Philippe Roussel
Philippe Roussel naît à Nîmes en 1963. Artiste peintre professionnel. Référencé à la fondation Taylor pour l’art à Paris. Guide Drouot cotation des peintres 2012.
Il réalise ses premières œuvres à la gouache dés l’âge de 10 ans. Après des études de droit, il suit des cours privés d’histoire de l’Art. Passionné d’archéologie et des civilisations antiques Méditerranéennes, il parcourt très jeune, les chantiers de fouilles de la région et croque sur papier les détails de mosaïques et bas reliefs découverts. Cela affirme définitivement son coup de crayon sûr et énergique mais suscite son désir de travailler sur la trace et la mémoire.
Son style vigoureux et sa rapidité dans l’exécution de ses œuvres lui font opter pour l’acrylique plutôt que l’huile. Dés l’âge de 20 ans, son style, jusque là proche du figuratif, commence à tendre vers une semi abstraction nettement plus personnelle.
Son cheminement intellectuel et les références aux écritures et lettres antiques entraînent l’insertion de signes, lettres et symboles dans ses peintures car La couleur et la forme ne suffisent plus à l’expression de son art (Les travaux sur l’écriture de l’artiste Cy Twombly l’ont d’ailleurs, considérablement passionné et ont été pour lui source de recherche et d’inspiration).Ses œuvres alors, se lisent comme des rébus ; dans ces moments là, la lecture de l’œuvre s’inverse et de ce fait la peinture et le dessin deviennent un support au texte. L’artiste fait le choix, dés lors, du papiers ou du carton comme supports à ses travaux. Ceux-ci, sont mieux destinés à recevoir un trait de fusain ou de pastel sec.
Comme pour la plupart des artistes, il ne peut nier l’influence de son éducation et de son vécu sur sa peinture. L’héritage familial et plus particulièrement maternel (une mère enseignante et excellente dessinatrice) ainsi qu’un accident de la vie qui a failli lui être fatal, lui firent prendre conscience de l’importance de ses racines, de l’importance du temps et du plaisir simple de vivre l’instant. Son regard sur les choses s’en est trouvé modifié.
Son travail aussi et Il entreprit une série d’œuvres sur la mémoire et la trace que celle-ci peut imprimer dans toute chose. La matière apparait (référence aux travaux d’Antoni Tapiés). Celle-ci, sous forme de poudre de marbre permet de sculpter, graver, griffer et imprégner la toile en profondeur ou en relief. L’archéologie si présente dans sa vie ressurgit !
Alors, ses oeuvres proches de la sculpture, révèlent ces objets si quotidiens, si indispensables (tels qu’une chaise, un lit, une table) et prennent une toute autre dimension. On touche, on regarde autrement, on pénètre dans l’œuvre ; on imagine l’histoire de cette chaise usée, et lors on recherche le moindre détail qui puisse donner une piste. A qui a-t’elle appartenue ? L’objet, à cet instant, n’est plus anonyme et futile à nos yeux. Il est la mémoire d’un temps passé, de personnages l’ayant utilisé ; il retrouve alors ses lettres de noblesse en s’of...
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Reconnaissance
L'artiste est vendu en galeries
Exerce le métier d'artiste à titre d'activité principale
Biographie
Philippe Roussel naît à Nîmes en 1963. Artiste peintre professionnel. Référencé à la fondation Taylor pour l’art à Paris. Guide Drouot cotation des peintres 2012.
Il réalise ses premières œuvres à la gouache dés l’âge de 10 ans. Après des études de droit, il suit des cours privés d’histoire de l’Art. Passionné d’archéologie et des civilisations antiques Méditerranéennes, il parcourt très jeune, les chantiers de fouilles de la région et croque sur papier les détails de mosaïques et bas reliefs découverts. Cela affirme définitivement son coup de crayon sûr et énergique mais suscite son désir de travailler sur la trace et la mémoire.
Son style vigoureux et sa rapidité dans l’exécution de ses œuvres lui font opter pour l’acrylique plutôt que l’huile. Dés l’âge de 20 ans, son style, jusque là proche du figuratif, commence à tendre vers une semi abstraction nettement plus personnelle.
Son cheminement intellectuel et les références aux écritures et lettres antiques entraînent l’insertion de signes, lettres et symboles dans ses peintures car La couleur et la forme ne suffisent plus à l’expression de son art (Les travaux sur l’écriture de l’artiste Cy Twombly l’ont d’ailleurs, considérablement passionné et ont été pour lui source de recherche et d’inspiration).Ses œuvres alors, se lisent comme des rébus ; dans ces moments là, la lecture de l’œuvre s’inverse et de ce fait la peinture et le dessin deviennent un support au texte. L’artiste fait le choix, dés lors, du papiers ou du carton comme supports à ses travaux. Ceux-ci, sont mieux destinés à recevoir un trait de fusain ou de pastel sec.
Comme pour la plupart des artistes, il ne peut nier l’influence de son éducation et de son vécu sur sa peinture. L’héritage familial et plus particulièrement maternel (une mère enseignante et excellente dessinatrice) ainsi qu’un accident de la vie qui a failli lui être fatal, lui firent prendre conscience de l’importance de ses racines, de l’importance du temps et du plaisir simple de vivre l’instant. Son regard sur les choses s’en est trouvé modifié.
Son travail aussi et Il entreprit une série d’œuvres sur la mémoire et la trace que celle-ci peut imprimer dans toute chose. La matière apparait (référence aux travaux d’Antoni Tapiés). Celle-ci, sous forme de poudre de marbre permet de sculpter, graver, griffer et imprégner la toile en profondeur ou en relief. L’archéologie si présente dans sa vie ressurgit !
Alors, ses oeuvres proches de la sculpture, révèlent ces objets si quotidiens, si indispensables (tels qu’une chaise, un lit, une table) et prennent une toute autre dimension. On touche, on regarde autrement, on pénètre dans l’œuvre ; on imagine l’histoire de cette chaise usée, et lors on recherche le moindre détail qui puisse donner une piste. A qui a-t’elle appartenue ? L’objet, à cet instant, n’est plus anonyme et futile à nos yeux. Il est la mémoire d’un temps passé, de personnages l’ayant utilisé ; il retrouve alors ses lettres de noblesse en s’of...
- Nationalité: FRANCE
- Date de naissance : 1963
- Domaines artistiques: Oeuvres d’artistes côtés, Oeuvres d’artistes professionnels,
- Groupes: Artistes côtés Artiste professionnel Artistes Contemporains Français
Influences
Formation
Cote de l'artiste certifiée
Certification réalisée en collaboration avec Akoun, le leader mondial en informations sur le marché de l'art depuis 1985.
Cote artiste 2018 | 1 200,00 € (1 296,96 $US)
La certification a été établie par Jacques-Armand Akoun le 29 nov. 2018.
Galeries & Groupes
Présenté par Galerie du Chapitre
Accomplissements
Activité sur Artmajeur
Dernières Nouvelles
Toutes les dernières nouvelles de l'artiste contemporain Philippe Roussel
Article Paris Match
7 Rue du Chapitre, 30000 Nîmes, France
En Résidence d'Artistes - Virginia Center for Creative Arts - Auvillar du 26 Août / 26 septembre 2019
Cotation AKOUN 2019
Ma cotation - Guide Akoun édition 2019
Texte ' Galerie du Chapitre'
.Ce travail à caractère régionaliste, entrepris il y a quelques temps par le peintre Nîmois Philippe Roussel, s’est étoffé avec l’ouverture de son nouvel atelier en centre ville de Nîmes. La lumière qu’il y trouve, est certainement pour beaucoup dans la poursuite de cette thématique.
Pour nous, Méditerranéens, la Camargue est un lieu de lumière, de vie et de mystère. Il fait bon s’y promener en hiver à la découverte de senteurs iodées, du calme ambiant et à la découverte des myriades de vies sans cesse renouvelées. L’immensité sans fin, due en partie à son relief plat parsemé de roseaux et de sagne, lui confère un mystère et une envie de prolonger les pas pour voir, plus loin, ce qu’il y a encore ! C’est cette sensation, unanimement partagée, que Philippe Roussel aime exprimer dans ses dernières œuvres.
Le style pictural, volontairement minimaliste, invite le spectateur à recréer par lui-même le paysage qui s’ouvre devant lui. Eau, roseaux éparpillés, sable fin et soleil sont les seuls ingrédients de cette représentation de la Camargue.
Sous l’eau, la vie ; invisible, impalpable, mystérieuse, grouillant de vitalité alors qu’un calme trompeur règne !
Les matériaux utilisés sur la toile sont pour l’essentiel, l’acrylique, les pastels et quelques collages de langues de tissus en coton.
Tous ces lieux représentés sont bien connus des locaux et représentent une nature encore à l’état sauvage, paisible, symbole d’une terre immense restant à découvrir.
Philippe Roussel souhaite à travers ses tableaux nous faire découvrir et ressentir toutes ses émotions .Il invite à ce voyage, ceux qui n’ont pas eu encore la chance de venir découvrir la Camargue. Pour ceux qui la connaissent déjà, l’odeur iodée surgit dès le premier regard sur ses œuvres.
Une collection d’une grande sensibilité desquelles se dégagent une réelle impression de bonheur et de sérénité.
Lorsqu’on le questionne sur le pourquoi de cette thématique, il répond « J’espère procurer aux spectateurs, à travers mes peintures, des sensations identiques à celles que je ressens quand je me trouve dans ce lieu empreint de la magie indescriptible qu’est la Camargue ! »
S.Konopnicki-Foujanet
Galerie du Chapitre
Texte critique Aldebert
«……. La découverte de Philippe Roussel nous amena, dans le cadre de nos recherches, à un sentiment d’immédiate appropriation personnelle et partagée. Œuvre déjà connue sur le plan local et fort appréciée en d’autres lieux d’art actuel. Mais je ne peux m’empêcher d’évoquer un rapprochement certain avec l’œuvre de Cy Twombly dans son travail diversifié. Tout cela pour rejoindre Kandinsky « dans le spirituel dans l’art » qui affirmait que la voie vers la peinture se situe entre deux domaines : celui de l’abstrait et de la « forme corporelle ».
Chez Philippe Roussel entre ces limites abstraites et concrètes, il existe dans son travail un espace infini, la profondeur, la richesse, et l’immensité des possibilités. C’est à mon avis cette voie qu’il doit poursuivre en exposant ses œuvres d’un art contemporain exempt de toute provocation mais totalement séduisant. »
JACQUES ALDEBERT
Conseiller Artistique Ministère de la Culture - Dubhaï
International Contemporary Art Association - France
Elastic Group – Bologna - Italie
Forum Artis- Art Museum - Modena
Texte critique ' Les marais Camarguais "
Philippe Roussel - Les marais de Camargue
Après les marines sombres et tourmentées, où dominait l’écume des vagues, ponctuées des mâts de chaloupes ballottées et sur le point de faire naufrage, Philippe Roussel aborde des rivages plus secrets, des marines nature-morte. L’eau ici repose, étale, quand elle ne s’est pas purement et simplement retirée, ensablée comme les barques qui parsèment de leurs contours ces plages beige, vertes, jaunes, bleues. C’est une nouvelle série, mais c’est aussi la continuation, voire l’aboutissement des travaux antérieurs. Il y a ainsi des souvenirs de tableaux plus anciens, le sujet des caravelles de 1492, les fonds multicolores des « tableaux blancs », les compositions de certains Lac de Côme et même une silhouette d’Aigues-Mortes traitée comme naguère le Mont Saint-Michel. Mais c’est bien une nouvelle géographie, une nouvelle atmosphère, et donc une nouvelle technique.
Les Marais de Philippe Roussel se construisent autour d’une couleur à la présence obsédante, un bleu étonnant, qu’un rien suffit à éteindre dans des eaux grises ou au contraire à illuminer sur des ciels dégagés. Philippe Roussel a commandé la teinte spécialement pour cette série, mais jamais il ne se laisse aller à la facilité de faire reposer son travail sur elle. Il la module sans cesse, la recouvre de blanc, de noir, gesso et fusain, et ce travail de surface donne au bleu sa profondeur et l’impression qu’il n’a pas été le point de départ, mais le but de la recherche picturale.
D’ailleurs, les compositions des Marais sont généralement tripartites et le bleu se complète ainsi la plupart du temps par un crème, plus ou moins foncé, et des verts qui vont du mélange clair des deux couleurs principales à des pâtes foncées ou le brun affleure. Rien de purement géométrique cependant dans la composition, la fluidité règne au contraire : la démarcation entre deux couleurs est rarement dessinée, souvent elle n’est même pas nette, un filet de brou de noix parfois l’efface davantage qu’il ne la souligne, et les plages de couleurs elles-mêmes sont faites de nuances infinies, multipliées encore par les légers reliefs que créent de subtils apports de matière.
Cependant, d’autres structurations se superposent au rapport entre les formes et les compositions – abstraites en elles-mêmes – s’articulent ainsi autour d’éléments qui introduisent une figuration – ou du moins un réalisme – minimaliste. Des lanières de toile, découpées dans le dos et collées sur l’endroit, divisent les étendues ; des dessins à l’encre noire les ponctuent, silhouettes de roches, croquis de la végétation des dunes, esquisses de barques, ces dernières de plus en plus allusives, à mesure que la série avance.
D’une certaine façon, ces barques reflètent la démarche picturale de Philippe Roussel toute entière. Le dépouillement l’attire et les marais de Camargue à l’automne lui en offrent le décor. Mais, comme enfoui sous la peinture, une richesse incroyable de sensations se devine. Les vibrations de lumière sont bien là, et plus encore : la force du vent, le taux d’humidité, la pression atmosphérique... Philippe Roussel s’est fait géologue et météorologue, au plus près de la nature qu’il peint. Au plus loin de sa représentation, il réinvente également l’art du géographe. Certes, ses tableaux sont des paysages, avec toutes les séductions du genre. Mais que l’on oublie pour un instant d’y chercher ce que le souvenir nous dicte d’y trouver : les perspectives s’évanouissent, l’horizon se fait frontière, et surgit alors, de la surface à nouveau aplatie, la mémoire de cartes géographiques ancestrales et d’un monde au-delà de l’archéologie, dont la peinture de Philippe Roussel conserve seule la trace.
Yves Mausen
Ancien élève de l’Ecole Normale Supérieure
Membre de l’Institut Universitaire de France
Directeur de l'Institut d'histoire des anciens pays de droit écrit
Expos itions
EXPOSITIONS PERSONNELLES
2018. Galerie des Remparts - Bordeaux
2017. Galerie des Remparts – Bordeaux
2017. Galerie de l’Ecusson – Montpellier
2016. Galerie de l’Ecusson – Montpellier
2016. Galerie des Remparts – Bordeaux
2016. Galerie Izartea – Bayonne
2015. Galerie de l’Ecusson – Montpellier
2014. Galerie de l’Ecusson – Montpellier
2013. Galerie de la Salamandre – Nîmes
2012. La Flo Gallery – St Tropez
2011. galerie de Chapitre – Nimes
2011. Centre d’Art Contemporain – Sauve
2010. Galerie du Chapitre – Nîmes
2009. Galerie tout en Art – Lyon
2009. Galerie Bulles d’Art – Toulouse
2008. Galerie Marchand de Couleurs – Ganges
2006. Maison du département - Nîmes
EXPOSITIONS COLLECTIVES
2018. Galerie Chouleur - Nîmes
2018. Kyo Gallery – Washington DC
2017. The Haen Gallery – North Carolina
2017. Galerie Izartea – Bayonne
2017. Galerie des Remparts - Bordeaux
2017. Presta’Art Gallery – Uzès
2017. Carré d’Artistes – Shangaï
2016. Carré d’Artistes – Rome
2016. The Haen Gallery – North Carolina
2015. Art Dog London Gallery – Londres
2015. Galerie Ducastel – Avignon
2015. Galerie des Arcades – Arcachon
2015. The Haen Gallery – North Carolina
2014.The Haen Gallery – North Carolina
2014. Galerie des Remparts – Bordeaux
2012. Chapelle des jésuites – Nîmes
2012. Galerie Saphir – Dinard
2011. Les Ateliers – Arles
2010. Galerie Morellon – Toulouse
2010. Galerie de la Salamandre – Nîmes
2009. Galerie Nicole Gogat – Aigues-Mortes FOIRES & SALONS
SALONS
2018. Salon Art Montpellier
2018. Salon Art3f - Luxembourg
2018. Salon Art3f - Toulouse
2017. Salon Art Montpellier – Montpellier
2017. Salon Art3f – Paris / Lyon / Nantes /Reims / Anvers
2017. Salon Sm’Art – Aix en Provence
2016. Salon Lux Art Fair – Luxembourg
2016. Edinburgh Art Fair – Edinburgh
2016. Salon Art3f – Nice
2016. Salon Art Tentation – Monaco
2016. Buy Art Fair – Manchester
2015. Salon Art3f – Metz
2015. Salon Sm’Art – Aix en Provence
2015. Salon Créativ’Art – Toulouse
2015. Biennale d’Art Contemporain – Charquemont
2014. Salon Art3f – Montpellier
2014. Salon des Arts – St Laurent des Arbres
2014. Salon Créativ’Art – Toulouse
2013. Salon des Chartrons – Bordeaux
2013. Biennale d’Art Contemporain – Laudun
2013. Salon Sm’Art – Aix en Provence
2011. Salon ArtéNim - Nimes
2010. Salon ArtéNim - Nimes
2009. Salon ArtéNim - Grenoble
2009. Salon ArtéNim - Nimes
TRAVAUX SUR PROJETS
2012 - « Beauté & Handicap » au profit de l’APF.
2013 - « Jazz à Junas » Performance sur toile de 1.50 x 3.00.
2013 - Vente aux enchères au profit de la Fondation pour la Recherche Médicale.
2014 - « L'enfance et le jeu » - Performance sur Toile 150 x 300
2015 – « Pont du Gard » - Performance sur Toile 150 x 300
2017 - Vente aux enchères pour œuvres caritatives Rotary club.
2019 - Résidence d'Artiste VCCA - Auvillar
SITE OFFICIEL : www.philippe-roussel.com
Biographie
Philippe Roussel naît à Nîmes en 1963. Artiste peintre plasticien professionnel et ancien galeriste.
Artiste membre de la Fondation TAYLOR à Paris. Inscrit au Dictionnaire Larousse des Artistes Côtés et sur Artprice.
Il réalise, très jeune, ses premières œuvres à la gouache. Après des études de droit, il suit des cours privés d’histoire de l’Art. Passionné d’archéologie et des civilisations antiques Méditerranéennes, il parcourt très jeune, les chantiers de fouilles de la région et croque sur papier les détails de mosaïques et bas reliefs découverts. Cela affirme définitivement son coup de crayon sûr et énergique.
Son style vigoureux et sa rapidité dans l’exécution de ses œuvres lui font opter pour l’acrylique plutôt que l’huile. Dés l’âge de 20 ans, son style, jusque là proche du figuratif, commence à tendre vers une semi abstraction nettement plus personnelle et dans laquelle l’artiste trouve son langage. Aujourd’hui, Philippe Roussel développe plusieurs thèmes picturaux en parallèles et enseigne la technique de l’acrylique aux couteaux. Ses travaux sont aujourd'hui présents dans différentes galeries et collections privées Françaises et à l'International.
« Si d’aucuns doutaient encore que toute œuvre d’art, quel qu’en soit le mode d’expression, parle de son auteur, le travail de Philippe Roussel devrait finir par les convaincre.
Car, fut-ce imperceptible à celui qui regarde, la peinture de Philippe Roussel raconte le parcours de sa vie et particulièrement les périodes fortes et les événements marquants qui l’on jalonnée.
A peine âgé de 10 ans, il triture déjà ses tubes de gouache pour peindre les paysages environnants, ceux de cette Garrigue Nîmoise qui l’entoure, si présente, si prégnante, si puissante.
Toute sa peinture restera, au fil des ans, marquée par ces années initiales et initiatrices, envahie par cette nature, enracinée dans cette terre d’enfance.
D’ailleurs, l’observateur minutieux saura déceler dans de très nombreuses toiles, la présence d’un arbre, d’un tronc dénudé, d’un branchage effeuillé, témoin de cet enracinement dans cette terre fondatrice.
Tout autant qu’elle est ancrée dans ces paysages provençaux, on pourrait dire que sa peinture est également encrée dans le souvenir de sa mère, personnage central de sa vie, enseignante attentive, qui lui transmet le goût du dessin et celui des valeurs essentielles de l’enracinement. Toute sa vie, sa peinture en témoigne, Philippe Roussel restera attaché aux traces qui ne s’effacent pas. Aux empreintes de la vie.
La série intitulée Tableaux mémoire évoque magnifiquement le souvenir et l’influence de cette mère institutrice et aimante, avec ces écrits de craie qu’on ne peut complètement effacer du tableau (et de la mémoire), ces encres indélébiles, ces cahiers recouverts de graffitis enfantins, ces coins de bureau où l’on grave ses émotions.
Lorsque quelques années plus tard et des cours privés d’histoire de l’art, il s’engage définitivement en peinture, après avoir été tenté par l’archéologie (tiens ! tiens !), il ne reniera pas quelques influences fortes : Picasso, son cubisme, ses encres de chine…, puis Tapiès qui lui ouvre les voies mystérieuses de l’abstraction (le compagnonnage avec Tapiès donnera naissance à une très belle série sur les Chaises : toujours ce besoin de stabilité ?) mais il s’en échappe vite ; il a besoin de raconter une histoire, son histoire.
Après une période « semi-figurative », l’écriture fait son apparition dans les toiles (elle ne les quittera plus !) au côté des objets quotidiens, des (omni) présences (comme celle des Chats), des éléments issus de la nature, des événements marquants, des rencontres vitales, des récits historiques (Les Conquistadors), des signes symboliques…
Désormais, la peinture de Philippe Roussel tentera en permanence de créer le lien entre ce qu’il a vécu (ou la trace qu’en laisse le souvenir) et ce que perçoit celui qui regarde. Alors la technique peut s’effacer au service de l’émotion qu’il souhaite transmettre.
Ainsi cette riche série sur les Fleurs, à la fois symboles de la nature enfantine, du temps qui passe et se fane, mais surtout évocatrice de la rencontre avec sa compagne. Là où d’autres offrent des bouquets, lui offre des peintures : fleurs –cœurs, tableaux traversés de messages amoureux, parsemés d’écrits lisibles ou illisibles, de lettres-pétales, de souvenirs partagés et secrets…Parfois fanées , toujours belles.
Peintures témoins d’un parcours de vie, comme les émotions rapportées de voyages, à l’image de ces Marines qui traduisent avec force le choc visuel des lumières si particulières des tempêtes bretonnes, uniques, mouvementées, parcourues d’un noir profond, indélébiles, à jamais imprimées au fond de l’œil.
La force du souvenir aura ici une influence sur la technique du peintre qui trouvera dans la puissance de l’encre de chine, l’élément le plus adapté à traduire ses visions et ses émotions.
Car l’omniprésence de la mémoire ne trouve pas seulement sa traduction sur les thèmes abordés mais aussi sur les techniques utilisées, sur le choix des matériaux et des couleurs.
Pour évoquer la « terre-mère », peu de couleurs vives mais des tons ocres, noirs, rouges, bistres…, des couleurs fanées qui évoquent à la fois la nostalgie du temps passé et la terre des originelle.
On peut dire qu’au-delà de son actualité (il peint hic et nunc pour partager des émotions présentes), la peinture de Philippe Roussel est une peinture nostalgique.
Ainsi, lorsqu’il aborde la technique de la poudre marbre, c’est toujours avec le souci de la trace, comme une archéologie de sa propre mémoire, mais aussi avec l’idée sous jacente de laisser une empreinte gravée, immuable.
(D)’écrire une peinture, c’est déjà la trahir; toutes les clefs de lecture proposées ne sont que de petits cailloux qui balisent le voyage de celui qui regarde.
Si la peinture de Philippe Roussel parle (sans doute plus que d’autres) de son histoire, de sa mémoire, de son archéologie émotionnelle, elle se met à parler de l’histoire de celui qui la découvre, dès que celui-ci y pose son regard : les souvenirs se chevauchent, les émotions se contredisent, les événements se superposent, les paysages s’enchevêtrent. L’histoire change de vie, la vie change d’histoire.
Ce sont alors deux histoires qui se confrontent et s’enrichissent : celle du peintre guidé par une nécessité intérieure et celle de celui qui lit le tableau avec sa sensibilité et sa propre expérience du monde.
Alors le tableau aborde une nouvelle étape de son histoire. Il n’en sortira pas ! »
Jacques Olivier Durand - Ecrivain
Sm'Art 2013
Parc Jourdan
Expo
Rue du Temple
Un diner sous les toiles
Hotem Mercure Montpellier
Communiqué de presse
Atelier/Galerie: 9,Rue Emile Jamais - Nîmes.Ouvert du mardi au vendredi et sur RV au 06.50.80.93.30
Présentation de marines à la Galerie Saphir à Dinard et Rue du Temple dans le marais.
Communiqué de presse
Présentation de marines à la Galerie Saphir à Dinard et Rue du Temple dans le marais.
Exposition à l'atelier de travaux sur ls chats (peintures & sculptures) en décembre 2012
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Communiqué de presse
Présentation de marines à la Galerie Saphir à Dinard et Rue du Temple dans le marais.
Communiqué de presse
Présentation de mes marines à la Galerie Saphir à Dinard et Rue du temple dans le marais.
Nouvelle exposition de la série "1492" à "La Flo Gallery" 4,rue des Feniers - St Tropez -
Grands formats à "l'Espace Modoo" 35, bd Marceau - St rémy de Provence .
Communiqué de presse
Nouvelle exposition de la série "1492" à "La Flo Gallery" 4,rue des Feniers - St Tropez -
Grands formats à "l'Espace Modoo" 35, bd Marceau - St rémy de Provence .
Retrouvez-moi le 21 septembre pour l'inauguration de mon deuxième atelier 9,Rue Emile Jamais - Nîmes.
Marines
rue du Temple
Communiqué de presse
Retrouvez-moi en septembre pour l'inauguration de mon deuxième atelier 10,Rue Emile Jamais à Nîmes.
Ouverture de mon atelier
10 rue Emile Jamais
Ouverture de mon 2ème atelier en centre ville de Nîmes.