Philippe Casaubon
Philippe Casaubon, peintre français né à Saint-Brieuc en 1952, réside actuellement à Bagnolet, en France, où il poursuit avec passion ses activités artistiques. Tout au long de sa vie, le domaine de l’imagerie a été un compagnon constant, guidant sa trajectoire personnelle et professionnelle, consciemment ou inconsciemment.
Le parcours universitaire de Casaubon, où il a étudié la publicité et les arts graphiques, et ses rôles professionnels ultérieurs, notamment dans la production vidéo, la conception de modèles et le théâtre, ont été marqués par une affinité innée pour l'expression visuelle. Le pouvoir de l’image a toujours influencé ses choix et ses parcours créatifs, façonnant son évolution en tant qu’artiste.
Ces dernières années, l'exploration artistique de Casaubon l'a conduit vers l'abstraction, trajectoire qui s'est solidifiée sous le mentorat de Jean-Yves Guionet. Guidé par les enseignements de Guionet, Casaubon a adopté l'abstraction comme principal mode d'expression artistique.
Casaubon travaille principalement sur papier en utilisant des peintures à l'huile, utilisant souvent une toile de 300 g/m2 comme support préféré. Il utilise diverses techniques préparatoires, notamment le caparol, l'acrylique, la gouache et l'aquarelle, pour rehausser la texture et la profondeur de ses compositions.
Une philosophie de durabilité sous-tend la pratique artistique de Casaubon, car il recycle fréquemment ses propres œuvres en les réutilisant et en les retravaillant. Ce processus de transformation garantit que rien n'est gaspillé, chaque pièce contribuant à l'évolution de sa vision artistique.
Le parcours artistique de Casaubon a été enrichi par sa participation à différents ateliers, dont ceux animés par Vigilio Jattosti, Bruno Mathon et Jean-Yves Guionet. C'est sous la tutelle de Guionet que Casaubon a trouvé son style distinctif et sa voix originale, Guionet servant à la fois de mentor et de catalyseur pour le développement de sa palette.
Affilié à la Maison des Artistes (MDA), Casaubon est reconnu au sein du milieu artistique pour son approche innovante de l'abstraction et son engagement envers des pratiques artistiques durables. À travers son travail, il invite les spectateurs à s'engager dans le pouvoir évocateur de l'imagerie, les invitant dans un monde de couleurs vibrantes, de textures dynamiques et de créativité sans limites.
Découvrez les œuvres d'art contemporain de Philippe Casaubon, parcourez les œuvres d'art récentes et achetez en ligne. Catégories: artistes contemporains français. Domaines artistiques: Peinture, Gravures & estampes. Type de compte: Artiste , membre depuis 2013 (Pays d'origine France). Achetez les dernières œuvres de Philippe Casaubon sur ArtMajeur: Découvrez de superbes œuvres par l'artiste contemporain Philippe Casaubon. Parcourez ses œuvres d'art, achetez des œuvres originales ou des impressions haut de gamme.
Cote artiste, Biographie, Atelier de l'artiste:
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Reconnaissance
L'artiste a remporté des prix et des récompenses
L'artiste a été publié dans les média, presse radio ou TV
L'Artiste a été mis en avant dans un article de ArtMajeur Magazine
Les travaux de l'artiste ont été remarqués par la rédaction
L'artiste participe à des salons et foires artistiques
Exerce le métier d'artiste à titre d'activité principale
Biographie
Philippe Casaubon, peintre français né à Saint-Brieuc en 1952, réside actuellement à Bagnolet, en France, où il poursuit avec passion ses activités artistiques. Tout au long de sa vie, le domaine de l’imagerie a été un compagnon constant, guidant sa trajectoire personnelle et professionnelle, consciemment ou inconsciemment.
Le parcours universitaire de Casaubon, où il a étudié la publicité et les arts graphiques, et ses rôles professionnels ultérieurs, notamment dans la production vidéo, la conception de modèles et le théâtre, ont été marqués par une affinité innée pour l'expression visuelle. Le pouvoir de l’image a toujours influencé ses choix et ses parcours créatifs, façonnant son évolution en tant qu’artiste.
Ces dernières années, l'exploration artistique de Casaubon l'a conduit vers l'abstraction, trajectoire qui s'est solidifiée sous le mentorat de Jean-Yves Guionet. Guidé par les enseignements de Guionet, Casaubon a adopté l'abstraction comme principal mode d'expression artistique.
Casaubon travaille principalement sur papier en utilisant des peintures à l'huile, utilisant souvent une toile de 300 g/m2 comme support préféré. Il utilise diverses techniques préparatoires, notamment le caparol, l'acrylique, la gouache et l'aquarelle, pour rehausser la texture et la profondeur de ses compositions.
Une philosophie de durabilité sous-tend la pratique artistique de Casaubon, car il recycle fréquemment ses propres œuvres en les réutilisant et en les retravaillant. Ce processus de transformation garantit que rien n'est gaspillé, chaque pièce contribuant à l'évolution de sa vision artistique.
Le parcours artistique de Casaubon a été enrichi par sa participation à différents ateliers, dont ceux animés par Vigilio Jattosti, Bruno Mathon et Jean-Yves Guionet. C'est sous la tutelle de Guionet que Casaubon a trouvé son style distinctif et sa voix originale, Guionet servant à la fois de mentor et de catalyseur pour le développement de sa palette.
Affilié à la Maison des Artistes (MDA), Casaubon est reconnu au sein du milieu artistique pour son approche innovante de l'abstraction et son engagement envers des pratiques artistiques durables. À travers son travail, il invite les spectateurs à s'engager dans le pouvoir évocateur de l'imagerie, les invitant dans un monde de couleurs vibrantes, de textures dynamiques et de créativité sans limites.
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Nationalité:
FRANCE
- Date de naissance : 1952
- Domaines artistiques: Œuvres d’artistes professionnels,
- Groupes: Artiste professionnel Artistes Contemporains Français

Evénements artistiques en cours et à venir
Influences
Formation
Cote de l'artiste certifiée
Accomplissements
Expositions collectives
Expositions solo
Activité sur ArtMajeur
Dernières Nouvelles
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Le Livre de Mémoire
Tout le texte ne figure pas ici. La suite est sur le site peinture et signes.fr et les images sur Artmajeur
:
Au fond d’un tiroir, jeté là par on ne sait qui, un carnet de deux cents pages au format 16x18 cm attendait de voir le jour. Il le sortit de cette cachette involontaire et le laissa traîner sur un coin de table pendant quelques semaines. Parfois il le prenait dans la main, le soupesait, l’évaluait, le feuilletait, l’interrogeait. Que faire de ce qui n’était pas encore un trésor et pourtant déjà enfoui ? Et puis une étrange monomanie imposa le besoin de remplir chacune des feuilles comme un arbre au printemps que la saison pousse à s’habiller. Besoin de laisser une trace, de répondre à l’appel d’un territoire vierge à conquérir, à ensemencer. Y mettre des mots ? Gageure qui permet à un projet de rester en l’état. A part la liste des courses, sa plume était bien pauvre. Et puis les mots trahissent les rêves. Les siens étaient féconds, nourrissants et sous une forme ou sous une autre occupaient une grande partie de sa vie. Et c’est cela qu’il avait à offrir. Des rêves, des images, des images-rêves, des images pour rêver. Il s’agissait aussi pour lui d’accomplir une sorte de rituel, un rite initiatique et peut-être à l’aide d’une écriture oubliée de retrouver des territoires perdus.
Prix 30 € port compris
Philippe Casaubon, exposition
Jardin public des Capucins, Place Abel Leblanc, Coulommiers, France
Stage Peinture et Signes
Oh Les Beaux Jours, 13 Rue des Goncourt, Paris, France
Peindre : une journée pour une approche et une pratique différente de la peinture, loin de l'académisme et de la performance artistique. Peindre, c'est exprimer sa créativité et donc être ni dans la comparaison, l'intention, l'imitation, la répétition, la modélisation ou la compensation. Durant cette journée de pratique, chacun pourra, grâce à une méthode simple et progressive être en mesure de re-trouver son écriture d'origine que le système éducatif cloisonne (système qui compare, répète, imite, projette, enferme, modélise). Apprendre à utiliser le chaos et non le fuir. Partir de ce qui devient. Expérimenter le lâcher-prise.
-Horaires : 10h00 - 17h00 -Adresse : 13, rue des Goncourt, métro Goncourt, ligne11 Prix : 80€, matériel compris -Acompte : 30€ -Déjeuner : dans le quartier ou à l’atelier
-Limité à 5 participant(e)s Tél. : 06 76 93 96 63 www.peinture-et-signes.fr pcasaubon@free.fr
21 ème biennale internationale de la gravure de Sarcelles
Sarcelles, France
Les Chevaliers de l'Art
Coulommiers
Je participe à cette exposition qui se tient à La Grange aux Dîmes, Commanderie des Templiers, Coulommiers.
Ouvert le samedi 6 et dimanche 7 ensuite le vendredi 12, samedi 13 et dimanche 14 de 15h à 18h.
Je serai présent les jours d'exposition.
Le vernissage aura lieu le samedi 6 mai à 17h.
stage Peinture et signes
ATELIER DE PEINTURE OH LES BEAUX JOURS, Rue des Goncourt, Paris, France
Peindre : une journée pour une approche et une pratique différente de la peinture, loin de l'académisme et de la performance artistique. Que faut-il pour peindre, pour créer ? Des crayons, des pinceaux, de la couleur, un support, une envie, un besoin. Penser qu'il faut un savoir, une connaissance, une compétence, une technique … c'est déjà penser ce que l'on doit faire, ce que l'on peut faire, ce qui doit être fait ; c'est déjà penser la fin du tableau. Comme si l'œuvre doit être pensée avant d'être peinte. Peindre, c'est exprimer sa créativité et donc être ni dans la comparaison, l'intention, l'imitation, la répétition, la modélisation ou la compensation. Durant cette journée de pratique, chacun pourra, grâce à une méthode simple et progressive (voir Les Images Non-Peintes d'Emile Nolde) être en mesure de re-trouver son écriture d'origine que le système éducatif cloisonne (système qui compare, répète, imite, projette, enferme, modélise). Apprendre à utiliser le chaos et non le fuir. Partir de ce qui devient. Expérimenter le lâcher-prise. « A la réflexion, il m'apparut que les taches sur le papier, bien que des plus indistinctes, m'avaient inconsciemment incité à exprimer l'aspect général d'un paysage ». Alexander Cozens (1717-1786)
-Horaires : 10 - 17h00 -Adresse : 13, rue des Goncourt, métro Goncourt, ligne 11 -Prix : 80€, matériel compris -Acompte : 30€ -Déjeuner : dans le quartier ou à l'atelier
-Limité à 5 participant(e)s Tél. : 06 76 93 96 63
Paréidolie
Galerie Art Et Société, Rue du Pont Louis-Philippe, Paris, France
Quelques jours d'exposition.
Horaires : 13h - 18h
19, rue du Pont Louis Philippe - Paris 4
stage peinture et signes
ATELIER DE PEINTURE OH LES BEAUX JOURS, Rue des Goncourt, Paris, France
Peindre : une journée pour une approche et une pratique différente de la peinture, loin de l'académisme et de la performance artistique. Que faut-il pour peindre, pour créer ? Des crayons, des pinceaux, de la couleur, un support, une envie, un besoin. Penser qu'il faut un savoir, une connaissance, une compétence, une technique … c'est déjà penser ce que l'on doit faire, ce que l'on peut faire, ce qui doit être fait ; c'est déjà penser la fin du tableau. Comme si l'œuvre doit être pensée avant d'être peinte. Peindre, c'est exprimer sa créativité et donc être ni dans la comparaison, l'intention, l'imitation, la répétition, la modélisation ou la compensation. Durant cette journée de pratique, chacun pourra, grâce à une méthode simple et progressive (voir Les Images Non-Peintes d'Emile Nolde) être en mesure de re-trouver son écriture d'origine que le système éducatif cloisonne (système qui compare, répète, imite, projette, enferme, modélise). Apprendre à utiliser le chaos et non le fuir. Partir de ce qui devient. Expérimenter le lâcher-prise. « A la réflexion, il m'apparut que les taches sur le papier, bien que des plus indistinctes, m'avaient inconsciemment incité à exprimer l'aspect général d'un paysage ». Alexander Cozens (1717-1786)
-Horaires : 10 - 17h00 -Adresse : 13, rue des Goncourt, métro Goncourt, ligne 11 -Prix : 80€, matériel compris -Acompte : 30€ -Déjeuner : dans le quartier ou à l'atelier
-Limité à 5 participant(e)s Tél. : 06 76 93 96 63
Visages du Sensualisme
Espace Christiane Peugeot -
Les peintres sensualistes ont choisi de creuser le sillon de l'émotion dans la volupté de la peinture à l'huile, de se laisser dériver au fil des mutations de la matière. Une matière légère, vaporeuse, lourde, lumineuse, colorée.
Cette exposition privilégie la multiplicité des propositions comme autant de facettes d'une même vision.
Espace Peugeot : 62, av. de la Grande Armée - Paris 17
TLJ de 14h à 19h.
Fermé les 24, 25, 31 décembre et 1er janvier.
Au plaisir de vous rencontrer, Philippe Casaubon

stage peinture et signes
ATELIER DE PEINTURE OH LES BEAUX JOURS, Rue des Goncourt, Paris, France
Peindre : une journée pour une approche et une pratique différente de la peinture, loin de l'académisme et de la performance artistique. Que faut-il pour peindre, pour créer ? Des crayons, des pinceaux, de la couleur, un support, une envie, un besoin. Penser qu'il faut un savoir, une connaissance, une compétence, une technique … c'est déjà penser ce que l'on doit faire, ce que l'on peut faire, ce qui doit être fait ; c'est déjà penser la fin du tableau. Comme si l'œuvre doit être pensée avant d'être peinte. Peindre, c'est exprimer sa créativité et donc être ni dans la comparaison, l'intention, l'imitation, la répétition, la modélisation ou la compensation. Durant cette journée de pratique, chacun pourra, grâce à une méthode simple et progressive (voir Les Images Non-Peintes d'Emile Nolde) être en mesure de re-trouver son écriture d'origine que le système éducatif cloisonne (système qui compare, répète, imite, projette, enferme, modélise). Apprendre à utiliser le chaos et non le fuir. Partir de ce qui devient. Expérimenter le lâcher-prise. « A la réflexion, il m'apparut que les taches sur le papier, bien que des plus indistinctes, m'avaient inconsciemment incité à exprimer l'aspect général d'un paysage ». Alexander Cozens (1717-1786)
-Horaires : 9h30 - 17h00 -Adresse : 13, rue des Goncourt, métro Goncourt, ligne 11 -Prix : 80€, matériel compris -Acompte : 30€ -Déjeuner : dans le quartier
-Limité à 5 participant(e)s Tél. : 06 76 93 96 63
stage Peinture et Signes le 15 novembre
Atelier Ohlesbeauxjours - Paris11ème
Peindre : une journée pour une approche et une pratique différente de la peinture, loin de l'académisme et de la performance artistique. Que faut-il pour peindre, pour créer ? Des crayons, des pinceaux, de la couleur, un support, une envie, un besoin. Penser qu'il faut un savoir, une connaissance, une compétence, une technique … c'est déjà penser ce que l'on doit faire, ce que l'on peut faire, ce qui doit être fait ; c'est déjà penser la fin du tableau. Comme si l'œuvre doit être pensée avant d'être peinte. Peindre, c'est exprimer sa créativité et donc être ni dans la comparaison, l'intention, l'imitation, la répétition, la modélisation ou la compensation. Durant cette journée de pratique, chacun pourra, grâce à une méthode simple et progressive (voir Les Images Non-Peintes d'Emile Nolde) être en mesure de re-trouver son écriture d'origine que le système éducatif cloisonne (système qui compare, répète, imite, projette, enferme, modélise). Apprendre à utiliser le chaos et non le fuir. Partir de ce qui devient. Expérimenter le lâcher-prise. « A la réflexion, il m'apparut que les taches sur le papier, bien que des plus indistinctes, m'avaient inconsciemment incité à exprimer l'aspect général d'un paysage ». Alexander Cozens (1717-1786)
-Horaires : 9h30 - 17h00 -Adresse : 13, rue des Goncourt, métro Goncourt, ligne 11 -Prix : 80€, matériel compris -Acompte : 30€ -Déjeuner : dans le quartier
-Limité à 5 participant(e)s Tél. : 06 76 93 96 63
Portes ouvertes de Belleville
ATELIER DE PEINTURE OH LES BEAUX JOURS, Rue des Goncourt, Paris, France
Pendant 4 journées exceptionnellles, nous vous invitions dans les coulisses de l'art, à la découverte d'un large panorama de la création contemporaine.
Plus de 130 artistes et collectifs dans 85 ateliers du quartier de Belleville.
L'Atelier Ohlesbeauxjours exposera :
Claire Arnal, Patricia Bitter, Philippe Casaubon et Patrick Couvreur
stage Peinture et Signes le 15 novembre
Peindre : une journée pour une approche et une pratique différente de la peinture, loin de l'académisme et de la performance artistique. Que faut-il pour peindre, pour créer ? Des crayons, des pinceaux, de la couleur, un support, une envie, un besoin. Penser qu'il faut un savoir, une connaissance, une compétence, une technique … c'est déjà penser ce que l'on doit faire, ce que l'on peut faire, ce qui doit être fait ; c'est déjà penser la fin du tableau. Comme si l'œuvre doit être pensée avant d'être peinte. Peindre, c'est exprimer sa créativité et donc être ni dans la comparaison, l'intention, l'imitation, la répétition, la modélisation ou la compensation. Durant cette journée de pratique, chacun pourra, grâce à une méthode simple et progressive (voir Les Images Non-Peintes d'Emile Nolde) être en mesure de re-trouver son écriture d'origine que le système éducatif cloisonne (système qui compare, répète, imite, projette, enferme, modélise). Apprendre à utiliser le chaos et non le fuir. Partir de ce qui devient. Expérimenter le lâcher-prise. « A la réflexion, il m'apparut que les taches sur le papier, bien que des plus indistinctes, m'avaient inconsciemment incité à exprimer l'aspect général d'un paysage ». Alexander Cozens (1717-1786)
-Horaires : 9h30 - 17h00 -Adresse : 13, rue des Goncourt, métro Goncourt, ligne 11 -Prix : 80€, matériel compris -Acompte : 30€ -Déjeuner : dans le quartier
-Limité à 5 participant(e)s Tél. : 06 76 93 96 63
Transmettre la passion de la peinture
La passion pour la peinture ou même le dessin est souvent quelque chose de profondément inné chez les adeptes. Ils vivent pour leur passion depuis le plus jeune âge et ne s’en sont jamais séparé. Selon Philippe Casaubon, peintre d’expérience, cela relève même du domaine du “sentir”, où chacun possède sa sensibilité propre. Nous lui avons posé quelques questions.
Philippe a toujours travaillé dans le domaine de l’image. Tout d’abord comme maquettiste dans l’édition, puis commercial dans le domaine de la vidéo, opérateur de prise de vue, comédien… Actuellement à la retraite, il peut enfin se consacrer entièrement à la peinture.
En statut indépendant, il est inscrit à La Maison des Artistes. Philippe propose des stages de peinture en parallèle de son activité personnelle. Pour lui, “chaque tableau doit être un nouveau jour qui efface le précédent et laisse la place au suivant. Chaque tableau est un voyage, un chemin menant là où le peintre doit aller”.
https://www.prontopro.fr/blog/transmettre-la-passion-de-la-peinture-par-des-stages-pratiques/
Les Peintres Sensualistes
Exposition Galerie Angle d'Art
Hôtel de ville Bagnolet
Cette exposition a lieu dans un espace ouvert 24/24h dans un espace de la mairie de Bagnolet visible de l'extérieur. Donc il n'y a pas d'horaires et je ne suis jamais présent sauf si vous me le demandez !
Stage Peinture et signes
Paris 11
Peindre : une journée pour une approche et une pratique différente de la peinture, loin de l'académisme et de la performance artistique. Que faut-il pour peindre, pour créer ? Des crayons, des pinceaux, de la couleur, un support, une envie, un besoin. Penser qu'il faut un savoir, une connaissance, une compétence, une technique … c'est déjà penser ce que l'on doit faire, ce que l'on peut faire, ce qui doit être fait ; c'est déjà penser la fin du tableau. Comme si l'œuvre doit être pensée avant d'être peinte. Peindre, c'est exprimer sa créativité et donc être ni dans la comparaison, l'intention, l'imitation, la répétition, la modélisation ou la compensation. Durant cette journée de pratique, chacun pourra, grâce à une méthode simple et progressive (voir Les Images Non-Peintes d'Emile Nolde) être en mesure de re-trouver son écriture d'origine que le système éducatif cloisonne (système qui compare, répète, imite, projette, enferme, modélise). Apprendre à utiliser le chaos et non le fuir. Partir de ce qui devient. Expérimenter le lâcher-prise. « A la réflexion, il m'apparut que les taches sur le papier, bien que des plus indistinctes, m'avaient inconsciemment incité à exprimer l'aspect général d'un paysage ». Alexander Cozens (1717-1786)
-Horaires : 10h00 - 17h00 -Adresse : 13, rue des Goncourt, métro Goncourt, ligne 11 -Prix : 80€, matériel compris -Acompte : 30€ -Déjeuner : dans le quartier
-Limité à 5 - 6 participant(e)s Tél. : 06 76 93 96 63
nuage et peinture
L’art commence là où finissent les mots
Un soir, à la sortie d’un spectacle de danse me vînt à l’esprit que ce que je venais de voir était facilement descriptible. La musique était proche de celle de Phil Glass. Les danseurs asiatiques vêtus de blanc avaient le crâne rasé et le corps imberbe saupoudré de blanc. Ils évoluaient et bougeaient très lentement comme en suspension au fond d’une piscine avec parfois des airs de grande souffrance. Ils ouvraient alors grand la bouche, seule tache de couleur dans cet univers incolore. Les lumières très travaillées façonnaient l’espace et les corps à demi nus des danseurs.
« Si une image se laisse expliquer, décrire avec des mots, elle n’a aucun intérêt. Si on peut l’expliquer, pourquoi la peindre ». Bacon.
Le propre de l’œuvre artistique est de ne pouvoir être transcrite en mots. Autrement dit de ne pouvoir être décrite. Un œuvre artistique a son propre langage où les mots et les phrases n’ont pas leur place.
Langage qui nous est parfaitement compréhensible puisque nous le créons et en même temps intraduisible car une fois crée, il ne nous appartient plus mais devient universel et d’une autre nature.
Nous pouvons aller des mots vers l’œuvre mais aller de l’œuvre vers les mots est un appauvrissement, une trahison. Comme une mauvaise traduction.
La seule transcription possible est au niveau des sens. L’œil ne voit que ce que l’on pense.
La musique et la peinture sont de l’ordre de ce langage intraduisible. Ces deux arts ne se disent pas autrement que par les sens. On ne peut que ressentir et goûter des impressions (bonnes ou mauvaises) face à une peinture ou à l’écoute d’une musique. On ne peut parler que de qu’on a ressenti mais parler de l’œuvre elle-même, c’est comme décrire le goût des fraises à quelqu’un qui n’en aurait jamais goûté.
Lavier souligne le divorce entre les mots et les choses : « Un objet en bois est réalisé de façon successive à partir d’un énoncé traduit du français vers l’anglais, puis de l’anglais vers le chinois, vers le russe, etc. Celui-ci prend des formes différentes au gré des traductions ».
De l'image à la peinture
« Il convient de se rappeler qu’un tableau, avant d’être un cheval de bataille, une femme nue ou une quelconque anecdote, est essentiellement une surface plane recouverte de couleurs en un certain ordre assemblées », Maurice Denis (1870 – 1943).
Il m’a fallu longtemps pour passer de l’image à la peinture. Plusieurs années. Comme il faut plusieurs années à l’enfant pour maîtriser le langage.
Tout un temps l’objet de ma peinture était le sujet et tournait autour de ce concept : je sais ce que je fais et le spectateur regardant mon travail pouvait se dire : je sais ce que je vois.
Il m’a fallu longtemps pour intégrer, et non pas comprendre, le fait que le problème est bien ailleurs.
Le peintre peint, le spectateur regarde.
Que le spectateur voit exactement ce que le peintre a voulu exprimer est parfaitement secondaire. De toute façon il ne le comprendra jamais. Ils n’ont pas le même langage. La calligraphie asiatique est d’abord un langage et pourtant nous n’en voyons que la forme. Même la pire des injures exprimée de cette façon peut être de toute beauté.
La fleur qui pousse ne s’occupe pas de l’effet qu’elle va produire. Elle peut être à la fois superbe et avoir des épines. Les uns ne vont voir que la fleur, les autres que les épines parce qu’ils en ont fait l’expérience.
Le peintre qui ne s’occupe que de l’effet qu’il va produire, oublie les épines.
La peinture est une aventure autant pour le peintre que pour le spectateur de l’œuvre. Et dans cette aventure, la carte n’est pas le territoire.
Je travaille à l’huile sur papier. J’ai toujours en cours une trentaine de peintures car je n’en vois une que par rapport à une autre et le tout forme une chaîne sans fin, intarissable et qui se nourrit d’elle-même.
L’œuvre peint se voit d’une manière globale. On ne peut goûter le Mondrian des dernières années qu’en connaissant ses débuts.
Ma peinture repose sur le rythme, la composition et l’harmonie. Harmonie, dans la mythologie, fille de Mars et de Vénus. C’est ce contraste qui me guide. Contraste de couleur, de forme, de matière, complémentarité et contraste des éléments.
"It is important to remember that a picture, before being a battle horse, a nude woman, or some anecdote, is essentially a flat surface covered with colors assembled in a certain order," Maurice Denis (1870 - 1943) .
It took me a long time to switch from the image to the painting . For several years. Since it takes several years for the child to master the language.
For a while, the object of my painting was the subject and revolved around the concept: I know what I do and the audience watching my work could say: I know what I see.
It took me a long time to integrate, not understand that the problem is elsewhere.
The painter paints, the viewer is watching.
That the viewer sees exactly what the painter wanted to express is perfectly secondary. Anyway he will never understand it. They do not have the same language. Asian calligraphy is first of all a language and yet we see only the form. Even the worst of insults expressed in this way can be beautiful.
The flower that grows does not mind the effect it will produce. It can be both beautiful and have thorns. Some do only see the flower, the other the thorns because they have experienced.
The painter who is only concerned with the effect it will produce, forget the thorns.
The painting is an adventure as for the painter and for the spectator of the work. And in this adventure, the map is not the territory.
I work in oil on paper. I always have about thirty paintings ongoing because I see one that compared to another, and the whole forms an endless chain, inexhaustible and that feeds on itself.
The work is seen painted in a comprehensive manner. One can taste the Mondrian recent years by knowing its infancy.
My painting is based on rhythm, composition and harmony. Harmony, in mythology, the daughter of Mars and Venus. It is this contrast that guides me. Color contrast, shape, material, complementarity and contrast elements.
Avis et commentaires





















