Toutes les oeuvres de Isabelle Lasternas
les sculptures raku de zaza • 7 oeuvres
Voir tout
Non loin de la Puisaye, terre bénie des potiers, à Decize, Isabelle LASTERNAS travaille à la création[...]
Non loin de la Puisaye, terre bénie des potiers, à Decize, Isabelle LASTERNAS travaille à la création de tout un peuple, êtres étranges, issus de son imagination, de souvenirs lointains, d'une autre vie, peut-être....
la surprenante technique du raku les fait naitre.
Ses doigts modèlent la terre, jouent avec l'air, le feuet, finalement, l'eau, laissant émerger ces être atypiques
la surprenante technique du raku les fait naitre.
Ses doigts modèlent la terre, jouent avec l'air, le feuet, finalement, l'eau, laissant émerger ces être atypiques
Les Arbronautes : sculptures végétales • 29 oeuvres
Voir tout
"Dans la forêt quand les branches se rebellent, les racines s'embrassent
(proverbe africain)
Hymne[...]
"Dans la forêt quand les branches se rebellent, les racines s'embrassent
(proverbe africain)
Hymne à la Nature
La nature est et nous dépasse
Ces¨êtres", les Arbronautes, qu'ils soient guerriers ou simples promeneurs, nous parlent.
Ils participent à la vie, ils sont la Vie.
Ils sont : tranches d'arbres, bois brûlés, écorces et végétaux
Nous disparaissons ; Ils restent.
"Ceux qui sont morts ne sont pas morts.........
les morts ne sont pas sous la terre
ils sont dans l'arbre qui frémit.
Ils sont dans l'eau qui coule.
Ils sont dans l'eau qui dort.
Les morts ne sont pas morts"
(proverbe africain)
Hymne à la Nature
La nature est et nous dépasse
Ces¨êtres", les Arbronautes, qu'ils soient guerriers ou simples promeneurs, nous parlent.
Ils participent à la vie, ils sont la Vie.
Ils sont : tranches d'arbres, bois brûlés, écorces et végétaux
Nous disparaissons ; Ils restent.
"Ceux qui sont morts ne sont pas morts.........
les morts ne sont pas sous la terre
ils sont dans l'arbre qui frémit.
Ils sont dans l'eau qui coule.
Ils sont dans l'eau qui dort.
Les morts ne sont pas morts"
Contacter Isabelle Lasternas
Envoyer un message privé à Isabelle Lasternas