Lem

Christophe Lemière ARTISTE PEINTRE SCÉNOGRAPHE


EXPOSITION SOLO
Artothèque de Montréal : Arcanes de vie ( 3). 2006
Aux bobards 4328 Boul St-Laurent Montréal Fleurs de vie 2005
Voyage d’étude et de partenariat entre la France, l’Île de la Réunion et Montréal 2004
Inspecteur Épingle Polyédrisme lingual 2. Performance en direct danse musique binaire/ternaire 2003
Artothèque de Montréal : Polyédrisme lingual 1. 2002
Café Ludik : Le positif du Négatif et transition chromatique Montréal
Bistro 2000 : Le positif du Négatif / La «psyché-peinture» Montréal 2001 à 2003
PARC SAFARI : série tribal - femme nue femme noire Hémindford 2001
Galerie DRAKKAR : Projection Info Graphique, Muses O lierres, Le positif du Négatif , La «psyché-peinture» –Montréal 1998 à 2001
Chez Olivier : Rétrospective – Montréal 2000
Maison de la Culture Côte des Neiges – Montréal 1999
Manoir des Couventines à Waterloo (Estrie) 1997
COMMENSAL du MUSÉE/AQUARELA du BRÉSIL/Café souvenir – Montréal 1996

COLLECTIFS
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Journée de la culture Parc Molson Montréal Paye Taxes 2005
2005
Galerie Joyce Yahouda 372 st Catherine *516 Montréal Art utilitaire 2005
Studio Nomadia, Culture du Monde Installations & peinture scénographique Oka 2005
Agora Festif 4 (AF4), Intronisation Aléatoire des visiteurs Montréalwiki/index.php 2005
Foire aux Croûtes Rotary club St-Lô France 2004
C.P.A.V.I.H comité des personnes atteintes du VIH 2004
FESTIVAL JUSTE POUR RIRE (L'IRONIE) splash/flash.html 2003
Art en Mouvement Expositions en ville de Montréal dans les commerces
Foufounes Électriques - Montréal :’’Sub-Vention’’ Peinture en direct 2002
La Galerie Artus : L’amour en nous et autour de nous¸ galerieartus
Artothèque de Montréal : M.Y.S. Terre & Muse, 2001
Artothèque de Montréal : La Vérité avec un grand V 2000
25ème Festival International d’équitation Bromont
Bromont en Arts 1999à 2001
World Trade Center (Gal. HARRISON) - Montréal 1997
Festival des Arts d’Orford / A. A. A. V. / Galerie Fra Angelico Montréal 1996

Visibilité permanente : Artothèque de Mtl.
Ses œuvres se retrouvent aussi aux États Unis, au Canada, en France, en Belgique et en Allemagne.
Tournages cinématographique et télévisuelle: Vices cachés 2 (TVA) 2005. Girls 2004 Gabriel Run 1999
Interview : Michel Marmen aux Art etc. Radio Canada 2002. Denis Talbot Mr Net. Musique + 1998 Michel Delisle Télévision communautaire de Waterloo 1997.

L’ART ET LE POUVOIR DES INSTITUTIONS CULTURELLES D’ÉTAT.
Douce étreinte d’un boa à lunettes qui, diplomate et fourbe, organisera des joutes visuelles dont ni les artistes ni un pays ne sortira grandi.
L’un comme l’autre veulent de la visibilité.
Aussi trophées, bourses et concours se multiplient en prenant bien soin de rendre tout le monde éligible ou presque, selon des critères ‘’intélichiants’’.
Nous pourrions comparer cela à l’émission la poule aux œufs d’or………..
Question faussement difficile, preuve que l’on est un bon citoyen (métier, passe temps, rêve). Repêchage de la dernière chance, et enfin la timbale d’argent qui fait de vous un être qui existe.
Le scénario est le même en art.
Bien sur la méthode est légèrement plus subtile, mais donne les résultats que l’on connaît. Le Québec sur-valorise ses artistes. Cela donne bonne impression en statistiques gouvernementales, mais fait rire des artistes dans la cour des grands.
EN DONNANT LA PAROLE À L’ART, LES INSTITUTIONS CULTURELLES D’ÉTAT BÂILLONNENT LES ARTISTES.
Suite …...

Recette pour fabriquer un artiste :
Prenez quelqu’un de quelconque.
Mettez-le dans la machine à masse média, donnez lui une bonne gueule (si cela est impossible instaurer la compassion, enfance difficile, père violent, etc..).
Faîtes lui dire 2 phrases humanitaires et 1 personnelle.
Prendre exemple dans TV HEBDO
A ce stade, ne pas oublier de lui dire qu’il est le meilleur……
Trouvez-lui une école où il a traîné les pieds (si cela est impossible, la rue est toujours porteuse (ex : back street boys)
Faîtes lui gagner un concours quelconque et trouvez-lui une bonne recherchiste.
Après 3 mois de marinade servez frais au printemps ou en automne.
Et les œuvres dans tout cela ?
Le photographe qui a fait le porte-folio pour l’artiste a certainement réussi les meilleures !

Ces organisme existent encore car ils ont le pouvoir de faire n’importe quoi avec n’importe qui .
cela n’arriverait pas si les artistes maîtrisaient le cheminement de leurs arts ?
Mettre en forme son imaginaire est une habileté d’artiste. Que ces réalisations soient visibles, audibles, intelligibles etc. implique franchir en plus de nombreux obstacle de plus à franchir. Ils se nomment Moralité, Société, Période, Tendance, style, dimension, médium……..

S’il existe un pouvoir de création, l’artiste est persuadé de l’avoir dans l’absolu.
Pourtant dans les faits il n’aura que la liberté d’expression. Ce qui n’est déjà pas si mal !
Ce doit être le seul semblant de pouvoir qu’un artiste doit avoir à défaut de savoir où il va.
Liberté d’expression...
L’artiste n’a pas de réel pouvoir s’il pense imposer sa vision lors de la création d’une œuvre. Par contre il à le pouvoir de toucher, d’émouvoir, de choquer en amenant une vision différente de la norme. Souvent, la facilité est de provoquer par les tabous mais qu’importe si l’objectif est atteint !
S’il se sent le devoir d’expliquer son œuvre c’est qu’il est sous le pouvoir d’organismes d’état pour justifier ses bourses. (voir 1er paragraphe)
Liberté de regard
Le quidam pourrait, devrait, avoir au moins le pouvoir de regarder et de ne pas regarder. En réalité il en est autrement car ce dernier fait malheureusement confiance au Conseil des arts, journaux spécialisés, et non spécialisés d’ailleurs, souvent aux proches mais rarement à lui même. Aussi son desiderata devient si faible qui risque l’arrêt des sens à moins de lui offrir en 4 paiements faciles la nouvelle collection de 25 cents à accrocher sur sa cheminée.
L'Art et l'impuissance de se faire entendre et d’aller se faire voir...
Pléthore de diffusions de douteuses à excellentes, il est difficile de faire le point face à la sollicitation visuelle quotidienne des publicités, celles-ci mélangeant pour être plus pernicieuse des pièces artistiques multimédia d’œuvres ayant pénétrer la masse populaire.
L'artiste est à la fois son porte-parole mais aussi l’artisan de son malheur donnant par son travail une œuvre à des publicistes qui détournent sa création et tapent ainsi sur l'artiste en vulgarisant son travail. Pire, ils lui donnent parfois de la notoriété des plus pernicieuses.

ART / POUVOIR, ou LE POUVOIR DE L’ART ?
Oui ils sont indissociables, oui ils sont antinomiques par définition.
La réalité semble résider dans le fait qu’un artiste est un mini-dictateur voulant s’auto-suffire. De cette complexe attitude l’artiste cherchera un difficile équilibre qui le fera avancer dans ses recherches.
Son pouvoir n’est que de tenir le licol de la création.
LEM

L’Espace est-il en compression ou en expansion ?

Il semblerait que notre accélérateur de particules en soit resté au mode d’emploi.

Se limitant au noir et blanc pour simplifier son décryptage, il tente de prouver aux intéressés que la science exacte est très proche de l’inexacte. Dans un jeu d’ombres inversées il associe les + et – comme un résultat absolu, associant l’échelle astronomique aux rapports humains.

Est-il le quantième d’une molécule, est-il en expansion ou compression ?

Qu’importe, actuellement il étale comme une mer à la tangente lunaire

ÉCHANGE et MÉTISSAGE CHEMINEMENT ZOREYE: une chorégraphie sur le thème: « Du retour aux racines vers l'échange et le métissage » Les échanges entre les peuples et les cultures sont à l’origine du métissage. Selon Claudine Malard, l’eau y a joué un rôle fondamental car elle a autant permis aux peuples de se répandre et à la culture africaine de s’essaimer, qu’elle a permis à ces mêmes peuples de se retrouver. Zoreye est le nom donné aux français qui habitent sur l’île de la Réunion depuis longtemps ou à ceux qui y sont venus en vacances et n'en sont jamais repartis. On les appelle ainsi car, paraît-il, ils doivent « tendre l’oreille » pour comprendre le langage des autochtones. Christophe Lemière, surnommé « Lem », est peintre et Zoreye. Il raconte l’Afrique et sa diaspora dans son travail. Avec ses toiles et installations, il a créé un univers où la chorégraphe-interprète d’origine métisse, Claudine Malard, vient joindre son interprétation de l’histoire de l’homme. Dans leur création Cheminement Zoreye, les deux artistes proposent des rencontres intéressantes entre les différentes cultures et les genres artistiques que sont la danse, la peinture et la musique.

FRÉQUENCE CULTURE RCI