"les fruits de l'automne" (1970) Prenten & gravures door Isis Kischka

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"les fruits de l'automne" par Isis Kischka. Lithographie originale en couleurs sur papier japon nacré, 1972. "numérotée VIII sur C" et signée en bas à droite par l'artiste / 57 X 48 cm (76 X 54 cm "hors tout") tirage sur les presses de l'atelier mourlot à paris / vendue avec sa chemise lithographiée[...]
"les fruits de l'automne" par Isis Kischka.

Lithographie originale en couleurs sur papier japon nacré, 1972. "numérotée VIII sur C" et signée en bas à droite par l'artiste / 57 X 48 cm (76 X 54 cm "hors tout") tirage sur les presses de l'atelier mourlot à paris / vendue avec sa chemise lithographiée et dédicacée. Livrée et expédiée à plat.

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Isis Kischka passe son enfance à Paris, où ses parents se sont installés deux ans avant sa naissance. Son père, d’origine polonaise, est restaurateur avant d’ouvrir une épicerie dans le XVe arrondissement.[...]

Isis Kischka passe son enfance à Paris, où ses parents se sont installés deux ans avant sa naissance. Son père, d’origine polonaise, est restaurateur avant d’ouvrir une épicerie dans le XVe arrondissement. Isis Kischka fréquente l’école communale de la rue Vigée-Lebrun, puis le lycée de Dreux, celui de Mayence et enfin l’école commerciale de Paris. À l’âge de dix-neuf ans, il s’intéresse à la peinture et à la littérature. Son premier travail consiste à dessiner des motifs pour une fabrique de médailles. Au contact de Jacques Copeau, Michel Saint-Denis, Charles Dullin et Georges Pitoëff, il envisage de produire une compagnie théâtrale mais se tourne vers la peinture en 1927 et fréquente l’académie de la Grande Chaumière. Ses toiles sont remarquées par les critiques parisiens, notamment Waldemar George. 

En 1941, Kischka est arrêté sur ordre de la Gestapo. Il est interné au camp de Romainville, puis à Compiègne. Transféré à Drancy, il y reste deux ans, jusqu’au départ de l’armée allemande en août 1944. Dans les camps, il se lie d’amitié avec d’autres peintres internés, Jacques Gotko, Savely Schleifer et David Hoychman. Ils improvisent des expositions de leurs travaux. Ses camarades mourront en déportation. Il se promet de n’être que peintre si la guerre se termine. Il estime avoir peint deux cents toiles avant 1940, détruites par les nazis. 

De retour à Paris en 1945, il doit faire face aux difficultés financières immédiates et reprend le magasin de son père. Il peint avant d’aller travailler et mène de front ses deux activités. En 1946, il participe à la création du Salon des peintres témoins de leur temps avec Jean Cassou, Yvon Bizardel, Raymond Cogniat et Georges Recio.

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