17 œuvres par Lem (Sélection)
Télécharger en PDFPolyédrisme lingual • 17 œuvres
Actuellement, je travail le même concept d’œuvres qui se montent et s’agencent entre elles. Comme un [...]
Actuellement, je travail le même concept d’œuvres qui se montent et s’agencent entre elles.
Comme un puzzle mais pas forcément accessible au premier quidam chaque pièce est un élément de message jeté à la mer. Mes niveaux de lectures et d’actions emmènent progressivement le néophyte vers une prise de conscience où, loin d’un système éducatif ou d’apprentissage, il se forme et forge ses outils pour se (re)construire.
Ces lectures se répartissent comme suit:
Nb : ne pas oublier que les oeuvres peuvent être manipulées et touchées.
1) L’approche par le corps (je reconnais des formes humaines, il y a t’il d’autres choses ?)
2) La nudité (l’artiste dit-il quelques choses que je n’ose pas dire de par mon éducation ?)
3) Le mouvement / énergie ( si cela bouge, le temps est-il facteur de déformation de l’œuvre?)
4) Les formules et symboles (des sciences exactes peut-on passer aux inexactes ?)
5) Les couleurs (spyché-peinture) (quelles sont les couleurs qui me font vibrer et pourquoi ? )
Ces 5 marches permettent dans les meilleures circonstances de positionner le spectateur ( l’intermédiaire) comme quelqu’un qui comprend le langage de base, même si cela fait partie de ses interdits ‘’Judéo-chrétiens’’ …….
De là il reconnaît les mathématiques (qui passe pour une science exacte) notion éducative scolaire incontestable et quelques autres symboles imprimés dans le subconscient collectifs.
Il ajoute sa notion de goût (couleur agencement design de l’œuvre)
De l’énergie qui découle de cette interaction œuvre spectateur, mon but est atteint lorsque celui ci commence à tirer sur le fil d’Ariane conscient que son travail ne fait que commencer.
A partir de ce moment le jeu commence car les œuvres se manipulent et s’agencent entre-elles, (pas toutes), et ce d’une façon unique par chaque intervenant. Aussi le quidam commence à créer son œuvre sans le savoir comme un enfant écrit ses premières phrases.
Au-delà de la barrière culturelle, linguistique, mon travail tente de faire s’affirmer les êtres quelque que soit leurs capacités et connaissances sans qu’il ait besoin d’argumenter leur point de vu car il est in situ forcément différent.
A partir de cet instant ils peuvent communiquer.
Comme un puzzle mais pas forcément accessible au premier quidam chaque pièce est un élément de message jeté à la mer. Mes niveaux de lectures et d’actions emmènent progressivement le néophyte vers une prise de conscience où, loin d’un système éducatif ou d’apprentissage, il se forme et forge ses outils pour se (re)construire.
Ces lectures se répartissent comme suit:
Nb : ne pas oublier que les oeuvres peuvent être manipulées et touchées.
1) L’approche par le corps (je reconnais des formes humaines, il y a t’il d’autres choses ?)
2) La nudité (l’artiste dit-il quelques choses que je n’ose pas dire de par mon éducation ?)
3) Le mouvement / énergie ( si cela bouge, le temps est-il facteur de déformation de l’œuvre?)
4) Les formules et symboles (des sciences exactes peut-on passer aux inexactes ?)
5) Les couleurs (spyché-peinture) (quelles sont les couleurs qui me font vibrer et pourquoi ? )
Ces 5 marches permettent dans les meilleures circonstances de positionner le spectateur ( l’intermédiaire) comme quelqu’un qui comprend le langage de base, même si cela fait partie de ses interdits ‘’Judéo-chrétiens’’ …….
De là il reconnaît les mathématiques (qui passe pour une science exacte) notion éducative scolaire incontestable et quelques autres symboles imprimés dans le subconscient collectifs.
Il ajoute sa notion de goût (couleur agencement design de l’œuvre)
De l’énergie qui découle de cette interaction œuvre spectateur, mon but est atteint lorsque celui ci commence à tirer sur le fil d’Ariane conscient que son travail ne fait que commencer.
A partir de ce moment le jeu commence car les œuvres se manipulent et s’agencent entre-elles, (pas toutes), et ce d’une façon unique par chaque intervenant. Aussi le quidam commence à créer son œuvre sans le savoir comme un enfant écrit ses premières phrases.
Au-delà de la barrière culturelle, linguistique, mon travail tente de faire s’affirmer les êtres quelque que soit leurs capacités et connaissances sans qu’il ait besoin d’argumenter leur point de vu car il est in situ forcément différent.
A partir de cet instant ils peuvent communiquer.
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