Galerie Photo12
Artistes présentés par Galerie Photo12
A propos de la galerie
Tirages, décoration, encadrements, entreprises
Depuis quelques années, la photographie est entrée dans les musées et certains tirages ont atteint des prix considérables.
Néanmoins, contrairement à la peinture, une photo est rarement unique puisque l'on peut faire plusieurs tirages à partir d'un même négatif. C'est donc la qualité et la rareté d'un tirage qui vont en faire le prix. Et bien sûr, l'image elle-même, à savoir ce que le photographe a voulu représenter. Voici quelques pistes pour en savoir plus sur les tirages que nous vous proposons.
Tirage original
C'est un tirage effectué à partir du négatif original, par le photographe ou sous son contrôle. Seul ce type de tirage est reconnu par le marché. Il peut être signé ou tamponné au dos par le photographe.
Tirage limité (ou édition limitée, ou série limitée)
Le photographe s'engage à ne pas effectuer plus d'un certain nombre de tirages par image. La série limitée peut porter sur un format. Les tirages sont numérotés. Plus on approche de la fin d'une série limitée, plus les tirages deviennent rares, donc chers.
Epreuve d'artiste
Tirage réalisé par l'artiste, non numéroté.
Vintage ou tirage d'époque
Tirage contemporain de la prise de vue, réalisé ou non par l'artiste. L'appellation vintage ne concerne que les tirages pour la période de 1920 à 1970.
Digigraphie
Tirages d'art en série limité réalisés selon la technique du jet d'encre. Le label est protégé par un copyright. Les laboratoires photographiques se sont engagés sur une charte technique. La quantité de tirages définie par le photographe est contrôlée. Chaque tirage est répertorié. Il est authentifié, numéroté, signé par le photographe et marqué d'un tampon en relief. Pour en savoir plus, visitez le site digigraphie.com.
Tirage d'exposition.
Ce tirage a été réalisé pour une exposition. Le plus souvent, il s'agit d'un tirage de grande qualité.
ENCADREMENTS
A chaque photo son cadre. Partant ce cet axiome, nous ne vous proposons pas de solution d'encadrement standardisée. Mais nos encadreurs se tiennent à votre service. Selon la photo choisie, nous vous conseillerons (encadrement traditionnel, diasec,...) et établirons un devis.
ENTREPRISES
Le code des impôts contient plusieurs dispositions permettant aux entreprises qui investissent dans l'art d'effectuer des déductions fiscales à hauteur de 5 pour mille de leur chiffre d'affaires. Contactez-nous pour obtenir des informations plus détaillées.
Ligne artistique
Heures d'ouverture
Galerie Photo12
57 boulevard Arago
Paris 13e
Du lundi au vendredi, de 10h à 18h.
Le samedi de 14h à 19h.
Appel à candidatures (Artistes)
La galerie n'accepte pas les candidatures d'artistes.
Activité sur Artmajeur
Dernières Nouvelles
Toutes les dernières nouvelles de l'artiste contemporain Galerie Photo12
Montagnes. Du Mont-Blanc à l'Everest
14, rue Jardins de Saint Paul
Comment décrire la passion suscitée par la haute montagne ? Depuis Jean-Jacques Rousseau dans La Nouvelle Héloïse, des milliers d’écrivains ont raconté la fascination qu’exercent sur nous ces fabuleux sommets. Chaque année, des centaines de « conquérants de l’impossible » succombent au cours de leur quête. Les récits des alpinistes ont conquis des millions de lecteurs dans le monde et restent gravés dans nos mémoires (Premier de cordée, de Frison-Roche ; Annapurna 1er 8000 de Herzog ; Les conquérants de l’inutile de Terray ; Tragédie à l’Everest de Krakauer)… Christian Brincourt, grand reporter, a été lui aussi contaminé par le virus de la montagne. Ses reportages sur ses expéditions en Himalaya sont entrés dans les annales de la télévision. Homme de radio et de télévision, il n’a jamais oublié d’emporter son vieux Leica argentique pour arrêter le temps. Il nous livre dans cette exposition des images exceptionnelles d’intensité pour nous faire partager ces moments de beauté exaltante que la montagne offre à ceux qui la défient.
Exposition photographique ERNST HAAS
14 rue des Jardins Saint-Paul
Ernst Haas (1921-1986) est considéré comme l’un des photographes les plus importants de la seconde partie du 20e siècle.
Né à Vienne en 1921, il y fait ses études et entre à l’Institut des Arts Graphiques qu’il doit quitter à cause de ses origines juives. A la fin des années 40, il rencontre Werner Bischof qui deviendra un ami et qui le fait entrer chez Magnum en 1949 (il en prendra présidence en 1959).
Il multiplie ensuite les reportages pour les plus grands magazines, publie des livres et travaille sur de nombreuses campagnes publicitaires. C’est avec ces photographies très colorées que son nom est le plus souvent associé. Parallèlement à ces travaux commandités, il poursuit une œuvre personnelle avec des images plus ambigües, plus marginales, plus complexes, plus libres.
Ses premiers travaux avec la couleur ont tellement été bouleversants et révolutionnaires à l’époque qu’en 1953 le magazine Life y consacra 24 pages, dans 2 numéros consécutifs. L’article original avait pour titre « Images d’une ville magique ».
Il a été le premier photographe à avoir un "one man show" en couleur au Moma à NY en 1962 avec Edward Steichen et John Szarkowski comme commissaires d’exposition.
Dans le domaine de la photographie couleur, on estime aujourd’hui qu’il y a un avant et un après cette exposition.
Aujourd’hui les photographies avant-gardistes de Haas sont devenues de véritables symboles. Le travail de nombreux photographes a été et continue d’être influencé par son oeuvre. Haas est véritablement considéré aujourd’hui comme le « père de la photographie couleur ».
L’exposition parisienne réalisée sous la direction de Victoria et Alex Haas comprendra une sélection de ces photographies inédites – elles ont été montrées pour la première fois aux Rencontres d’Arles en 2010, ainsi qu’un certain nombre des clichés les plus classiques sur New York. Elle inclura des tirages originaux vintage et des tirages contemporains et des dye transfer.
Un châtelain mis à nu, projet photographique de Tarik Marecar
Galerie Photo12, 14 rue des Jardins Saint-Paul, 75004
RENCONTRE AVEC LE PHOTOGRAPHE ET SON SUJET LE SAMEDI 2 AVRIL DE 16H A 18H30.
Le projet
Le châtelain d'aujourd'hui est polyvalent. Il a plusieurs cordes à son arc, bénéficie d'un réseau qu'il se crée… fait preuve de réactivité face à l'impondérable…
En charge de la propriété familiale, Corentin se retrouve à la tête d'un domaine qu'il doit gérer sans argent… En réponse à l’absence de personnel, il recherche des solutions innovantes qui respectent ses valeurs humaines, son éthique bio et ses contraintes budgétaires.
Développer un agenda culturel performant et varié, pour attirer un public nombreux, devient sa priorité pour subvenir aux charges fixes du domaine.
Oui, c’est cela être châtelain en 2011 !
Printemps 2010, Corentin présente son projet au photographe Tarik Marecar. Bénéficiant d’une carte blanche pour réaliser les esquisses du storyboard final, Tarik s'en entiche et réalise une image, celle du salon Louis XVI, en septembre 2010.
L’image est traitée par ses soins pour la dévoiler en exclusivité à la galerie photo12.
Le protagoniste apparaît plusieurs fois pour mieux insister sur sa polyvalence et son pouvoir d'adaptation.
Partenariat
Pour que l'élaboration des treize visuels se concrétise, nous recherchons des partenaires, amoureux d'art, pour prendre en charge tout ou partie de la production.
Cela inclut : les déplacements Paris/Bretagne, le stylisme, le maquillage, la logistique photographique, la post-production…
Corentin Huon de Penanster et Tarik Marecar sont à votre écoute pour étudier toutes propositions relatives au développement de ce partenariat artistique. Leur volonté est de décliner cette expo sur la création d'un calendrier d'art pour aider au développement culturel et matériel du château de Kergrist.
Exposition de photographies de Jean-Claude Sauer
14 rue des Jardins Saint-Paul
En 1958, le magazine Life demandait à Hemingway une série de reportages sur le duel entre deux toreros mythiques qui enflammait les foules : Luis Miguel Dominguin et Antonio Ordoñez.
Pendant deux saisons, Hemingway les suivit, relatant les péripéties de leur intense mano a mano. Jean-Claude Sauer eut la chance de photographier les combats racontés par Hemingway dans L’été dangereux.
L’exposition réunit une trentaine des photographies les plus fortes de ce long affrontement entre deux hommes, amis et beaux-frères dans la vie, rivaux dans l’arène.
Seront exposées également les photos les plus marquantes de la carrière de Jean-Claude Sauer : des conflits qui ont déchiré le monde dans les années 1960 jusqu'aux défilés d'Yves Saint-Laurent en passant par des portraits intimes de célébrités comme Brigitte Bardot. Jean-Claude Sauer est un amoureux de la vie, la mode et les gens étaient son repos du guerrier. Son honnêteté dans les relations humaines, sa sincérité, son humour transparaissent dans ses portraits.
Exposition La Maison de Baba Yaga par Yury Toroptsov à la Galerie Basia Embiricos
14 rue des Jardins Saint-Paul
Entre le rêve et la réalité, l’exposition La maison de Baba Yaga, est un voyage dans les souvenirs de l’enfance du photographe à la recherche des réponses sur ses interrogations personnelles et universelles. Pris entre deux mondes qui s’opposent géographiquement et culturellement : Paris et Vladivostok, il cherche à définir ce qui constitue le dénominateur commun des univers distants : le rapport à l’identité et la permanence des mythes : « Pour quelques semaines par an, je me retrouve dans la maison de famille où j’ai grandi, dans un village perdu de la jungle sibérienne. Avec le temps, ma maison s’est mise à ressembler à celle de Baba Yaga, la sorcière mangeuse d’enfants des contes de fées russes. Surtout quand ses lumières mystérieuses animent la nuit obscure. Mais je n’en suis pas impressionné pour autant : le territoire magique de la méchante est désormais occupé par deux bébés, mes nièces qui viennent de naître. »
L’exposition La maison de Baba Yaga transfigure la vie réelle et le quotidien de sa maison familiale à Grodekovo. Situé à 244 km au nord de Vladivostok dans un site naturel d’une grande beauté, Grodekovo est un village russe typique, peuplé de quelque trois cents habitants.
Pour ses prises de vue nocturnes, Yury Toroptsov fait appel aux codes visuels de l’imagerie populaire russe et des contes de fées. L’utilisation de la lumière disponible (phares d’une voiture, lampes d’intérieur…) pour éclairer le lieu et les couleurs saturées créent l’impression d’une autre réalité.
« Chaque fois que je quitte la France pour aller voir ma famille en Russie » dit le photographe « il me semble que je change de monde, pas de continent, tellement la différence est grande et perceptible. Après les trente heures de voyage, l’aéroport de Paris, l’aéroport de Moscou, l’aéroport de Vladivostok, ma mémoire parisienne et mes images de la Ville-Lumière s’estompent au profit de tous mes souvenirs d’enfance qui ressurgissent. »
Né en 1974 dans une petite communauté rurale proche de Vladivostok, Yury Toroptsov a quitté la Russie en 1998 pour étudier à New York après avoir obtenu une bourse d’études. Titulaire d’un diplôme en gestion de la New School for Social Research, il a commencé sa carrière dans le secteur des organisations non gouvernementales. En 2003, consultant aux Nations-Unies, il décide de changer de voie pour s’engager professionnellement dans la photographie.
Nourri de ses origines extrême-orientales, de ses séjours américains et de son installation en Europe, Yury Toroptsov travaille sur les thèmes de la mémoire, de la métamorphose, du profane et du sacré, qui reviennent en leitmotiv dans ses photographies.
Exposition Jean-Marie Périer - Scopitone, les années de légende
23 place Dauphine
A l‘occasion de cette double exposition parisienne, Jean-Marie Périer présente une sélection de ses plus célèbres photographies de personnalités réalisées dans les années 60 : Scopitone – les années de légende.
Tout commence au début des années 1960. Une musique nouvelle déferle sur la France. Venue d’Angleterre et des Etats-Unis, elle conquiert la jeunesse. C’est la folie autour de très jeunes gens qui veulent avant tout s’amuser et qui vont devenir des stars.
On se réunit dans les cafés autour d’un étrange appareil, le Scopitone : un gigantesque juke-box avec un écran sur lequel s’affichent de petits films en couleurs. Alors que la télévision est encore en noir et blanc, ces clips font un triomphe. Plus de 700 films seront produits avec toutes les vedettes de l’époque. Johnny Hallyday, Sylvie Vartan, Claude François, Françoise Hardy, les Beatles, Jacques Dutronc, Michel Polnareff, les Stones…
Le regard de Jean-Marie Périer et son style si particulier l‘imposent désormais comme le photographe incontournable de ces années de légende.
Hormis le plaisir évident que nous avons à retrouver nos idoles, ces portraits, parfois décalés, souvent insolites et surtout aujourd’hui terriblement modernes, sont à jamais devenus des icônes de la Pop culture.
Biographie
Né en 1935, photographe à Paris-Match pendant 40 ans, Jean-Claude Sauer est avant tout un photo-journaliste. Il a couvert tous les conflits, de l’Algérie à l’Afghanistan, du Biafra à l’Irak, sans oublier le VietNam où il a passé plusieurs mois en 1965 et 1966. Beaucoup de ses photographies sont parues dans Life. La souffrance, la mort, le désespoir ont été son quotidien.
Entre deux conflits, il assistait aux défilés Saint-Laurent ou photographiait Brigitte Bardot nue sous sa douche. C’est un amoureux de la vie, la mode et les gens étaient son repos du guerrier. Son honnêteté dans les relations humaines, sa sincérité, son humour transparaissent dans ses portraits. La plupart des célébrités qu’il a rencontrées, le roi d’Espagne, Pompidou, Giscard, Chirac, Reagan, Ingrid Bergman, Romy Schneider, César, Ungaro… sont restées ses amis.
Exposition à la Galerie Photo12
Galerie Photo12 - 14 rue des Jardins Sainr-Paul - 4e
Du mercredi au samedi, de 12h à 19h30
Ouverture exceptionnelle dimanche 21 novembre à l'occasion de Paris Photo
Contact : 01 56 80 14 40 / 01 42 78 24 21
Mail :
En 1958, le magazine Life demandait à Hemingway une série de reportages sur le duel entre deux toreros mythiques qui enflammait les foules : Luis Miguel Dominguin et Antonio Ordoñez.
Pendant deux saisons, Hemingway les suivit, relatant les péripéties de leur intense mano a mano. Jean-Claude Sauer eut la chance de photographier les combats racontés par Hemingway dans L’été dangereux.
L’exposition réunit une trentaine des photographies les plus fortes de ce long affrontement entre deux hommes, amis et beaux-frères dans la vie, rivaux dans l’arène.
Seront exposées également les photos les plus marquantes de la carrière de Jean-Claude Sauer : des conflits qui ont déchiré le monde dans les années 1960 jusqu'aux défilés d'Yves Saint-Laurent en passant par des portraits intimes de célébrités comme Brigitte Bardot. Jean-Claude Sauer est un amoureux de la vie, la mode et les gens étaient son repos du guerrier. Son honnêteté dans les relations humaines, sa sincérité, son humour transparaissent dans ses portraits.
Exposition "Portraits d'artistes" par Manuel Litran
Exposition du 14 novembre au 6 décembre
Du lundi au vendredi de 10h à 18h. Le samedi de 14h à 19h.
Galerie Photo12, 57 boulevard Arago, Paris 13e
35 tirages originaux de Manuel Litran représentant des écrivains, peintres, acteurs et musiciens.
Manuel Litran est né en Algérie. Il y étudie la peinture à l’Ecole des Beaux-Arts et s’initie à la photographie avec son père. Arrivé à Paris en 1952, il entre au laboratoire de Paris-Match. Bien qu’ayant travaillé au sein d’un magazine de news, Litran n’est pas un photojournaliste mais bien un « artiste de la photographie ». Il a imposé l’usage de la chambre grand format pour les portraits de célébrités dans leur environnement familier. Son travail s’inscrit dans la tradition des grands portraitistes du XIXe siècle : la composition picturale est proche de celle des peintres. « Litran n’a qu’un objectif, le 21mm, pour des photos originales. Prenez-en de la graine. » (Roger Thérond). « Un obsédé de la perfection technique ». (Jean-Marie Périer)
