Jean Luc Grappin
Hommage à jean Luc
Jean luc aime l’élégante évanescence d’un signe qui se fait couleur, se dissolvant souvent en une lumière transparente, comme un songe fantastique, en une espèce de brume. Son Monde pictural s’étend sur deux versants apparemment opposés, la figure et l’abstraction.
Jean luc est une peintre qui songe, vivant pour lui à l’intérieur d’une vision; toujours queque chose de mystérieux sous ses Nymphéas, ses saules pleureurs, dans ses paysages dédiés à Giverny.
Les œuvres montrent une tension intérieure, un sens de la fragilité et de la chute dans la résolurion de secrètes émotions. Les couleurs vibrent doucement dans l’air, parfois comme des fantasmes qui agiraient dans ses paysages évanescents, mais toujours plein de vie.
Dans les premières œuvres, de formes abstraitisantes, l’artiste semblait aller chercher ses racines dans le bouillonnement des ténèbres en une sorte de lumière bleue abstraite, noircissement inquiétant dans la nuit. C’est comme si quelque chose a brûlé dans la distance entre les sensations et les peurs cachées… Maintenant l’artiste s’ouvre à la vie avec la création de nouveaux paysages, nés dans la profondeur de sa conscience… Mystérieux et séduisant comme si il ressentait toute la douleur du monde, dans son plus grand manque d’expressivité.
Jean luc interprète la nature avec ses expressivités et ses formes qui apparaissent dans son esprit, configurant une partie de lui-même. Cette fois les couleurs sont douces et diluées, parfois fortes et profondes, éblouissantes comme des blessures profondes; c’est un bon rapport à l’interieur des œuvres qui font signe et peinture. Ici le signe n’est pas la forme mais la façon de rendre la forme. Dans les paysages il y a toujours quelques chuchottements dans l’ombre; l’ombre semble venir de très loin. Le vert, le bleu, le jaune, les orangés, les bleus ciel avec toutes les variations, créent de profondes émotions et sont comme l’opposition entre le mouvement des vagues et l’immobilité des rochers.
jean luc se décrit avec sa peinture dans des moment plus intenses, plus secrets, plus délicats, de ces paysages, apparemment impénétrables; les taches se meuvent dans l’air comme la vague des marées. Avec eux la vie est là, toujours sur le point de recommencer.
Pino Nicoletti
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传记
Hommage à jean Luc
Jean luc aime l’élégante évanescence d’un signe qui se fait couleur, se dissolvant souvent en une lumière transparente, comme un songe fantastique, en une espèce de brume. Son Monde pictural s’étend sur deux versants apparemment opposés, la figure et l’abstraction.
Jean luc est une peintre qui songe, vivant pour lui à l’intérieur d’une vision; toujours queque chose de mystérieux sous ses Nymphéas, ses saules pleureurs, dans ses paysages dédiés à Giverny.
Les œuvres montrent une tension intérieure, un sens de la fragilité et de la chute dans la résolurion de secrètes émotions. Les couleurs vibrent doucement dans l’air, parfois comme des fantasmes qui agiraient dans ses paysages évanescents, mais toujours plein de vie.
Dans les premières œuvres, de formes abstraitisantes, l’artiste semblait aller chercher ses racines dans le bouillonnement des ténèbres en une sorte de lumière bleue abstraite, noircissement inquiétant dans la nuit. C’est comme si quelque chose a brûlé dans la distance entre les sensations et les peurs cachées… Maintenant l’artiste s’ouvre à la vie avec la création de nouveaux paysages, nés dans la profondeur de sa conscience… Mystérieux et séduisant comme si il ressentait toute la douleur du monde, dans son plus grand manque d’expressivité.
Jean luc interprète la nature avec ses expressivités et ses formes qui apparaissent dans son esprit, configurant une partie de lui-même. Cette fois les couleurs sont douces et diluées, parfois fortes et profondes, éblouissantes comme des blessures profondes; c’est un bon rapport à l’interieur des œuvres qui font signe et peinture. Ici le signe n’est pas la forme mais la façon de rendre la forme. Dans les paysages il y a toujours quelques chuchottements dans l’ombre; l’ombre semble venir de très loin. Le vert, le bleu, le jaune, les orangés, les bleus ciel avec toutes les variations, créent de profondes émotions et sont comme l’opposition entre le mouvement des vagues et l’immobilité des rochers.
jean luc se décrit avec sa peinture dans des moment plus intenses, plus secrets, plus délicats, de ces paysages, apparemment impénétrables; les taches se meuvent dans l’air comme la vague des marées. Avec eux la vie est là, toujours sur le point de recommencer.
Pino Nicoletti