bastafacce-b.jpg (2011) Collages par Pino Boresta

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Vendu par Pino Boresta

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Vendu par Pino Boresta

Certificat d'authenticité inclus
  • Œuvre d'art originale Collages, sur Papier
  • Dimensions Hauteur 0,6in, Largeur 1in
  • Catégories Collages à moins de 500 $US Street Art
orsque j'ai répondu à une longue interview de Luca Rossi L : R : Mais qu'est-ce que le projet MERDA ? P : B : Comme je l'ai déjà expliqué quelque part, le projet MERDA, c'est-à-dire (Rectified Electoral Posters From Takeaway) est la version exposition de mon intervention urbaine, appelée MER - Rectified Electoral Posters, que je[...]
orsque j'ai répondu à une longue interview de Luca Rossi L : R : Mais qu'est-ce que le projet MERDA ? P : B : Comme je l'ai déjà expliqué quelque part, le projet MERDA, c'est-à-dire (Rectified Electoral Posters From Takeaway) est la version exposition de mon intervention urbaine, appelée MER - Rectified Electoral Posters, que je diffuse sur des affiches électorales depuis 1996. Le projet MER est une dérivation du projet DUR (Documents Urbains Rectifiés), initié quelques années plus tôt, où sont modifiés avec les visages : affiches, flyers, affiches, amendes, notices, tracts, etc. Tout est alors laissé en place pour détourner le passant (seuls quelques documents sont parfois emportés pour documenter l'événement). Le projet MER a été particulièrement remarqué lorsque je l'ai fait à Venise en 1999 lors de la biennale, où j'intervenais sur la grosse gueule d'un homme politique en ajustant les lunettes d'un alors ancien sous-secrétaire au patrimoine culturel. A chaque campagne électorale, je réalise ce type d'intervention urbaine, pas seulement à Rome. Je vais vous dire un fait : un jour, allant à une inauguration, je suis passé devant une galerie bien connue où je me suis rencontré à la porte pour contempler dans les nuages rougeâtres non pas Carducci mais le galeriste qui parlait à un artiste bien connu . J'avais sous le bras quelques affiches électorales que je venais d'arracher du mur pour les emmener dans mon atelier et, comme j'avais une certaine confiance avec lui, j'ai proposé de les acheter (clairement rectifiées dans MER), mais il a cordialement refusé la proposition malgré le prix d'aubaine que je lui faisais. Maintenant cette galerie est fermée, mais le plus drôle dans tout ça, c'est qu'alors, toujours le même jour, il y avait ceux qui, plus prévoyants que le galeriste, ces deux WED s'ils y sont achetés. En effet, dès que j'entre dans l'endroit où s'est tenu le vernissage, je rencontre un critique bien connu qui s'adressait au directeur d'un de ces prix... enfin, bref, pour faire court, après avoir échangé quelques mots le conservateur dit "Mais tu sais qui c'est ? Allez, fais ressortir ton visage ». Au lieu de cela, j'ai ouvert une des affiches que j'avais et je l'ai rectifiée sur-le-champ, créant une action festive improvisée, une sorte de performance inattendue dans la galerie où se déroulait l'exposition d'autres artistes. Au lieu de me virer, tout le monde (galeriste, conservateurs, organisateurs et artistes inclus) s'est approché pour poser des questions et prendre des photos, puis le critique, mon ami, a voulu me payer le WED alors que je voulais en fait le lui donner (en le passé que j'avais invité à des expositions importantes) puis je l'ai signé. Ensuite, le réalisateur a également voulu en acheter un, alors nous sommes allés sur le palier à l'entrée de la galerie et là j'ai joué, créé et collectionné. Ce sont des petites satisfactions que je connais, mais ce sont elles qui m'ont donné la force de continuer dans ce sale boulot, que quelqu'un devra faire, et que j'aime trop pour laisser quelqu'un d'autre le faire.
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