Dropped Out Plugged In (2025) Fotografia da Friedrich Ursprung

“Socketed to the void, tethered to nothing. The flesh rebooties itself.”

Dans cette œuvre, nous sommes confrontés à une corporalité brute, non performative. Compositionnellement, elle agit comme un punctum au sens barthésien : un détail qui transperce notre regard habituel.
La posture courbée et exposée évoque d’ordinaire l’humiliation ou l’autodégradation, mais ici, elle se révèle contrôlée, délibérée, et calme – créant ainsi cette tension troublante entre la honte et une nudité pleinement assumée.
La figure pâle émerge de l’obscurité qui l’environne, isolant la chair tel une offrande silencieuse. L’orifice est offert dans une pose d’une banalité dérangeante, attirant irrésistiblement le regard vers l’intérieur même de l’image.
« Dropped Out Plugged In » résonne comme un koan cyberpunk, affirmant un flux existentiel plus qu’une identité stable. Elle met en lumière la simultanéité paradoxale de l’exclusion et de l’attachement, incarnant une ambiguïté radicale, une crudité poétique, et une clarté techno-sensorielle.

Hier bückt sich kein demütiges Wesen, sondern ein Körper, der seine Blöße mit stoischer Gelassenheit präsentiert. Ein Punctum als Blickfang: ein Detail, das dem Betrachter keine Ausrede lässt.
Die Pose – halb erniedrigend, halb erhaben – wirkt wie ein alltägliches Ritual der Selbstentblößung. „Dropped Out Plugged In“ liest sich wie ein Cyberpunk-Koan über das paradoxe Zusammenspiel von Ausschluss und Anbindung.
Alles zugleich: banal, dreist, techno-trashig – was es umso unverschämter wirken lässt.

Here we have no pitiful creature but a body flaunting its flaccid truth with stoic indifference, a Barthesian punctum rupturing visual etiquette. The bent-over stance – half humiliation, half heroic exposure – reads like a cyberpunk koan: “Socketed to the void, tethered to nothing. The flesh rebooties itself.” It’s mundane and unfiltered, dropping out yet plugged in, embodying that exquisite tension between exclusion and attachment – unsettling not for what it shows, but for how effortlessly it refuses to care.

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