croissant de lune couché et du soleil. Derrière le Dieu se tient le Déesse Inanna, porteuse d’un bouquet-arbre avec sa racine. Elle tiendrait dans sa main un gourdin en végétation ? Devant elle un possible arbre de vie dont une des racines vient de la mer ? N’est-elle pas à l’origine de l’humanité comme le pensait le mésopotamien ? S’il est avéré que chaque personnage porte sur un de ses bras un végétal, le thème dominant de cette scène pourrait être une prière à la végétation? Prière d’autant plus importante que le climat local dépendait beaucoup des rares pluies, d’où la présence nombreuse de vases à eaux jaillissants avec leurs divers dieux présents sur plusieurs centaines de sceaux-cylindres et que nous espérons découvrir un jour sur un nouveau tableau de votre artiste ?
Marduk : Dieu tutélaire de la ville de Babylone, mais d’abord le Dieu agraire.
Inanna : chez les Sumériens ou Ishtar chez les Babyloniens, parfois considérée comme la fille du Dieu de la pluie. Chaque nouvel an, le souverain était tenu d’ « épouser » l’une des prêtresses d’Inanna, afin d’assurer la fertilité des terres et la fécondité des femelles. Ce rite appelé « mariage sacré » s’est surtout généralisé à la fin du IIIème millénaire.

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En vérité, je vous l'écris sans menterie, toute l'histoire de Philhelm, commence en Alsace au château de Lichtenberg, le 23 Avril 1616, lorsque Balthasar Helmlinger âgé de 7 ans, perd le Monogramme de son descendant[...]

En vérité, je vous l'écris sans menterie, toute l'histoire de Philhelm, commence en Alsace au château de Lichtenberg, le 23 Avril 1616, lorsque Balthasar Helmlinger âgé de 7 ans, perd le Monogramme de son descendant éponyme. Ce banal et néanmoins gravissime incident dans le lointain passé, déclenchera la vocation artistique d’un de ses descendants, 10 générations plus tard !

Ce peintre d’aujourd'hui, né à Strasbourg en 1943, a vu son œuvre exposée et primée deux fois dans sa vie (1999 et 2001), et ce, uniquement à la « Biennale Internationale d’Art Contemporain de Florence » qui lui a attribué en 1999 le Prix de la Ville de Florence.

Pour que le vulgum pecus soit totalement dépaysé de son vécu, qu'il laisse sans hâte entrer en lui l'histoire, chaque jour enrichie de notre passé ancestral commun : qu’il soit étrusque, minoen ou babylonien, sinon il ne pénétrera jamais à l'intérieur des tableaux,pour tenter d'y découvrir les causes secrètes des choses.

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