Kouider Medjahed
Medjahed kouider
Sculpteur
-bois et pierre
-née en 1962 a sebra Tlemcen
-autodidacte
sa me pousse toujours ver des horizons inexploré………………………………………MK
Discover contemporary artworks by Kouider Medjahed, browse recent artworks and buy online. Categories: contemporary algerian artists. Artistic domains: Sculpture, Painting. Account type: Artist , member since 2009 (Country of origin Algeria). Buy Kouider Medjahed's latest works on Artmajeur: Discover great art by contemporary artist Kouider Medjahed. Browse artworks, buy original art or high end prints.
Artist Value, Biography, Artist's studio:
Recognition
Biography
Medjahed kouider
Sculpteur
-bois et pierre
-née en 1962 a sebra Tlemcen
-autodidacte
sa me pousse toujours ver des horizons inexploré………………………………………MK
- Nationality: ALGERIA
- Date of birth : unknown date
- Artistic domains:
- Groups: Contemporary Algerian Artists
Influences
Education
Artist value certified
Achievements
Activity on Artmajeur
Latest News
All the latest news from contemporary artist Kouider Medjahed
Communiqué de presse
Communiqué de presse
Article
APS) mardi 11 octobre 2011 14 : 44
Sculpture : L’artiste Kouider Medjahed expose à Oran
ORAN - Le peintre sculpteur Kouider Medjahed rend hommage à la femme par une exposition d’une quarantaine d’œuvres, qui se tient tout le long du mois d’octobre à la galerie Lotus Pigier à Oran.
Cet artiste, natif de Tlemcen, propose une collection unique de sculptures (25 statuts en bois d’orme personnalisant des femmes). "Ses muses, les muses de tous les temps", comme il tient à les présenter.
Son œuvre, qui évoque la sensualité, provoque souvent une réaction viscérale chez nombre d’observateurs.
La nudité des corps des femmes représentées par ses statuts est pourtant ce qu’il y a de plus "pudique", grâce à son style abstrait qui joue avec "les formes" et "les mouvements", explique-t-il. "C’est ma manière de contourner les règles", a-t-il confié en ajoutant que "l’abstraction (lui) a été presque imposée".
Le bois est le matériau préféré de cet artiste quinquagénaire, se réclamant "montagnard", natif de "Sabra",un village éloigné, où "la nature est restée vierge, immaculée", observe-t-il non sans une pointe de fierté.
"Le choix de ce matériau n’est pas anodin, et encore moins le choix des sujets des sculptures, car l’artiste se bat pour rester proche de la nature, du brut, du pur", dit-il.
La modernité, la ville, l’urbanisation lui font peur, et la sculpture est la bouée de sauvetage de cet artiste qui veut rester "intacte".
Ses peintures d’une palette sombre, rappellent les fresques du Tassili. Leur style est indéfini. Du "primitif", ironise le peintre.
Article
Kouider Medjahed expose chez «Lotus»: L'art de la langue… du bois
09/10/2011 Envoyer Imprimer Réagir
Kouider Medjahed a choisi la sculpture sur bois pour exprimer ce que lui refusent d'autres langages. Autodidacte, il touche à tout: peinture, poterie, travail sur cuir… Mais c'est sur le bois qu'il déverse en ce moment ses rêves, ses préoccupations et son inspiration. Et de ce point de vue, il est transparent. La simple visite de son exposition, qu'abrite en ce moment l'Espace Lotus-Pigier, permet de situer sa première source d'inspiration: la femme. Celles et ceux qui ont assisté au vernissage ont dû relever le caractère érotique très prononcé de la plupart de ses sculptures. «Progéniture», par exemple, illustre des corps enlacés. D'ailleurs, la fusion des corps est récurrente dans les sculptures de Medjahed. Hormis quelques pièces, toutes les œuvres exposées évoquent le corps de la femme. Tantôt aux formes généreuses, tantôt brillant par sa sveltesse et sa fluidité. Kouider ne s'en cache pas. A cause du choix de son sujet, il a été privé d'exposer dans plusieurs manifestations. Et il n'est pas prêt à faire des concessions sur ce chapitre. Pourtant, Kouider, qui, certes se plaît à se définir comme un «rebelle», n'affectionne pas particulièrement la provocation et les polémiques. Montagnard, il est à l'aise dans sa localité, dans sa façon d'être et en société. Mieux, de son espace vital, il tire une connaissance fine de la faune, la flore et la pierraille qu'il n'hésite pas à étaler quand l'occasion s'offre à lui. Ce cadre de l'administration fiscale étonne par sa grande connaissance de l'histoire de sa région et de son «arch». Parce qu'il est bien installé dans son identité et sa culture.
La femme est sa principale source d'inspiration et la montagne son pourvoyeur essentiel des matériaux qu'il transforme en sculptures. Il façonne tous les genres de bois, à commencer par les plus résistants à la manipulation. Le tronc d'arbre ou la branche récupérés dans la nature sont immergés dans un des oueds de sa Sabra, jusqu'à deux ans des fois, avant d'atterrir dans son atelier. Commence alors un passionnant soliloque avec cette pièce avant qu'elle ne prenne la forme ou juste les contours d'un corps de femme. Le toucher est extrêmement important chez Kouider : il préfère ses mains nues au lieu d'un instrument pour façonner ou lisser une sculpture. Mieux, il préfère produire ses teintes à partir des plantes qu'il cueille à la montagne aux produits chimiques disponibles sur le marché. C'est sa dimension écologique acquise de par sa proximité avec la terre et la nature. Les sculptures de Mejahed ont une particularité : elles n'expriment pas d'angoisse existentielle. « Harmonie », par exemple, illustre une parfaite fusion de deux corps qu'on devine d'une femme et d'un homme. Présentée avec pudeur et naturel, cette sensualité n'a absolument rien de choquant et ne franchit pas les limites de l'indécence. «Beauté», pièce dépouillée, taillée dans l'orme, un bois noble, ne laisse pas indifférent. Rien que les intitulés des pièces exposées nous renseignent sur le monde artistique de ce père de quatre enfants dont l'aîné est actuellement universitaire. Pour plus de clarté, Kouider double chaque pièce par une toile. Et là, il est plus explicite. L'univers se limite à deux éléments : la femme et l'environnement où elle évolue, environnement imprécis mais chargé de couleurs. Cependant, on sent chez ce sculpteur la tentation de vouloir explorer d'autres sujets. «La Symphonie du temps» inaugure peut-être cette nouvelle quête chez notre artiste. Relativement récente, elle est moins élaborée que le reste.
ziade salah quotidien d'oran
Article
8-10-2011
GALERIE LOTUS D'ORAN
Kouider Medjahed expose ses sculptures en bois
L'homme poursuit ses rêves, mais l'artiste les vit à la façon d'un bébé qui tète un sein à peine esquissé sur une masse d'orme. Le bois se livre à la goule du sculpteur pour donner naissance à une farandole de formes galbées, aux lignes épurées, qui rappellent le corps d'une naïade qui émerge d'un océan aux horizons insaisissables.
Kouider Medjahed se joue des interdits, dompte les essences de bois pour délimiter un univers où la femme se fait, tantôt présente, tantôt furtive et tantôt alanguie sur une dune de sable que caressent mille et un mirages. Ses œuvres sont un hymne à la femme, à l'amante, la mère, la compagne.
Elles sont une déclinaison en couleurs chaudes, de mille et un désirs, de mille et un fantasmes. L'orme, le cerisier, le chêne, des essences que le sculpteur enfourche pour aller bousculer des tabous. La femme est omniprésente dans ses travaux et n'en déplaise aux esprits sclérosés, bouffés de contradictions qui voient le mal même dans la pureté d'une ligne.
L'art et l'audace
Son talent n'a pas ému certains cercles régis par une censure pesante. Il n'expose que rarement, et quand il arrive à se frayer un chemin vers un espace, on reste en pamoison devant la beauté de ses œuvres. Il ose et ses espiègleries plaisent, enchantent.
Il sculpte le bois qu'il va quérir en se f... des interdits. Il le chaparde, il l'achète, et puis quoi après… L'interdit n'est qu'une vue de l'esprit derrière laquelle se cache une censure morbide.
Ses sculptures exposées à la galerie Lotus d'Oran ont ravi. L'espace est devenu un temple dédié à la femme, à la beauté, et aux formes tantôt généreuses et tantôt chétives et tout juste esquissées. Ses travaux rappellent ceux de Mohamed Demagh l'Aurésien. Tous les deux savent parler aux essences de bois.
Tous les deux savent manier le ciseau, la goule ou la râpe. Et si le Chaoui a redessiné, finement ciselées à la pointe de son couteau, les souffrances d'un peuple en quête de sa liberté, Kouider Medjahed a dessiné la femme. Il en fait sa raison d'être homme, d'être artiste qui ne s'accommode pas des interdits. Si Demagh a taillé
Le Napalm (*), Medjahed a modelé la femme dans toute sa grandeur, dans toute sa splendeur. En une trentaine d'œuvres, les visiteurs de la galerie
Lotus peuvent admirer le travail hautement esthétique de cet artiste au talent plus grand que les paravents derrière lequel on veut le cacher.
Des œuvres de valeur
Kouider Medjahed, auquel on n'offre pas l'occasion d'exposer ses œuvres, sait se jouer de tous les interdits pour aller à la rencontre de ceux qui aiment l'art, ceux qui aiment la beauté comme le gérant de la galerie, Moussa Mediène qui a donné de la vie aux murs de cet espace qui commence à attirer les artistes et le public d'Oran et de tout l'Ouest.
F. B.
----------------------
(*) Le nom de la plus célèbre sculpture
de Mohamed Demagh exposée en 1985
à la galerie du Centre culturel
de la ville d'Alger.
Article
Le sculpteur aux dimensions inaccessibles
Source : El_watan, Mercredi 12 Octobre 2011
Il faut au contraire prendre le temps de les méditer une par une pour comprendre à quel point son travail d’artisan, en apparence banal, est complexe. L’artiste compose avec le vide, comme le ferait un musicien avec les silences ou un romancier avec les non-dits. Mieux encore, l’artiste semble créer plus que des univers, des «multivers» pour reprendre la terminologie des cosmologistes, à tel point qu’il faut peut-être se placer dans une dimension supérieure pour en saisir la forme. Ces «tores» difformes et entremêlés échappent à toute capacité de recomposition de l’œil et invitent donc à une véritable gymnastique de l’esprit, pour en approcher le sens profond.
Son contemporain, néanmoins son aîné Mohamed Boukerche, nous a déjà étonnés avec ses calligraphies sculptées dans le bois, mais là, on peut toujours suivre les flexions du verbe à trois dimensions enroulé dans un bloc compact. Ce n’est pas le cas chez Kouider Medjahed, avec qui le vide fait partie intégrante de l’œuvre, rendant des faces entières inaccessibles aux sens habitués aux orientations classiques : face, profil, haut, bas, etc. Ses œuvres sont déroutantes. L’artiste, selon ses rares déclarations à la presse, a été amené à une double transgression. La première est symbolique, elle est liée au tabou entourant la représentation de la femme cultivée par la société dans laquelle il évolue, la seconde est plus concrète et a trait à une espèce d’interdit qui frappe l’acquisition du matériau (orme, platane, olivier, thuya) avec lequel il confectionne ses travaux.
L’orme en particulier qui pousse dans sa région (Sabra) est protégé par la réglementation forestière et les bois nobles qui peuvent en constituer la matière première de substitution sont chers sur le marché, en tout cas assez pour ne pas rentrer dans ses frais. En plus donc de se retrouver parfois dans l’obligation de contourner la loi, en allant recueillir illégalement quelques troncs d’orme, il doit donc aussi contourner la censure ou plus exactement une autocensure insidieuse qui fixe les limites de la représentation picturale.
Le style de Kouider Medjahed est sans doute né de ce conflit entre le désir d’aller jusqu’au bout de son imaginaire et la pesanteur de ses attaches sociales assumées avec plus ou moins de compromis. Malgré tout, son idéal féminin, source de son inspiration, est omniprésent. Chez lui, la femme est magnifiée mais uniquement quand elle est représentée seule, c’est-à-dire, lorsqu’elle exhibe ses propres formes.
Cette image de la femme idéale est accentuée dans ses représentations de couples entremêlés dans une espèce de yin et de yang en trois dimensions. La partie masculine, plus foncée, est vue comme une excroissance, presque une tumeur, rugueuse et informe sur la peau maculée de l’être féminin. C’est comme si l’élan créatif de l’artiste nous renvoyait à des représentations enfouies dans l’imaginaire, comme celle de l’homme (Adam et Eve) chassé du Paradis pour avoir goutté au fruit interdit. La féminité comme origine du monde est apparemment une des psychés archaïques mise en relief par l’artiste, qui célèbre cette espèce de «mandala» avec magie en introduisant, dans ses travaux exposés dans cette galerie, un instrument de musique effrayant et envoûtant à la fois. Les cordes de la lyre enchanteresse contrastent avec le support diabolique de l’instrument placé au centre de toutes ses «figurines».
Kouider Medjahed expose à la galerie
Espace Lotus-Pigier , à Oran, du 6 au 21 octobre
Djamel Benachour
Article
Espace culturel Lotus d’Oran : 7 artistes y exposent
Source : El_watan, Dimanche 18 Octobre 2009
Organisée par le Centre culturel français, l’exposition dont le vernissage a eu lieu le même jour permet de découvrir quelques travaux inédits localement, comme ceux de Mahjoub Benbella, un aquarelliste qui vit à l’étranger et que le public local ne connaît pas mais aussi d’un artiste imprévu, Mohamed Behloul, directeur d’un institut de développement de ressources humaines qui rend publics pour la première fois ses talents de peintre, amateur certes mais qui vaut le détour. Sculpteur confirmé, Kouider Medjahed est aussi un fonctionnaire de l’administration fiscale. Il n’expose pas souvent préférant se consacrer à la recherche et à ses travaux sur bois qui, par certains aspects, rappellent ceux de Mohamed Boukerche ; mais, tandis que l’un compose avec des lettres donnant au texte un corps et une troisième dimension, l’autre, sans doute moins ambitieux mais non moins perfectionniste, donne forme à de vrais personnages, tantôt policés, tantôt laissés à l’état brut laissant apparaître les traces de son ciseau comme un peintre mettrait en avant ses touches de pinceau. Hormis Dokman et ses tendances décoratives, Salah Hioun travaille sur plusieurs registres et autant dans ses toiles que ses essais à techniques mixtes, on trouve un souci du détail qui confère à son œuvre une profondeur particulière. Belkhorissat revient avec plus de figuratif en proposant des portraits et des paysages, en général urbains sur qui les rehauts de gris-blanc agissent comme un voile. Les couleurs sont par contre plus prononcées chez Djahida Houadef. Elle est parmi les rares artistes algériens à avoir, dès le départ, prôné un style très personnel. Faussement naïf, on a souvent comparé son travail à celui de Baya, mais les deux femmes n’ont rien de commun. Au monde mirifique, onirique et hallucinant traduisant un inconscient profond de la deuxième, on peut opposer l’expression d’une angoisse existentielle pour la première. Les personnages féminins de Djahida Houadef n’ont pas les rondeurs que la gouache de Baya s’ingénie à tracer les contours.
Djamel Benachour
Article
Medjahed kouider
Sculpteur
-bois et pierre
-née en 1962 a sebra Tlemcen
-autodidacte
-exposition :
1988 Tlemcen centre mélisse
2000 : galerie des arts
2001 : université de Tlemcen
2002 : maison de culture de Tlemcen (colloque des arts populaires
2003 : maison de la culture de Tlemcen
2004 palais de culture d’Oran
2005 maghnia (colloque des universités d’Algérie)
2005 : maghnia (jubilé du président Ahmed benbellah
2006 : cridessh (université d’Oran)
2006 : maison de la culture
2007 : maison de la culture de Tlemcen
2008 salons méditerranéens Oran
2009 galeries lotus- Oran-
-réalisation : pierre mémorial dans les hauteur de Tlemcen (abi.medien choaib)
Initié à la sculpture utile généralement des objets du quotidien des montagnards en particulier les crosses pour les armuriers –c’est rentable à l’époque- converti en artisan d’art des 1980 dont la majorité de mes sculptures on était consumé .en particulier celle réalisées dan ma jeunesse ;.quant à la poterie c’est seulement pour assurer la continuité d’une technique dans son aspect primaire (la terre enfumée ) une technique qui est en voie de disparition ; mes sculptures son tous réalisées manuellement y compris le polissage .mes essences sont le chêne .l’olivier. Et l’orme. Autrefois j’ai généralement travaillé sur du bois de récupération
-aujourd’hui c’est le bois traité dans mon atelier
…………..mes préoccupations c’est d’avoir des formes d’expression personnel et inhabituelle
En peinture c’est base d’une patte que je réalise mes travaux .tout en utilisant le teintes naturelle –sciure de bois –la cire les sève ;et les huiles naturelle et sa me pousse toujours ver des horizons inexploré………………………………………MK