Autodidacte, j'ai tout d'abord commencé par le dessin, à la recherche de la représentation de formes, d'environnements, de scènes ou d'objets que je favorisais à reproduire.
La peinture est arrivée tardivement, non pas du manque d'envie, mais du manque de temps par rapport au recul que j'avais face à cette discipline que j'estime précise, stricte, même si je suis des plus imprécis moi même.
Pour peindre je me devais d'accorder du temps, de fournir de l'effort, d'apprendre la patience, à voir autrement et surtout à regarder autrement. Enfin, enfin je vais pouvoir m'adonner à ce que j'aspirais...souffrir devant une toile.
Grâce à mon métier, les couleurs et les mélanges m'étaient familiers, donc l'approche très inspiratrice de cet art a été facilité. Famille et amis m'ont incités, dans les moments de doute, à poursuivre cet art auquel j'étais parfois prêt à tourner le dos, et je les en remercie.
J'ai lu de la part de quelqu'un que les peintres du dimanche devraient s'abstenir. Ces gens devraient s'abstenir de propos tels que ceux-là. Sans empathie pas de sensibilité; pas de sensibilité pas de peinture et donc pas de bonheur ! Lorsque vous croyez tout savoir, il y a juste une petite chose apparemment que vous ignorez, c'est que dans tout acte, il y a toujours un côté positif, alors changez votre point de vue (comme dans la peinture). La preuve en est que le côté positif de votre remarque m'a fait m'exprimer. Merci à vous !
Laisser ceux qui le souhaitent, s'exprimer au travers de la peinture car, ceci est un bienfait universel.