galerie couteron

Clara Ramirez Katz à la Galerie Couteron

16 rue Guénégaud

CLARA RAMIREZ KATZ
Vernissage le jeudi 21 février 2013 à partir de 18h

Exposition du mardi 19 février au dimanche 24 mars 2013

Clara Ramirez est colombienne, elle est installée à Paris et expose pour la 3eme fois à la Galerie Couteron.
Pour sa nouvelle série, Blancs, elle a renouvelé sa façon de peindre et envisagé la toile comme la matière rocheuse qu'elle peint pour lui donner ses formes et ses reliefs.

BLANCS
[...] Comme une architecture : la pierre, ses formes accidentées, ses stries. Ciel, mer, eau, nuages, unis dans une seule surface, pleine, ouverte. Des noirs, ses nuances. Le hasard, rêveur, des ombres, des reliefs; une blancheur entière, saisissante, poignante, d’où s’élève, comme dans un soulagement, paisiblement, une douceur singulière.
BLANCS habite un entre deux. Là où la peinture réside. Là où survient la réalité, en cette familière étrangeté.
Eugénie Paultre Poète, enseigne la philosophie

16, rue Guénégaud - 75006 Paris
Tél: +33 (0) 143 256 249
contact@galerie-couteron.com
www.galerie-couteron.com
Du mardi au samedi: 14h à 19h - sur RDV au: +33 (0) 661 866 114
Métro Odéon - parking Mazarine

colette b.

Galerie Couteron

rencontre avec l artiste le samedi 10 novembre à partir de 17h00.

Yves Dreiss

Galerie Couteron

Vernissage le mardi 20 novembre à partir de 18h00.
Exposition du mardi 20 novembre au dimanche 16 décembre 2012.

Sylvie Lobato

16 rue Guénégaud

vernissage-cocktail le 19 mai à partir de 18h.

Igor Andreev

16 rue Guénégaud

Sur ses toiles et découpages en bois ou aluminium, apparaît un monde fantasmagorique et bigarré, peuplé d’une faune étrange et loufoque où apparaissent ses thèmes favoris : l’absurde, l’équivoque, la dérision, et sa patte de coloriste. Son style brillant, éclatant d’énergie, aux couleurs éblouissantes, dépeint un univers ludique, humoristique mais aussi railleur et provocant.

Dans cet expressionnisme, tout est prétexte à personnage. Quel sujet que les automobiles, emblèmes de nos civilisations pour une exposition où elles se présentent héroïnes de bandes dessinées. Ces voitures qui ne manquent pas de nous rappeler les trabans, présentent des profils humains, yeux, dents. Elles portent des numéros fétiches ou des pansements, affichent des marques inventés et se retrouvent parfois au milieu de scènes d’actions cinématographiques.

Etienne Assénat

16 rue Guénégaud

huile sur toile

Oeuvres phospholuminescentes

16 rue Guénégaud

Cat Sirot, dans son dernier travail a voulu créer une oeuvre qui ne s’arrête jamais de communiquer avec le spectateur. Une peinture qui ne s’éteint jamais. De jour comme de nuit.

Clara Ramirez

16 rue Guénégaud

À travers des formes essentielles, extraites des profonds gisements du temps et de l’espace, l’œuvre de Clara Ramirez va bien au-delà des premiers paysages de l’enfance.
D’où proviennent ces énormes crêtes de la cordillère, ces silhouettes de montagnes lointaines que Ramirez décrit avec une grande économie poétique à travers les couleurs fondamentales que sont le blanc et le noir?
À observer la vaste série de ses paysages, le spectateur, d’où qu’il vienne de par le monde, sera confronté au temps géologique, loin de toute anecdote immédiate ou de référence folklorique. Le citoyen cosmopolite rempli de mots et de concepts, ou le paysan de Mongolie ou du Népal connaisseur d’arômes et de saisons, sauront trouver là le commun dénominateur qui les unit et qui seul peut produire une œuvre d’art.
Les formes plus que millénaires de Ramirez, les crêtes ondulées des cordillères qui subitement s’effondrent en précipices, en abîmes insondables, en eaux dormantes recouvertes de jeunes arbres, en vallées lavées par de vieux fleuves, en horizons de brouillard, paraissent ici extraites avec une patience géologique, avec la même minutie que celle de l’érosion causée par le vent et la pluie sur l’écorce terrestre.
Dans l’œuvre de Ramirez on ne trouve pas la moindre concession à une figuration qui ferait appel à la facilité de la couleur, à l’anecdote ou au chaos artificiel pour cacher ce qui est vrai, ce qu’ont trouvé les artistes anonymes des grottes d’Altamira et de Chauvet, les grands calligraphes et maîtres de l’encre de Chine, ou Rothko et Malevitch à notre époque.
«Les montagnes viennent de l’intérieur, elles ne représentent pas un lieu précis, et comme elles sont de nulle part, elles sont de partout» nous dit Ramirez avec une lucidité diaphane, avec la même vérité que celle du poète devant l’aube ou le crépuscule.
Ciel et terre, matière et esprit, noir et blanc, fleuve et montagne, arbre et pré, pierre et mousse, sont les matériaux qui se répandent dans ces toiles ressemblant à des strates géologiques ou à des océans pétrifiés, des vagues sur une plage incessante de sable blanc et de galets gris moulus depuis toujours par la force salée de la mer.
Qu’ai-je vu dans cette série de paysages de Ramirez? Dès le premier instant, je n’ai pas eu le moindre doute que j’étais devant la poésie, et la poésie est la musique du rien et du tout. C’est la fraîcheur de l’enfance retrouvée après avoir creusé dans la roche à la recherche de gemmes jamais vues, dont la transparence s’éclaire un instant, avant d’accéder au règne du silence et de l’obscurité de la nuit, dans les bois et les montagnes originels.
Eduardo García Aguilar

Franck Benoualid

16 rue Guénégaud

Sculptures de Marie Busson

16 rue Guénégaud

Sculptures de Marie Busson
accompagnées de : Huile sur toile de Catherine Benas, Philippe Maurice, Frank Benoualid, Etienne Assénat, Harwet
Huile sur bois et technique mixte de Zao Hong Qiu

Guillaume Voiseau

16 rue Guénégaud

Vartan Kech

16 rue Guénégaud

Philippe Maurice

16 rue Guénégaud

L’Art est une expression de notre vie intérieure.
Il appartient à chacun au plus profond de son intime, à tous car il est l’expression de notre vie.
L’Art est le résultat d’une pratique et de sa maîtrise. Cependant il ne débute qu’au-delà de cette maîtrise.
L’Art est patience, travail, volonté, questionnement, décision.
L’Art est libre. Il respecte les maîtres anciens mais refuse les dogmes.
L’Art est sincère.
Ce sont ces lois qui me guident.

Je peins, je brûle, je lave et j’obtiens une peau.
Je la tends, je la couds, je la repeins. Dans ce cheminement, une pensée m’obsède et m’interroge :

L’humanité encore au matin de son existence marche
au devant d’un bouleversement écologique qui ira au-delà de notre imagination. Une nouvelle définition de nos sociétés, de nos frontières, de nos territoires s’imposera alors. Comment allons-nous aborder ce tournant de l’histoire humaine ?

Sommes-nous prêts ?

JORMA

16 rue Guénégaud

RENAISSANCE

Pareille à la naissance de notre planète qui est passée par des étapes de transformations inouïes, l’œuvre de Jorma, semble épouser certains de ces bouleversements, des phases les plus chaotiques à celles d’embrasements pleins de feu et de lumière ignée. Soulèvement d’énergies prodigieuses brassant la matière par d ‘énormes pelletés ajoutant au chaos la démesure convulsive d’un déchaînement aveugle. Sans repos, la fournaise exclut l’embrasure, l’ouverture en retrait, elle absorbe le regard et aspire au brasier de l’inconnaissance, tel ce tableau de l’artiste, entièrement rouge de cadmium foncé, dont les légères nuances n’en prononcent que plus l’intensité de l’incandescence. Brûler et renaître par le souffle incessant de la vie est au cœur de la vraie vie.

Puis dans la durée sans âge, plus ouvertes aux mouvements extérieurs, aux actions qui se cherchent dans un aboutissement cohérent, les énergies ralentissent leur rythme effréné et se colorent de la pâleur de l’oubli par des teintes qui sortent du foyer des origines pour connaître l’espace incommensurable du fond noir et du contraste par des couleurs allégées en avant plan et pétries de forces intérieures où la luminosité s’adonne à son jeu favori du ruissellement. Apparaissent alors des cataractes de lumière qui se déversent dans les vasques d’un commencement de plénitude annoncée. Des verts frais rehaussés par des incandescences apaisées de terre de Sienne et d’ocre jaune, s’élancent à la conquête d’une vie végétale apte à la nidification de l’humain.

Certes, même si elle se déploie comme telle ici, la chronique n’est pas de mise car dans les tableaux de Jorma, tout fuse presque simultanément, et le brassage de ces forces conjuguées fait éclore magnifiquement la vie dans l’essor d’un renouvellement continu. Comme l’écrivait à son époque Paul Klee, à qui l’artiste porte une grande admiration : « L’artiste imite les jeux de forces qui ont créé et créent le monde. ». Créé par cette énergie qu’il capte et qu’il sait transmettre au travers de son imaginaire pictural, il nous offre ces instants privilégiés où les énergies en constant déploiement, la lumière en visitation colorée, accèdent au visible dans ses toiles, et affleurent dans l’être intime de chacun où les forces de l’univers constituent la source vive de l’existence.

Né en 1957, diplômé de l’Ecole Nationale des Beaux Arts de Paris, après avoir exposé dans plusieurs styles et de préférence figuratifs, l’artiste nous propose aujourd’hui des toiles d’inspiration abstraite dont l’esthétique faite d’énergie, de couleur et de lumière s’ouvre essentiellement sur la nature dans ses manifestations élémentaires à partir desquelles les élans apparemment les plus fous s’organisent en signes de beauté. Actuellement, du 2 octobre au 10 novembre 2007, la galerie Couteron, 16, rue Guénégaud à Paris 6°, expose des œuvres récentes de l’artiste, comme il l’indique : « Des toiles à vivre et à habiter au quotidien ». A préciser pour les amateurs que la galerie conserve en permanence des œuvres de l’artiste.

L’obscure fidélité au minéral, au végétal, à la turbulence des éléments, aux forces qui les gouvernent, témoigne de l’interrogation fondamentale de Jorma, sur l’écoute de l’être interpellant la substance même de l’univers qui défie toute raison mais comme une douce respiration éveillant une résonance intime, cède lointainement à la nature de ses origines par les énergies qu’elle fomente, concède quelques points d’orgue à partir desquels s’accordent les tonalités d’un plain chant emplissant le dôme de l’univers.
MJ Estrade

Vaillant-Baudry

16 rue Guénégaud

Vous êtes cordialement invités aux événements suivants, à partir de 18 heures et en présence de l’artiste :

. jeudi 25 septembre : vernissage de l’exposition

. mardi 30 septembre : signature du dernier ouvrage de Vaillant-Baudry

. jeudi 16 octobre : vernissage d’un nouvel accrochage

. jeudi 6 novembre : signature du dernier ouvrage de Vaillant-Baudry

. samedi 15 novembre : décrochage de l’exposition.

論文

Vaillant-Baudry

Distinctions

La petite musique de Vaillant-Baudry

論文