Toutes les oeuvres de Lem
3D • 10 oeuvres
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Vestiges d'une époque où la richesse était censée refléter le faste de la vie de Cour, Molière avec[...]
Vestiges d'une époque où la richesse était censée refléter le faste de la vie de Cour, Molière avec ses parodies n’avait pas manqué de souligner dans « Les précieuses ridicules » le besoin d’enjoliver par le verbe le moindre des objets les plus usuels.
Utilité de l’Art ou l’Art utilitaire.
L’architecte Lenôtre va donner une organisation complète du paysage et du territoire. Le jardin va conquérir l'horizon, le jardin n'est plus un espace clos de murs mais devient un lieu d’agrément et de commodité.
Cet urinoir de camping résume à mon sens la coordination du fastueux et du rationnel.
Urinoir de camping !
Quoi de plus étrange de vouloir aller camper dans un confort édulcoré de gadget !
Chaises énormes pliantes, appareils électriques énergivores, autocaravanes, etc…
Ne suffit-il pas d’uriner au pied d’un arbre pour se sentir libre ?
Essayez-le!
A la fois coquin ou mal-propre cet acte, dépendamment de l’acteur ou du spectateur prend une allure de moralité s’il est concentré dans un bol.
Le voici devant vous.
Ah ! Je vous dérange, alors je sortirai de sous le lit et quand on m’appellera Thomas!
Thomas* : Le nom Thomas donné au pot de chambre, maintenant détrôné par le trône, a veillé dans la nuit des temps auprès du lit de nos ancêtres. Il était donc légitime d’entretenir une certaine familiarité avec un objet qui a connu l’intimité des petits et des grands hommes. Aussi, on le personnifia en « thomas » voir pour croire, vers 1830, et en « jules », pâpe Jules II, célèbre pour ses « débordements » en 1866.
Utilité de l’Art ou l’Art utilitaire.
L’architecte Lenôtre va donner une organisation complète du paysage et du territoire. Le jardin va conquérir l'horizon, le jardin n'est plus un espace clos de murs mais devient un lieu d’agrément et de commodité.
Cet urinoir de camping résume à mon sens la coordination du fastueux et du rationnel.
Urinoir de camping !
Quoi de plus étrange de vouloir aller camper dans un confort édulcoré de gadget !
Chaises énormes pliantes, appareils électriques énergivores, autocaravanes, etc…
Ne suffit-il pas d’uriner au pied d’un arbre pour se sentir libre ?
Essayez-le!
A la fois coquin ou mal-propre cet acte, dépendamment de l’acteur ou du spectateur prend une allure de moralité s’il est concentré dans un bol.
Le voici devant vous.
Ah ! Je vous dérange, alors je sortirai de sous le lit et quand on m’appellera Thomas!
Thomas* : Le nom Thomas donné au pot de chambre, maintenant détrôné par le trône, a veillé dans la nuit des temps auprès du lit de nos ancêtres. Il était donc légitime d’entretenir une certaine familiarité avec un objet qui a connu l’intimité des petits et des grands hommes. Aussi, on le personnifia en « thomas » voir pour croire, vers 1830, et en « jules », pâpe Jules II, célèbre pour ses « débordements » en 1866.
Arcanes de Vie • 21 oeuvres
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Tirez une carte mesdames, messieurs, votre aventure ne fait que commencer! Venez vivre une expérience[...]
Tirez une carte mesdames, messieurs, votre aventure ne fait que commencer! Venez vivre une expérience hors du commun! Bien plus qu’une exposition d’arts visuels atypique, Arcanes de Vie est une invitation à la réflexion et à l’introspection personnelle repoussant les frontières de la connaissance de soi.
Cette exposition se penche sur le travail de Christophe Lemière. Artisan, peintre, sculpteur et restaurateur de monuments historiques, LEMière est ce que l’on pourrait appeler un artiste complet qui ne manque pas d’utiliser ses différents acquis pour nourrir sa propre réflexion artistique. Dans sa démarche picturale et sculpturale, il ne veut s’affilier à aucun courant artistique défini, ce qui rend son travail d’autant plus intéressant car innovateur.
Véritable immersion dans le monde de la magie, cette exposition a l’ambition d’offrir à chaque spectateur une formule de méditation et de réflexion sur soi. Pour cela, l’artiste opère une synthèse entre sa propre iconographie et les jeux de hasard et de stratégie tant présents dans notre société. Chaque spectateur est conduit par un jeu de hasard à prendre conscience de ses forces, de ses faiblesses et, s’il le désire, à redéfinir les fondations de son être.
En se ré-appropriant le symbolisme du tarot, LEM propose ici, à chacun, de vivre une expérience unique et personnelle.
Sources : Christine Devey. Courriel :
Cette exposition se penche sur le travail de Christophe Lemière. Artisan, peintre, sculpteur et restaurateur de monuments historiques, LEMière est ce que l’on pourrait appeler un artiste complet qui ne manque pas d’utiliser ses différents acquis pour nourrir sa propre réflexion artistique. Dans sa démarche picturale et sculpturale, il ne veut s’affilier à aucun courant artistique défini, ce qui rend son travail d’autant plus intéressant car innovateur.
Véritable immersion dans le monde de la magie, cette exposition a l’ambition d’offrir à chaque spectateur une formule de méditation et de réflexion sur soi. Pour cela, l’artiste opère une synthèse entre sa propre iconographie et les jeux de hasard et de stratégie tant présents dans notre société. Chaque spectateur est conduit par un jeu de hasard à prendre conscience de ses forces, de ses faiblesses et, s’il le désire, à redéfinir les fondations de son être.
En se ré-appropriant le symbolisme du tarot, LEM propose ici, à chacun, de vivre une expérience unique et personnelle.
Sources : Christine Devey. Courriel :
Polyédrisme lingual • 17 oeuvres
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Actuellement, je travail le même concept d’œuvres qui se montent et s’agencent entre elles.
Comme un[...]
Actuellement, je travail le même concept d’œuvres qui se montent et s’agencent entre elles.
Comme un puzzle mais pas forcément accessible au premier quidam chaque pièce est un élément de message jeté à la mer. Mes niveaux de lectures et d’actions emmènent progressivement le néophyte vers une prise de conscience où, loin d’un système éducatif ou d’apprentissage, il se forme et forge ses outils pour se (re)construire.
Ces lectures se répartissent comme suit:
Nb : ne pas oublier que les oeuvres peuvent être manipulées et touchées.
1) L’approche par le corps (je reconnais des formes humaines, il y a t’il d’autres choses ?)
2) La nudité (l’artiste dit-il quelques choses que je n’ose pas dire de par mon éducation ?)
3) Le mouvement / énergie ( si cela bouge, le temps est-il facteur de déformation de l’œuvre?)
4) Les formules et symboles (des sciences exactes peut-on passer aux inexactes ?)
5) Les couleurs (spyché-peinture) (quelles sont les couleurs qui me font vibrer et pourquoi ? )
Ces 5 marches permettent dans les meilleures circonstances de positionner le spectateur ( l’intermédiaire) comme quelqu’un qui comprend le langage de base, même si cela fait partie de ses interdits ‘’Judéo-chrétiens’’ …….
De là il reconnaît les mathématiques (qui passe pour une science exacte) notion éducative scolaire incontestable et quelques autres symboles imprimés dans le subconscient collectifs.
Il ajoute sa notion de goût (couleur agencement design de l’œuvre)
De l’énergie qui découle de cette interaction œuvre spectateur, mon but est atteint lorsque celui ci commence à tirer sur le fil d’Ariane conscient que son travail ne fait que commencer.
A partir de ce moment le jeu commence car les œuvres se manipulent et s’agencent entre-elles, (pas toutes), et ce d’une façon unique par chaque intervenant. Aussi le quidam commence à créer son œuvre sans le savoir comme un enfant écrit ses premières phrases.
Au-delà de la barrière culturelle, linguistique, mon travail tente de faire s’affirmer les êtres quelque que soit leurs capacités et connaissances sans qu’il ait besoin d’argumenter leur point de vu car il est in situ forcément différent.
A partir de cet instant ils peuvent communiquer.
Comme un puzzle mais pas forcément accessible au premier quidam chaque pièce est un élément de message jeté à la mer. Mes niveaux de lectures et d’actions emmènent progressivement le néophyte vers une prise de conscience où, loin d’un système éducatif ou d’apprentissage, il se forme et forge ses outils pour se (re)construire.
Ces lectures se répartissent comme suit:
Nb : ne pas oublier que les oeuvres peuvent être manipulées et touchées.
1) L’approche par le corps (je reconnais des formes humaines, il y a t’il d’autres choses ?)
2) La nudité (l’artiste dit-il quelques choses que je n’ose pas dire de par mon éducation ?)
3) Le mouvement / énergie ( si cela bouge, le temps est-il facteur de déformation de l’œuvre?)
4) Les formules et symboles (des sciences exactes peut-on passer aux inexactes ?)
5) Les couleurs (spyché-peinture) (quelles sont les couleurs qui me font vibrer et pourquoi ? )
Ces 5 marches permettent dans les meilleures circonstances de positionner le spectateur ( l’intermédiaire) comme quelqu’un qui comprend le langage de base, même si cela fait partie de ses interdits ‘’Judéo-chrétiens’’ …….
De là il reconnaît les mathématiques (qui passe pour une science exacte) notion éducative scolaire incontestable et quelques autres symboles imprimés dans le subconscient collectifs.
Il ajoute sa notion de goût (couleur agencement design de l’œuvre)
De l’énergie qui découle de cette interaction œuvre spectateur, mon but est atteint lorsque celui ci commence à tirer sur le fil d’Ariane conscient que son travail ne fait que commencer.
A partir de ce moment le jeu commence car les œuvres se manipulent et s’agencent entre-elles, (pas toutes), et ce d’une façon unique par chaque intervenant. Aussi le quidam commence à créer son œuvre sans le savoir comme un enfant écrit ses premières phrases.
Au-delà de la barrière culturelle, linguistique, mon travail tente de faire s’affirmer les êtres quelque que soit leurs capacités et connaissances sans qu’il ait besoin d’argumenter leur point de vu car il est in situ forcément différent.
A partir de cet instant ils peuvent communiquer.
Le positif du négatif • 12 oeuvres
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Le POSITIF du NÉGATIF
L’Espace est-il en compression ou en expansion ?
Après 3 ans de tentatives d’expressions[...]
Le POSITIF du NÉGATIF
L’Espace est-il en compression ou en expansion ?
Après 3 ans de tentatives d’expressions flamboyantes concernant l’énergie vitale, l’aura, le mouvement (la psyché-peinture), il faut bien admettre que la vision de Christophe était des plus emportée dans la polychromie.
Etions-nous prêts à voir ses couleurs, avons-nous cru à ses dires, avons-nous ouvert notre troisième conscience ?
Il semblerait que notre accélérateur de particules en soit resté au mode d’emploi.
Bien sûr, la faute lui en incombe a priori car sa vision n’était qu’une translation énergétique de sa fréquence.
Pléthore d’informations sur la toile, son langage s’est traduit par cette explosion de primaires et secondaires coquine, parfois sauvage, où l’essentiel du dire s’est noyé dans ce monologue à multiple niveaux.
Conscient de cette état d’incompréhension, de cette inaccessibilité, LEM nous ramène et retourne à l’école de la rééducation par sa nouvelle démarche.
Du tableau noire à la craie blanche, il reprend pour vous les bases mathématiques et physiques qui semblent acquises comme une vérité absolue.
Se limitant au noir et blanc pour simplifier son décryptage, il tente de prouver aux intéressés que la science exacte est très proche de l’inexacte. Dans un jeu d’ombres inversées il associe les + et – comme un résultat absolu, associant l’échelle astronomique aux rapports humains.
Est-il le quantième d’une molécule, est-il en expansion ou compression ?
Qu’importe, actuellement il étale comme une mer à la tangente lunaire.
Reprenant le métier à la base il va de nouveau grandir, rajoutant au fur et à mesure de sa progression des couleurs, des fréquences, de la même façon que des molécules de base ont formé des molécules complexes.
C’est là son univers…………….
L’Espace est-il en compression ou en expansion ?
Après 3 ans de tentatives d’expressions flamboyantes concernant l’énergie vitale, l’aura, le mouvement (la psyché-peinture), il faut bien admettre que la vision de Christophe était des plus emportée dans la polychromie.
Etions-nous prêts à voir ses couleurs, avons-nous cru à ses dires, avons-nous ouvert notre troisième conscience ?
Il semblerait que notre accélérateur de particules en soit resté au mode d’emploi.
Bien sûr, la faute lui en incombe a priori car sa vision n’était qu’une translation énergétique de sa fréquence.
Pléthore d’informations sur la toile, son langage s’est traduit par cette explosion de primaires et secondaires coquine, parfois sauvage, où l’essentiel du dire s’est noyé dans ce monologue à multiple niveaux.
Conscient de cette état d’incompréhension, de cette inaccessibilité, LEM nous ramène et retourne à l’école de la rééducation par sa nouvelle démarche.
Du tableau noire à la craie blanche, il reprend pour vous les bases mathématiques et physiques qui semblent acquises comme une vérité absolue.
Se limitant au noir et blanc pour simplifier son décryptage, il tente de prouver aux intéressés que la science exacte est très proche de l’inexacte. Dans un jeu d’ombres inversées il associe les + et – comme un résultat absolu, associant l’échelle astronomique aux rapports humains.
Est-il le quantième d’une molécule, est-il en expansion ou compression ?
Qu’importe, actuellement il étale comme une mer à la tangente lunaire.
Reprenant le métier à la base il va de nouveau grandir, rajoutant au fur et à mesure de sa progression des couleurs, des fréquences, de la même façon que des molécules de base ont formé des molécules complexes.
C’est là son univers…………….
Oeuvres Vendues • 12 oeuvres
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