Le cadet d’une famille de deux filles et deux garçons. Je ne cessais, dès mon enfance, de perturber la maison, toujours à la recherche d’un bout de papier, déchirant mes cahiers pour trouver un endroit où coucher mes premiers dessins : B.D, paysages, portraits….A l’école, toujours j’affichais mes œuvres au fond de la classe et j’aimais aussi dessiner avec les craies colorées sur le tableau noir.
Au collège, découvrant la peinture à l’eau, les règles de dessin d’observation, la perspective et le croquis.
J ai décidé alors de partir à l’aventure, mes profs d’éducation plastique m’ont orienté pour étudier les arts plastiques au lycée les Orangers à Rabat
Bon premier de la classe, alors bac arts plastiques
Ces premier pas m’ont conduit au nord du Maroc , à Tètouan , plus précisément à l’institut national des beaux –arts .la bas, j’ai découvert l’ancienne ville aux rues étroites et basses, ses portes, ses femmes voilés au Hayek .
J’ai commencé, alors, à vendre mes premières productions dans les galeries de Tètouan pour payer mes études car la couleur coûte cher.
Trois ans s’écoulent encore
De Tétouan, le monde du conservatoire et ateliers, à Rabat ,vers l’université Mohamed V et exactement au département de communication professionnelle. C’était aussi la découverte du monde des arts graphiques et l’impression avec des machines offset à I.S.T.A de Salé.
Un an s’écoule encore
Résultat : licence appliquée en communication professionnelle et diplôme d’art graphique à l’ I.S.T.A
Ces compétences m’ont permis de rejoindre le monde de l’enseignement des arts plastiques c’est le C.P.R de Rabat et les grands peintres contemporains marocains.
Un an s’écoule encore …
Au cœur de Paris, c’est l’occasion pour moi de découvrir le Louvre, Cézanne et Pissarro Manet et Monet …Paris, ses rues, son architecture, la sainte et les grands peintres, le travail en groupe, dans le groupe et le masque peint sur le visage .cette nouvelle expérience m’a donné l’occasion de découvrir les visages et les considérés comme pages blanches sur lesquelles lignes, formes et couleurs s’interprètent.
Ses pas m’ont conduit à animer des ateliers d’arts plastiques aux facultés de l’université Mohamed V à Rabat.
Un an s’écoule encore…
J’ai été affecté à Ouarzazate, j’ai partagé la vie des berbères du Sud marocain, j’ai observé, analysé, emmagasiné, et interprété l’architecture colorée qui est devenue progressivement toile.
A kalaàt M’gouna, ma peinture s’est transfigurée de nuit en nuit, mes aquarelles ont pris une vivacité et un rythme puissant.
Je travaille sans relâche, j’expose aux kasbahs, je rencontre des étrangers, j’évolue, j’enseigne je cherche et je me métamorphose.
Les œuvres d'art se passent de philosophie car elles s'adressent avant tout aux sens, aux nerfs, au psychisme, à la part de spiritualité ou au contemplatif en soi.
Le cadet d’une famille de deux filles et deux garçons. Je ne cessais, dès mon enfance, de perturber la maison, toujours à la recherche d’un bout de papier, déchirant mes cahiers pour trouver un endroit où coucher mes premiers dessins : B.D, paysages, portraits….A l’école, toujours j’affichais mes œuvres au fond de la classe et j’aimais aussi dessiner avec les craies colorées sur le tableau noir.
Au collège, découvrant la peinture à l’eau, les règles de dessin d’observation, la perspective et le croquis.
J ai décidé alors de partir à l’aventure, mes profs d’éducation plastique m’ont orienté pour étudier les arts plastiques au lycée les Orangers à Rabat
Bon premier de la classe, alors bac arts plastiques
Ces premier pas m’ont conduit au nord du Maroc , à Tètouan , plus précisément à l’institut national des beaux –arts .la bas, j’ai découvert l’ancienne ville aux rues étroites et basses, ses portes, ses femmes voilés au Hayek .
J’ai commencé, alors, à vendre mes premières productions dans les galeries de Tètouan pour payer mes études car la couleur coûte cher.
Trois ans s’écoulent encore
De Tétouan, le monde du conservatoire et ateliers, à Rabat ,vers l’université Mohamed V et exactement au département de communication professionnelle. C’était aussi la découverte du monde des arts graphiques et l’impression avec des machines offset à I.S.T.A de Salé.
Un an s’écoule encore
Résultat : licence appliquée en communication professionnelle et diplôme d’art graphique à l’ I.S.T.A
Ces compétences m’ont permis de rejoindre le monde de l’enseignement des arts plastiques c’est le C.P.R de Rabat et les grands peintres contemporains marocains.
Un an s’écoule encore …
Au cœur de Paris, c’est l’occasion pour moi de découvrir le Louvre, Cézanne et Pissarro Manet et Monet …Paris, ses rues, son architecture, la sainte et les grands peintres, le travail en groupe, dans le groupe et le masque peint sur le visage .cette nouvelle expérience m’a donné l’occasion de découvrir les visages et les considérés comme pages blanches sur lesquelles lignes, formes et couleurs s’interprètent.
Ses pas m’ont conduit à animer des ateliers d’arts plastiques aux facultés de l’université Mohamed V à Rabat.
Un an s’écoule encore…
J’ai été affecté à Ouarzazate, j’ai partagé la vie des berbères du Sud marocain, j’ai observé, analysé, emmagasiné, et interprété l’architecture colorée qui est devenue progressivement toile.
A kalaàt M’gouna, ma peinture s’est transfigurée de nuit en nuit, mes aquarelles ont pris une vivacité et un rythme puissant.
Je travaille sans relâche, j’expose aux kasbahs, je rencontre des étrangers, j’évolue, j’enseigne je cherche et je me métamorphose.
