Artistes présentés par Galerie Wagner
A propos de la galerie
Jean-Marie Wagner a fondé la galerie en 2004 au Touquet-Paris-Plage. Quelques années plus tard, sa fille Florence l’a rejoint. Ensemble, ils ont fait le choix de défendre les courants de l’abstraction géométrique, l’art concret, l’art construit, l’art cinétique ou encore l’art lié à l’architecture ou aux sciences. Ils présentent des artistes d’envergure muséale et internationale, mais offrent également leurs cimaises aux jeunes artistes qu’ils estiment prometteurs.
Ces formes d’art, structurantes parce que structurées, minimalistes parfois, interrogatives toujours, sont la matérialisation d’une capacité à penser le monde à travers un langage formel certes simple (carrés, cercles, triangles, lignes…) mais en liens étroits avec les sciences, les mathématiques, la philosophie, la poésie voire la spiritualité.
Durant 18 années, Jean-Marie Wagner a créé des passerelles entre les artistes et les amateurs d’art, en exposant leur travail dans un espace atypique de plus de 300m2 sur deux niveaux au Touquet. Depuis septembre 2019, c’est à Paris, 19 rue des Grands Augustins, au carrefour du quartier latin, d’Odéon et de Saint-Germain-des Près, que la Galerie poursuit son activité et présente désormais ses artistes.
Le galerie Wagner est membre du Comité professionnel des galeries d'art depuis 2016.
Ligne artistique
art concret, art construit, art cinétique en lien avec les sciences
Heures d'ouverture
Jeudi et vendredi de 14h30 à 19h30
Samedi de 14h30 à 18h30
Et sur RDV
Appel à candidatures (Artistes)
La galerie n'accepte pas les candidatures d'artistes.
Activité sur ArtMajeur
Dernières Nouvelles
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Visible invisible
19 rue des Grands Augustins 75006 Paris
Regarder devient ici un acte actif, mouvant : ce que l’on croit voir à première vue se dérobe, se transforme ou se complète à mesure que l’on change de point de vue ou que la lumière évolue. Les artistes explorent ainsi la dualité entre présence et absence, entre apparition et dissimulation, en nous rappelant que voir n’est jamais un acte neutre, que regarder, c’est toujours choisir. Et que l’invisible, souvent, ne demande qu’à être vu autrement.