Oliverb

Actuellement, j'explore et j'apprends les possibilités et applications de l'Art-thérapie Pluriexpressionnelle. Cette formation qualifiante est agréée par la F.F.A.T. c'est-à-dire la Fédération Française des Arts-Thérapeutes.


Cela pourrait sembler obscure à nombre de personnes, alors qu'il s'agit d'utiliser le potentiel artistique de chacun -ce, dans la mesure où prendre un crayon par exemple, chanter ou encore être simplement capable de quelque chose s'approchant même "de loin" au domaine plastique en général- afin d'aller vers un mieux être certain et constatable par la/les personnes qui s'adressent à un Art-thérapeute.


J'avoue que cette voie me semblait autant riche et intéressante, qu'elle demandait une qualification dans la mesure où il ne s'agit pas à proprement parler de "faire de l'Art", ni de "faire du Beau".

Or, pour avoir été en situation de demandeur et d'expérimenter cette approche douce, force est de constater que "quelque chose se passe" et "peut se passer positivement".


Jusqu'alors, j'intervenais bénévolement auprès d'associations dans des ateliers de lâcher-prise c'est-à-dire où l'on peut même (voire surtout) se laisser aller à prendre un crayon, un fusain, des pastels ou autre (peinture,etc.) et tout en fermant les yeux, laisser faire le geste sur le papier.

A partir de cela, les traces obtenues pouvaient donner naissance à des personnages, des visages, des paysages et autre.

Bref, cela permettait et permet toujours d'ailleurs de "savoir dessiner" y compris pour les plus convaincus à l'endroit de se dire : "je ne sais pas dessiner".


A force d'animer de tels ateliers, ainsi que d'une "rencontre" de l'art-thérapie par un ami qui participait justement à un groupe d'Art-thérapie, je m'y suis un temps soit peu intéressé pour à présent me positionner et me former à la pratique de l'art-thérapie depuis cette année 2010.


Le terme "Pluriexpressionnel" signifie que le thérapeute (moi-même en l'occurrence) sera quelqu'un qui sera capable d'orienter vers tel ou tel support artistique donc qui connaît ces manières de travailler différentes, adaptées aux possibilités et préférences de chacun.


De fait, j'ai mis en place un site web qui développe (enrichissement en cours) et explique ce que je fais que ce soit artistiquement ou bien en tant qu'animateur d'ateliers de "lâcher-prise" et de même, ce que l'Art-thérapie peut proposer.


Je vous invite donc à faire un petit tour vers ce lien : qui, par respect pour Artmajeur ainsi que la règle fixé par le site se trouve dans la page de mes contacts, site où j'ai commencé à montrer mes toiles et dessins il y a cinq ans déjà.


Avis aux amateurs...!


Sincèrement et bien à vous,


Olivier b

21 ans de pratiques, d'utilisation de différents mediums, supports et techniques plastiques pour en arriver à ce que je fais à présent, sachant délibérément quelles règles je puis enfreindre et surtout pourquoi. Car au regard des originaux, il est ma volonté de liberté non-académique risque que je me pose de potentielles difficultés auprès de certains "diffuseurs" de l'expression plastique "actuelle". A ceux-là, je demanderai de lire ou relire un certain livre d'Elie Faure où il est vu que certaines images pourtant très proches (la photo y est utilisé simplement pour montrer et mettre en exergue, bref illustrer les propos) sont d'époques différentes, de civilisation différentes et de techniques improvisées bien souvent... Ainsi, toute question quant à mes motivations plastiques peut bien sûr être entendue ... sous réserve exclusive, nécessaire mais non suffisante que la réponse soit elle aussi écoutée et entendue. Sincèrement vôtre, Olivier b

21 ans de pratiques, d'utilisation de différents mediums, supports et techniques plastiques pour en arriver à ce que je fais à présent, sachant délibérément quelles règles je puis enfreindre et surtout pourquoi. Car au regard des originaux, il est ma volonté de liberté non-académique risque que je me pose de potentielles difficultés auprès de certains "diffuseurs" de l'expression plastique "actuelle". A ceux-là, je demanderai de lire ou relire un certain livre d'Elie Faure où il est vu que certaines images pourtant très proches (la photo y est utilisé simplement pour montrer et mettre en exergue, bref illustrer les propos) sont d'époques différentes, de civilisation différentes et de techniques improvisées bien souvent... Ainsi, toute question quant à mes motivations plastiques peut bien sûr être entendue ... sous réserve exclusive, nécessaire mais non suffisante que la réponse soit elle aussi écoutée et entendue. Sincèrement vôtre, Olivier b

Bonjour,

une galerie parisienne (Galerie Thuillier - troisième arrondissement parisien) m'a invité
de participer d'une exposition pour la rentrée de la nouvelle année.

Cette exposition aura lieu fin aout 2010 jusqu'au 09 septembre 2010, alors...

Avis aux intéressés auxquels je puis envoyer un flyer d'invitation à celle-ci dès le vernissage
qui devrait avoir lieu un vendredi, le dernier d'août 2010...!

Artistiquement vôtre,

Olivier b

Jour bon à chacun...!

Une petite note pour signaler
que -outre une publication dans "La Bible de l'Art Singulier & Inclassable 2010-2011"
en page 82 en ce qui me concerne qui s'est vu recevoir un accueil plus
que convivial- les éditions ICONOFOLIO à l'origine du projet, de l'ouvrage,
(débusquer environ 200 artistes Singuliers, Art Brut, voire Art "Inclassable",
mais Art surtout organisent une expo-signature ce week-end...!

En effet, ce samedi, je serai à la Halle Saint-Pierre avec quelques "Bibles de l'Art 2010-2011(...)"
dont les premières et quatrièmes de couvertures ont été rééditées avec une pagination
"individualisées" : ces "Bibles Singulières" seront personnalisées par les artistes volontaires
et mises en vente au public.

Alors, si la couleur et la forme vous tentent... Bienvenue à chacun !

Actuellement trois de mes récentes huiles sont en exposition à la Decourtnay Galerie.

D'autre part, je participe au Prix Ambassadeurs 2005 dont le thème pour la cuvée 2005 était liée à Jules Verne... A suivre donc!

Comme vous le savez, je n'ai pas d'exposition à mon actif en ce que je n'ai jamais cherché à en faire. Car si je bâtie bel et bien mes dessins et peintures à partir de relation et/ou de par la parole de l'inconscient, il m'était difficile de m'en séparer en laissant à Autrui mes "visions".
Pourtant aujourd'hui je me trouve dans une dynamique tout à fait étrangère puisque j'ai besoin de confronter mes peintures (essentiellement) au regard de l'Autre. Mais je souhaite que ce regard soit dynamique aussi. Ce faisant, je crois qu'une personne qui fait l'acquisition d'une oeuvre a elle aussi une vision et un affect pour ce qu'elle acquiert et que celle qui fait la démarche d'aller voir un travail pictural est elle aussi "en mouvement".

En cela, je vais tenter de trouver un lieu d'exposition et vous, visiteur, si vous êtes avide de voir mes huiles en cours de réalisation et en cours de séchage pour vous assurer de la qualité de mon travail en vue d'une exposition, alors n'hésitez pas : contactez-moi.

OLIVIER B

Né près de Paris en 1970, j'ai commencé à pratiquer le dessin en 1986. En 1991, j'y ai ajouté le travail de la couleur en utilisant craies et pastels puis peintures à l'huile et acrylique.

C'est à l'occasion d'un accident me privant momentanément de l'usage d'une main que j'ai décidé de conserver mes travaux que je détruisais au fur et à mesure jusqu'alors. Je n'ai donc pas encore d'exposition à mon actif.

Autodidacte et revendiquant l'étiquette de créateur d'art brut, je laisse au spectateur le libre sens de mes peintures même si elles ont un titre. Son regard est un lieu dans lequel j'espère trouver un échos, une résonnance.

Mon travail a pour origine la pensée de Lévinas et les torsions de Bacon mais il s'y trouve une tentative de relier grâce à ce Symbolique, au Symbolique une lecture qui a vu un lien -lien de sens bien sûr- de cet Emmanuel Lévinas d'une richesse humaine impressionante, d'un Maurice Merleau-Ponty dont la phénoménologie aura su en faire un acteur d'une Petite sagesse... et d'un certain Henri Bergson fascinant de par sa grâce, sa justesse ainsi que de sa pertinence.

De ce fait, je mets du sens avant tout dans ce qui a figure humaine d'après une impression laissée, un récit, un émoi, une indifférence, sans oublier qu'une invitation au voyage se glissera dans mon travail.

Lors de votre visite, n'oubliez pas de passer par le livre d'or afin d'y laisser vos impressions qui m'intéresseront soyez-en sûrs, qu'elles soient convenantes ou non.

Je peins de l’humain. Je peins depuis des impressions, des rencontres, des sentiments, des prises de conscience mais non de positions. Il s'agit d'une peinture empreinte d'une culture, de lectures.

Je témoigne car je montre.

Je veux témoigner et assurer à la poétique pensée d’Emmanuel Lévinas qu’il est possible de représenter l’humain sans l’altérer ni le défaire de sa dynamique et d’une éthique du visage. Ces figures ne s’exposent pas à la lumière : ils la constituent.

Je veux oublier mes efforts dix ans durant de précisions, d’académisme : il faut être brut pour créer. Peindre c’est aussi créer, faire de l’image… Celle qui n’appartient pas au réel mais ne s’en écarte pas tant que cela finalement. On créé parfois d’autant que l’on ne maîtrise pas vraiment.

Vous souvenez-vous de ces photos manquées qui vous dépossèdent de ce que l’on souhaite diriger : son image corporelle ou non. De ces expressions gênantes, donnons-leur de l’unicité en oubliant la gêne et en écartant toute perspective réelle. Alors, tentons de restituer ceci : l’humain ainsi représenté et regardé nous rappellera notre riche diversité respectable et toute spécifique.
Né près de Paris en 1970, j'ai commencé à pratiquer le dessin en 1986. En 1991, j'y ai ajouté le travail de la couleur en utilisant craies et pastels puis peintures à l'huile et acrylique, collages modelages puis sculpture (différents supports).


De ce fait, je mets du sens avant tout dans ce qui a figure humaine d'après une impression laissée, un récit, un émoi, une indifférence, sans oublier qu'une invitation au voyage se glissera dans mon travail. Mais j'ai développé mon travail également en le sachant in fluencé par une culture, mienne, appartenant à une particularité que je ne désigne pas en ce qu'elle n'est -par exemple- ni occidentale, ni française : une culture n'a guère de "facies" en ce qu'elle se glisse discrètement lors du processus d'échange développé lors de l'éducation de l'enfant, soit lors d'une confrontation depuis une lecture ethnocentrée d'un mode de vivre différent, de saisie du vivre "étranger" absolument passionnant.

Je songe donc profondément à "itinérer" afin de découvrir des impressions que je ressentirais sans, il est vrai, saisir la et les subtilités que confère la "rencontre de deux cultures". Car si nous tentons de célébrer une culture, vain de tenter de rencontrer la sienne ni celle d'Autrui. Non seulement je pointe ici l'acculturation en soulignant la vanité quant à prétendre la "rencontre" -soit la co-ïncidence- de deux voire plusieures cultures... Mais aussi et surtout, en ce que nous sommes "éduqués" alors, notre culture n'aura de cesse de nous échapper. Pour preuve?
La linguistique! Par l'exemple du signifiant qui n'est pas nécéessairement le signifié.
Autre exemple ?
Et bien justement, notre subjectivité, notre condition même, qu'elle soit celle de l'humain, celle d'un social ou de toute autre entité identifiable et qui nous incarne en tant que personne... D'ailleurs, ne l'incarnons-nous pas non plus ?! Là est un débat dont je pense vouloir sortir si ce n'est par un dialogue Symbolique, de ce Symbolique qui nous est langage sans " en être vraiment" mais en ce qu'il nous permet d'initier notre Réel de même que notre Imaginaire.


Ainsi, peut-être que la seule culture que je puisse entendre est celle qui se traduit lors de sa transcription symbolique. Car l'Image a pour origine ce que nous en avons oublié : elle appartient à l'imaginaire.

En cela, une image artistique a ceci de particulier, qu'elle n'appartient pas au réel, qu'elle ne s'y doit plus, qu'elle n'a pas à le transcrire "fidèlement" mais bien au contraire qu'elle doit s'en ex-traire. Elle s'exclut ainsi du "régime" du Réel. Ces petites idées (Symbolique-Réel-Imaginaire), Monsieur Jacques LACAN nous aura au moins permis d'y réfléchir même s'il était le premier à nous bousculer en nous lançant un langage hermétique et paradoxalement tellement limpide. Ne serait-ce pas là une hypothèse (réductrice certes...!) à envisager concernant son échange également ou "l-également" chahuté autant qu'il eut pu dire...?Je ne sais ni ne saurai.

Lors de votre visite, n'oubliez pas de passer par le livre d'or afin de pouvoir me laisser ... quelques mots.

Perplexe peut-être mais tellement intéressé que l'oeil soit -comme Maurice MERLEAU-PONTY le désigna "L'oeil ET l'esprit" au point d'écrire un livre du même oeil et du même Esprit qui permet de constituer une approche tangible de sa pensée, non d'y voir un Homme parachevant sa vie ou son oeuvre par un petit regard vers l'image.
Car dans ce livre, nous pouvons transposer une serrure nous permettant de l'aborder, non d'apercevoir un philosophe poursuivant son oeuvre : il nous y a proposé une rencontre de sa "Phénoménologie ( de la Perception)".
Le verbe, le commentaire d'un érudit, d'un juge de l'oeil a pour élan l'Oeil innocent d'une personne qui n'y "connait rien" mais qui se contente d'aimer ou de ne pas aimer, de le faire savoir, de le faire valoir, et c'est parfois un courage, surtout en ce qui concerne l'art que l'on dit Art.

"S'y connaître" en "Art" est quelque chose qui semble sérieux mais qui n'a en-soi aucune pertinence : la pertinence des critiques d'Art n'a de sens et de crédibilité qu'en ce qu'il est entendu par Autrui, et "négocié" par une des conditions humaines : le langage, sa com-munication, bref, son exposition, ses divergences, ses erreurs, sa légitimité, mais jamais son refus de l'inculte... Connaissez-vous quelqu'un d'inculte ? Il paraît qu'il serait cet "Enfant Sauvage" que tant d'ethnologues on pu penser trouver il y a encore quelque temps pour savoir à présent qu'un homme ne peut être homme que s'il est sous influence d'un milieu et de lui-même et que ce mythe de l'Enfant "sauvage" reste un fantasme...ou plutôt une image : un reflet qui ne provient pas du réel puisqu'il ne s'y trouve pas!

21 ans de pratiques, d'utilisation de différents mediums, supports et techniques plastiques pour en arriver à ce que je fais à présent, sachant délibérément quelles règles je puis enfreindre et surtout pourquoi.

Car au regard des originaux, il est ma volonté de liberté que ma pratique picturale non-académique risque de me poser de possibles difficultés auprès de certains "diffuseurs" de l'expression plastique "actuelle".
A ceux-là, je demanderai humblement de lire ou relire un certain Elie Faure qui aura tenté d'orienter l'histoire de l'art par le prisme d'un anachronisme quelque peu déconcertant. Il nous invite à voir : que certaines images pourtant très proches (la photo y est utilisé simplement pour montrer et mettre en exergue, bref illustrer les propos) puissent être d'époques différentes, de civilisation différentes, de culture, disons-le d'ethnies forts éloignées dont les techniques ont pu soit être spontanées, improvisées, et d'autres fois non. Mais je n'aspire qu'à traiter de l'humain, spécifiquement au travers du visage.

Ainsi, toute question quant à mes motivations plastiques peut bien sûr être entendue ... sous réserve exclusive, nécessaire mais non suffisante que la réponse soit elle aussi écoutée et entendue.

Sincèrement vôtre, Olivier b

Je ne puis vous proposer d'Image concernant mon atelier : un atelier doit rester secret, il est lieu de l'Intime...

Seules les visites spontanées sont possibles... A vous de me surprendre, et ainsi de pouvoir y rentrer ?!

Cdt

Point de récompense ne semble nécessaire à moins que l'on en fasse la demande signifiée...

Sincèrement,

Olivier avec un "b"