Ajouté le 21 déc. 2008
sebaa rafik retrouve la paix en prenant ses distances avec les idées et le monde extérieur.je monologue a présent et commune avec les moyens d'expression:la matière avec un plaisir cultivé voulu.
plus d'une fois quand je finis une toile en quelque heures pour la détruire tout a coup et la refaire encore.
en détruisant mon œuvre dans un supréme effort de tension créateur,comme pour briser le piège ultime de la beauté,le peintre viole ses propres formes car le démon de la recherche le pousse toujours plus loin.
s.rafik est allé jusqu'au bout de sa passion avec la charge de souffrances que ce mot contient.il a laissé face
a son œuvre qu'il a tiré de lui-même comme on arrache des lambeaux de sa propre chaire.
frappé de son mal,le peintre module son art en thérapie,il maintient la vie malgré la menace,il s'est dit qu'il
tiendrait tout au long de sa vie malgré les rejets,les blessures,et les douleurs.
rafik et plonger jusqu'au cou dans la peinture,c'est ma vie,je ne peux pas faire autre chose.
...FAIRE DE LA PEINTURE QUE LES GENS NE COMPRENNENT PAS QU'EST-CE QUE CELA AUSSI PEUT FAIRE
FAIRE TOUS SIMPLEMENT DE LA PEINTURE ca JE SAIS LE FAIRE...
rafik.sebaa