Toutes les oeuvres de Grégory Dreyfus
NATURE MORTE • 1 oeuvre
Voir toutCHINGAS PIXELITAS • 2 oeuvres
Voir tout
Chingaspixelitas Or DIGITPIX Series are now cute collectibles I hope;°) based, then work derived themselves[...]
Chingaspixelitas Or DIGITPIX Series are now cute collectibles I hope;°) based, then work derived themselves from the first graphic design draw & « mouvement » I developed as grapher & street artist in the 90’s : « Human king Symbol ». 1 line 3 dots of course but framing in a square with feet likeish a Pac-man character. Today PixeLitas tells us stories as his.her/it: Humans, Animals, Vegetals, symbols, objects… with, cloths, properties, complexions, emotional character’s face. They are made without perspectives or any kinds of projects with destination delivery time laps just fool feeling and pleasure to accomplish a peace of love.They are always trying to be cute, or at least vibrant or a bit punchy, with lots inner conceptual symbolic things to look for. They are hundred now existing, hand made in a digital way, minted one by one as drops, like a leaking facet dripping from a water tap or raindrops falling down from gutters.©GrégoryDreyfus-2022
SÉRIES ABÉCÉDAIRES • 7 oeuvres
Voir tout
" ABÉCÉDAIRES " et « Petits Abécédaires », « London Abécédaires », « Les Tronches », « Amérindiens »…[...]
" ABÉCÉDAIRES " et « Petits Abécédaires », « London Abécédaires », « Les Tronches », « Amérindiens »… -
...sont des séries de figures ou de portraits en masse ...comme une collection de portraits imaginaires mais proposés en un seul ensemble. Une « planche contact », possiblement amovible, pour certaines oeuvres.
La série « Les Tronches » est quant à elle un agglomérat, une grappe, un concentré de portraits ensemble.
La progression des « Abécédaires » parle aussi des peuples, des gens... Elle résidera esthétiquement dans une approche mélangée de tous les styles, et techniquement jusque dans des groupes de miroirs gravés des portraits en négatif.
...sont des séries de figures ou de portraits en masse ...comme une collection de portraits imaginaires mais proposés en un seul ensemble. Une « planche contact », possiblement amovible, pour certaines oeuvres.
La série « Les Tronches » est quant à elle un agglomérat, une grappe, un concentré de portraits ensemble.
La progression des « Abécédaires » parle aussi des peuples, des gens... Elle résidera esthétiquement dans une approche mélangée de tous les styles, et techniquement jusque dans des groupes de miroirs gravés des portraits en négatif.
Série DIGITAL(e) TOTEMS • 11 oeuvres
Voir tout
Ici, la Série “DIGITAL(e)“ TOTEMS se développe en une suite de PEINTURES uniquement réalisées de façon[...]
Ici, la Série “DIGITAL(e)“ TOTEMS se développe en une suite de PEINTURES uniquement réalisées de façon DIGITALE pour les "bicéphales portraits" puis en d'autres procédés intégrés à l'image, généralement de peintures avec "Hiding Lilliput", à la manière des décalcomanies de mon/de notre enfance.
Ces réalisations sont destinées à des IMPRESSIONS GRAPHIQUES de qualité, rendues sur des papiers texturés ( tels que le « Papier Japonais - WASHI Awagami INBE à la Texture Fine et marbrée - 160 gr, OU bien, le « Papier Museum Etching » - RaG Texture - 350 gr ) ou Barytés de grosse qualité Contrecollés sur " Dibond " ou sur tout autre support pertinent, graphiquement ; ou alors, comme en impressions PHOTOGRAPHIQUES des peintures développées sur verre ou sur plexiglas et proposées autrement, comme en BOITES LUMINEUSES pour des INSTALLATIONS d'art contemporain ou en décoration intérieure.
Rappelons que "Les séries DIGITAL(e)S sont des Abstractions Lyriques Picturales crées, dessinées et peintes sur ordinateur, sans aucun donc, support préalable, sans aucune copie de forme ou d’images ou de couleurs rapportées - exception faite de ces dites "rares occasions".
Les sensations du vibratoire en dérivées multiples et colorées, rendues en matière fines sur papier ...ou en transparence par boîtes lumineuses
...développent l'envie d'une autre dimension, presque organique, coïncidant à la recherche d’une sorte de fusion de matière. Une fusion originelle à l’unique profondeur du réel."
Collections des:
« ORAGES », « MOBILITE INTERNE et FRAGMENTATIONS », « EXPLOSITIONS SOLAIRES ET CRATERES », « DIGITAL(e) TOTEMS», « PARTITIONS ACIDULÉE » ...
2018©GrégoryDreyfus
Ces réalisations sont destinées à des IMPRESSIONS GRAPHIQUES de qualité, rendues sur des papiers texturés ( tels que le « Papier Japonais - WASHI Awagami INBE à la Texture Fine et marbrée - 160 gr, OU bien, le « Papier Museum Etching » - RaG Texture - 350 gr ) ou Barytés de grosse qualité Contrecollés sur " Dibond " ou sur tout autre support pertinent, graphiquement ; ou alors, comme en impressions PHOTOGRAPHIQUES des peintures développées sur verre ou sur plexiglas et proposées autrement, comme en BOITES LUMINEUSES pour des INSTALLATIONS d'art contemporain ou en décoration intérieure.
Rappelons que "Les séries DIGITAL(e)S sont des Abstractions Lyriques Picturales crées, dessinées et peintes sur ordinateur, sans aucun donc, support préalable, sans aucune copie de forme ou d’images ou de couleurs rapportées - exception faite de ces dites "rares occasions".
Les sensations du vibratoire en dérivées multiples et colorées, rendues en matière fines sur papier ...ou en transparence par boîtes lumineuses
...développent l'envie d'une autre dimension, presque organique, coïncidant à la recherche d’une sorte de fusion de matière. Une fusion originelle à l’unique profondeur du réel."
Collections des:
« ORAGES », « MOBILITE INTERNE et FRAGMENTATIONS », « EXPLOSITIONS SOLAIRES ET CRATERES », « DIGITAL(e) TOTEMS», « PARTITIONS ACIDULÉE » ...
2018©GrégoryDreyfus
LITTLE PIECES - Photos From Other Collections • 3 oeuvres
Voir toutSérie TROMPETTE et GOMINA • 4 oeuvres
Voir tout
Les Séries " GOMINA " ou " TRUMPET "
‐ Abstractions Lyriques ‐
Sont des séries narratives mais non‐figuratives.[...]
Les Séries " GOMINA " ou " TRUMPET "
‐ Abstractions Lyriques ‐
Sont des séries narratives mais non‐figuratives.
Sur des approches formelles plastiques, fluides de forme.
C'est une approche par la couleur et par les matières ...par les pleins et déliés.
Par des lignes de terres, espaces liquides, volumes atmosphériques... comme une géographie mouvante des éléments.
...Ornées de quelques semblants symbolistes
...dans la recherche d’un équilibre et d’une harmonie hypnotique de l’œuvre.
Une approche et une recherche de Cinétiques Vibrations ...par la peinture, la vidéo, la photo ou en digital.
©1990GrégoryDreyfus
‐ Abstractions Lyriques ‐
Sont des séries narratives mais non‐figuratives.
Sur des approches formelles plastiques, fluides de forme.
C'est une approche par la couleur et par les matières ...par les pleins et déliés.
Par des lignes de terres, espaces liquides, volumes atmosphériques... comme une géographie mouvante des éléments.
...Ornées de quelques semblants symbolistes
...dans la recherche d’un équilibre et d’une harmonie hypnotique de l’œuvre.
Une approche et une recherche de Cinétiques Vibrations ...par la peinture, la vidéo, la photo ou en digital.
©1990GrégoryDreyfus
Série COMMOTIONS • 17 oeuvres
Voir tout
_ La Série "Commotion" raconte ce qu'est en effet un ébranlement physique et/ou psychique subi par quelqu'un[...]
_ La Série "Commotion" raconte ce qu'est en effet un ébranlement physique et/ou psychique subi par quelqu'un ou subi par un groupe.
Il est consécutif à un choc d'ordre physique, psychique, émotionnel... causant alors un trouble, un ébranlement de la personne ou du groupe.
De cette vive émotion, de cette douleur, il amène la peur, la souffrance et la dépression. Il perturbe jusqu'au fonctionnement même de l'être...
Physiquement, psychiquement, et émotionnellement.
Des petits évènements aux grandes tragédies... - de la fin d'une civilisation au passage d'une autre... ou accueillant la suivante qui s'impose dans cette ironie, ou par ce tropisme trompeur qu'est la lenteur ?
_Et par là, en plus, la mutation des cons qui ne se fait pas - de leur bêtise ordinaire à l'expansion d'une ignorance volontaire... qui reste comme une tâche accrochée à sa fibre et s'étend. La peur associée au lendemain, sans changements aucun pour mère Nature ou notre prochain. Ou à ne juste pas faire ses devoirs de respecter le vivant ou l'humain, tout fier d'être ce con là.
La commotion raconte aussi cette part de soumission à cette indigence là.
Bref ! ...Ce que ça nous fait.
Mais, la série Commotion est aussi une ode et putain heureusement, à toutes ces sensations intérieures derrière nos masques figurés.
Et encore plus aujourd'hui, ajoutant au sens propre.
Sensations que l'on s'interdit d'explorer, de délivrer, d'exposer.
Le poids de tous ces non-dits, à cette multitude de blessures narcissiques...
qui en plus de s'appréhender malgré tout sur le visage de quelqu'un.
...ne se montrent dorénavant que doublement cachées ...dans notre en clos, à bonne distance sanitaire.
...Et malheureusement sociale aussi, derrière notre clôture masquée, dans notre territoire esseulé.
- Faudra-t'il passer par le maillage technologique reçu comme à notre intériorité pour avoir maintenant accès à notre extériorité, notre corps et sa perception du réel qui soit va se sacraliser et nécessairement se déshabituer ou soit se désenchanter jusqu'à son abandon et son remplacement méta humain ? -
À cette chose intérieure qui pouvait... - et qui peut toujours et heureusement, juguler les souffrances et les passions et raisons tristes -
...À cette chose intérieure qui peut toujours ...Amoindrir les douleurs et les ressentiments... en un flux positif.
...En une énergie et en une conscience de soi, de l'Autre et du monde.
...À cette chose intérieure qui peut toujours ...Les transformer par la joie, l'amour ...en un bien-être et en des sentiments lumineux :
Heureux, brillants, intelligents (émanciper par le savoir et de la connaissance).
Hé bien - Toutes ces forces expressives de la vie, exprimées dans une radiance intérieure d'énergie qui se voit à l'extérieure...
...sont là. Et bien présentes - en nous.
©Grégory Dreyfus-2015
Il est consécutif à un choc d'ordre physique, psychique, émotionnel... causant alors un trouble, un ébranlement de la personne ou du groupe.
De cette vive émotion, de cette douleur, il amène la peur, la souffrance et la dépression. Il perturbe jusqu'au fonctionnement même de l'être...
Physiquement, psychiquement, et émotionnellement.
Des petits évènements aux grandes tragédies... - de la fin d'une civilisation au passage d'une autre... ou accueillant la suivante qui s'impose dans cette ironie, ou par ce tropisme trompeur qu'est la lenteur ?
_Et par là, en plus, la mutation des cons qui ne se fait pas - de leur bêtise ordinaire à l'expansion d'une ignorance volontaire... qui reste comme une tâche accrochée à sa fibre et s'étend. La peur associée au lendemain, sans changements aucun pour mère Nature ou notre prochain. Ou à ne juste pas faire ses devoirs de respecter le vivant ou l'humain, tout fier d'être ce con là.
La commotion raconte aussi cette part de soumission à cette indigence là.
Bref ! ...Ce que ça nous fait.
Mais, la série Commotion est aussi une ode et putain heureusement, à toutes ces sensations intérieures derrière nos masques figurés.
Et encore plus aujourd'hui, ajoutant au sens propre.
Sensations que l'on s'interdit d'explorer, de délivrer, d'exposer.
Le poids de tous ces non-dits, à cette multitude de blessures narcissiques...
qui en plus de s'appréhender malgré tout sur le visage de quelqu'un.
...ne se montrent dorénavant que doublement cachées ...dans notre en clos, à bonne distance sanitaire.
...Et malheureusement sociale aussi, derrière notre clôture masquée, dans notre territoire esseulé.
- Faudra-t'il passer par le maillage technologique reçu comme à notre intériorité pour avoir maintenant accès à notre extériorité, notre corps et sa perception du réel qui soit va se sacraliser et nécessairement se déshabituer ou soit se désenchanter jusqu'à son abandon et son remplacement méta humain ? -
À cette chose intérieure qui pouvait... - et qui peut toujours et heureusement, juguler les souffrances et les passions et raisons tristes -
...À cette chose intérieure qui peut toujours ...Amoindrir les douleurs et les ressentiments... en un flux positif.
...En une énergie et en une conscience de soi, de l'Autre et du monde.
...À cette chose intérieure qui peut toujours ...Les transformer par la joie, l'amour ...en un bien-être et en des sentiments lumineux :
Heureux, brillants, intelligents (émanciper par le savoir et de la connaissance).
Hé bien - Toutes ces forces expressives de la vie, exprimées dans une radiance intérieure d'énergie qui se voit à l'extérieure...
...sont là. Et bien présentes - en nous.
©Grégory Dreyfus-2015
Série NOAR COLLECTION • 6 oeuvres
Voir tout
- PHOTOGRAPHIE N/B.
Retravailler l’image… - La travailler au tirage sur baryté comme en papier d’art,[...]
- PHOTOGRAPHIE N/B.
Retravailler l’image… - La travailler au tirage sur baryté comme en papier d’art, en argentique autant qu’en numérique ou bien en amont sur le négatif même, voire à l’émulsion… Jusqu’à la mise en scène, dans sa lumière… - c’est comprendre, sentir ...presque savoir déjà, mais aussi découvrir, choisir, décider ...jusqu’à révélation ultime d'une force supplémentaire, d'une autre idée derrière son image ou du sujet derrière le sujet. D'un supplément d'âme.
Bref, tout ce qui me permet d’être guidé à… révéler une émotion cachée dans le cadre. Tout ce qui tend à signifier l’invisible du visible, l'immobile du mobile, mais aussi à donner au banal un brin de superflu et de candeur.
Mon travail se corse par la matière.
Il tend vers une sensation rendue, de fusain par exemple ou sur un travail de contraste argenté : "Silvery" presque ...tout comme un travail de reprise dans la ligne.
En gros un travail de sens ; tant en dessin qu’en peinture qu'en photographie.
Ma série photographique nommée "Noar collection" reste dans la puissance par une volonté graphique, contrastée mais surtout de souplesse amenée dans les gris...
Je pousse l’Atmosphère de pratiquement toutes mes images d’une façon picturale, nous révélant ainsi des aspects plus profonds de chaque sujet.
Certaines d’entre elles, mes images, nous racontent une histoire, dramatique ou mélancolique, comme une promenade dans la perspective des "petites choses" autour de nous, quand d’autres le font dans la parenthèse des petites histoires, celles senties des gens autour, par une petite vue en lucarne.
Quand je prends une photo, je capture une part de ces moments indicibles, invisibles de l’existence. Mais une part qui nous rapproche un peu plus de l’autre.
C’est peut-être plus esthétique ou plus intellectuel, plus spirituel parfois ou juste plus graphique… Brutaliste ou superficiel, minimaliste ou à foison… mais toujours, géométrique... cherchant la conformité à la ligne - l’équilibre dans un déséquilibre.
La lecture de cette part d'invisible… - textures pour les nus, clair obscur pour les paysages… affections / afflictions pour les portraits, ambiances désaturées pour les scènes de vie… ou la contrainte de ces petites choses qui sont en vie entre elles pour les interactions - mêlée donc et de sens et d'attachement aux histoires comme aux sensations ...Cette part d'invisible reste un essentiel moteur « …s'essayant à réduire au maximum l’espace entre le moment créatif et l’acte de création lui-même. »
En photographie comme en peinture ou en dessin, j’aime ainsi ...sentir, capter l’énergie, l’émotion d’un portrait, les lignes, les volumes d’un nu, s’égarant dans le dramatique, dans le tragique ou vers des instants ludiques.
Le corps est une histoire à lui tout seul.
Il est le fil reliant dans l’émotion, l’esthétique, le désir, le mouvement… Il est un lien du sensible d’une histoire, dans le regard.
Les paysages sont des corps terrestres, j’en regarde les choses et fais prise à l’univers.
_Chaque chose, toutes... les petites choses deviennent intéressantes, importantes, intrigantes si on les regarde longtemps ...et suffisamment.
Grégory Dreyfus - "Les choses Biscornues" ©1995
Retravailler l’image… - La travailler au tirage sur baryté comme en papier d’art, en argentique autant qu’en numérique ou bien en amont sur le négatif même, voire à l’émulsion… Jusqu’à la mise en scène, dans sa lumière… - c’est comprendre, sentir ...presque savoir déjà, mais aussi découvrir, choisir, décider ...jusqu’à révélation ultime d'une force supplémentaire, d'une autre idée derrière son image ou du sujet derrière le sujet. D'un supplément d'âme.
Bref, tout ce qui me permet d’être guidé à… révéler une émotion cachée dans le cadre. Tout ce qui tend à signifier l’invisible du visible, l'immobile du mobile, mais aussi à donner au banal un brin de superflu et de candeur.
Mon travail se corse par la matière.
Il tend vers une sensation rendue, de fusain par exemple ou sur un travail de contraste argenté : "Silvery" presque ...tout comme un travail de reprise dans la ligne.
En gros un travail de sens ; tant en dessin qu’en peinture qu'en photographie.
Ma série photographique nommée "Noar collection" reste dans la puissance par une volonté graphique, contrastée mais surtout de souplesse amenée dans les gris...
Je pousse l’Atmosphère de pratiquement toutes mes images d’une façon picturale, nous révélant ainsi des aspects plus profonds de chaque sujet.
Certaines d’entre elles, mes images, nous racontent une histoire, dramatique ou mélancolique, comme une promenade dans la perspective des "petites choses" autour de nous, quand d’autres le font dans la parenthèse des petites histoires, celles senties des gens autour, par une petite vue en lucarne.
Quand je prends une photo, je capture une part de ces moments indicibles, invisibles de l’existence. Mais une part qui nous rapproche un peu plus de l’autre.
C’est peut-être plus esthétique ou plus intellectuel, plus spirituel parfois ou juste plus graphique… Brutaliste ou superficiel, minimaliste ou à foison… mais toujours, géométrique... cherchant la conformité à la ligne - l’équilibre dans un déséquilibre.
La lecture de cette part d'invisible… - textures pour les nus, clair obscur pour les paysages… affections / afflictions pour les portraits, ambiances désaturées pour les scènes de vie… ou la contrainte de ces petites choses qui sont en vie entre elles pour les interactions - mêlée donc et de sens et d'attachement aux histoires comme aux sensations ...Cette part d'invisible reste un essentiel moteur « …s'essayant à réduire au maximum l’espace entre le moment créatif et l’acte de création lui-même. »
En photographie comme en peinture ou en dessin, j’aime ainsi ...sentir, capter l’énergie, l’émotion d’un portrait, les lignes, les volumes d’un nu, s’égarant dans le dramatique, dans le tragique ou vers des instants ludiques.
Le corps est une histoire à lui tout seul.
Il est le fil reliant dans l’émotion, l’esthétique, le désir, le mouvement… Il est un lien du sensible d’une histoire, dans le regard.
Les paysages sont des corps terrestres, j’en regarde les choses et fais prise à l’univers.
_Chaque chose, toutes... les petites choses deviennent intéressantes, importantes, intrigantes si on les regarde longtemps ...et suffisamment.
Grégory Dreyfus - "Les choses Biscornues" ©1995
Série TRINITÉ • 2 oeuvres
Voir tout
PHOTOGRAPHIES pour IMPRESSIONS GRAPHIQUES.
Prenons l'ancienne station TRINITÉ, dont j'ai sortie des[...]
PHOTOGRAPHIES pour IMPRESSIONS GRAPHIQUES.
Prenons l'ancienne station TRINITÉ, dont j'ai sortie des photos de ces magmas d'affiches macérées, laissées dans le temps, à la contrition et aux déchirures... Vague à l’âme à l'histoire d’un pan quartier du siècle dernier : La Nouvelle Athènes.
Tirages photographiques au moyen format, sur papier vélin d'arche collé sur Dibond, encadrés en boite américaine. Des tirages nobles, le papier cerclé, comme un tableau, laissant un peu d'air autour, le passe partout, sans glace, pour avoir l'aspect mate et naturel du papier.
Le tout potentiellement présenté comme une toile à la verticale avec sa part d’espace vierge par-dessus dessus, en dessous. ...Et sur lesquelles, des dessins extrêmement fins à l'encre de chine, viendraient "distraire" l'aspect affichiste de l'œuvre sans la dénaturer. dessins forcément uniques. Fait à la volée.
Chacune des oeuvres et peut-être toutes ou certaines d'entre elles, pouvant être assemblées.
gregorydreyfus©2016
Prenons l'ancienne station TRINITÉ, dont j'ai sortie des photos de ces magmas d'affiches macérées, laissées dans le temps, à la contrition et aux déchirures... Vague à l’âme à l'histoire d’un pan quartier du siècle dernier : La Nouvelle Athènes.
Tirages photographiques au moyen format, sur papier vélin d'arche collé sur Dibond, encadrés en boite américaine. Des tirages nobles, le papier cerclé, comme un tableau, laissant un peu d'air autour, le passe partout, sans glace, pour avoir l'aspect mate et naturel du papier.
Le tout potentiellement présenté comme une toile à la verticale avec sa part d’espace vierge par-dessus dessus, en dessous. ...Et sur lesquelles, des dessins extrêmement fins à l'encre de chine, viendraient "distraire" l'aspect affichiste de l'œuvre sans la dénaturer. dessins forcément uniques. Fait à la volée.
Chacune des oeuvres et peut-être toutes ou certaines d'entre elles, pouvant être assemblées.
gregorydreyfus©2016
BICMAN - Séries 1, 2 & 3 • 21 oeuvres
Voir tout
Les Séries BICMAN ©® sont des DESSINS à pointe bic.
Ce sont des « traits d’orchestre » entrelacés, entremêlés[...]
Les Séries BICMAN ©® sont des DESSINS à pointe bic.
Ce sont des « traits d’orchestre » entrelacés, entremêlés en proie à des sensations manquantes ou attendries des petites choses de la vie.
Les séries BICMAN... – toutes symbolistes et figuratives, toutes surréalistes et narratives ou parfois juste à l’émergence de celles-ci, sont exécutées, délivrées de l’inconscient.. sur fond de portraits dessinés inventés, remarqués ou même esquissés au coin d'une rue – ...Elles sont dédiées par un mode de fabrication extrêmement fin et ouvragées, à la lumière et au relief qui se révèlent pour moi, comme une caresse d’encre sur un papier velouté.
Les traits sont à la fois fins à hyper fins, ou ciselés, ou plus marqués.
Ils sont presque tous automatiques comme un geste en répétition - seule chose visible et tangible dont le lâché prise suit l'envol de l'inspiration, dans l'idée créative, à l'horizon -définitivement également, propice à la méditation.
GrégoryDreyfus©1998
En DESSIN, les séries
• " BICMAN 1-2®" : Symbolistes et figuratives, surréalistes. Les lumières et reliefs sont comme une caresse d’encre sur un papier velouté de grosse épaisseur ou accidenté.
• " B-Edgar Q " et " Bocata " : sont les derniers portraits, inspirés des gens autour, simplement.
Ils sont tous encadrés dans une boite américaine d'une largeur de branche de 1cm à 2cm autour de l'oeuvre, noir et mate, sous verre. Un passe partout blanc (ombre du bisot sur le côté gauche) prend le dessin en son sein.
Ce sont des « traits d’orchestre » entrelacés, entremêlés en proie à des sensations manquantes ou attendries des petites choses de la vie.
Les séries BICMAN... – toutes symbolistes et figuratives, toutes surréalistes et narratives ou parfois juste à l’émergence de celles-ci, sont exécutées, délivrées de l’inconscient.. sur fond de portraits dessinés inventés, remarqués ou même esquissés au coin d'une rue – ...Elles sont dédiées par un mode de fabrication extrêmement fin et ouvragées, à la lumière et au relief qui se révèlent pour moi, comme une caresse d’encre sur un papier velouté.
Les traits sont à la fois fins à hyper fins, ou ciselés, ou plus marqués.
Ils sont presque tous automatiques comme un geste en répétition - seule chose visible et tangible dont le lâché prise suit l'envol de l'inspiration, dans l'idée créative, à l'horizon -définitivement également, propice à la méditation.
GrégoryDreyfus©1998
En DESSIN, les séries
• " BICMAN 1-2®" : Symbolistes et figuratives, surréalistes. Les lumières et reliefs sont comme une caresse d’encre sur un papier velouté de grosse épaisseur ou accidenté.
• " B-Edgar Q " et " Bocata " : sont les derniers portraits, inspirés des gens autour, simplement.
Ils sont tous encadrés dans une boite américaine d'une largeur de branche de 1cm à 2cm autour de l'oeuvre, noir et mate, sous verre. Un passe partout blanc (ombre du bisot sur le côté gauche) prend le dessin en son sein.
Oeuvres Vendues • 10 oeuvres
Chargement...
Contacter Grégory Dreyfus
Envoyer un message privé à Grégory Dreyfus