Jérôme Chuilon a étudié à l'Ecole des Beaux Arts de Versailles. Il a présenté ses oeuvres à l’occasion de l’exposition Confluences au musée Lambinet en Juin 2015, ainsi qu’à la Galerie de l’Ecole des Beaux Arts en 2021 et à l’exposition collective de gravure Sensorielles à Guyancourt en 2022.
Sa recherche pictural se fonde sur la notion de défiguration, c’est-à-dire les altérations de l’aspect du corps ou du visage, qui rendent parfois l’individu méconnaissable.
Jérôme Chuilon expérimente aussi les potentialités d’un nouveau médium la tablette numérique.
Il a ainsi crée des estampes digitales qui donnent à voir des visages humains pulvérisés et sans contours, mais auxquels le contraste avec le fond sur lequel ils apparaissent confère une présence persistante et énigmatique.
La touche expressionniste de Jérôme Chuilon tend aussi à déformer la réalité afin de provoquer le trouble chez ses spectateurs.
