LES BASES
Je travaille mes peintures sur toile ou panneau bois avec de la peinture à l’huile,
en plusieurs couches très fines et mes photos argentiques sont retravaillés sur ordinateur.
Mes sujets d’inspiration vont des tableaux anciens aux images qui traversent
mes rêves et mes temps de méditation.
Tout sujet m’interpelle et plus encore le féminin…sacré, le chaos, l’âme et l’esprit.Actuellement,la physique quantique et la théorie des champs
me questionnent
et me pousse vers ces tableaux quantic !
Suite à une grave dépression et un cancer du poumon en 2015, j'ai découvert un nouveau medium, l'encre de chine et le papier, que je nomme "évaporescences", ce sont des tableaux abstraits et le plus spontané possible. je travaille aussi la photographie et montage digital;
Une vingtaine d'expositions en Haute-Savoie,hautes-alpes(conseil général,galerie leclerc)personnelle et collective,
1986.MANOSQUE(04)
Deuxième prix,concours photo du conseil général de haute-provence.
1991.L’AUTRE JOURNAL.PARIS.
Lauréat concours de poésie.
1995.CHATEAU-ARNOUX(04).
Premier prix photo.
2001.CLUSES(74).
Salon des peintres savoyards,troisième prix du public.
2003.ROANNE(42).
Premier prix du festival de l’image numérique.
J’ai participé à de nombreuses expo collectives et réalisé plusieurs expos individuelles,
dont la galerie Leclerc à Gap en juin 2007.
2008.GAP(05).
une encre sur le mur du salon d'un heureux propriétaire d'une encre
et bientôt une nouvelle galerie où je vous montrerais mes images photographiques, des prises de vue retouchée sur ordinateur.....ou pas!!!
L'artiste, un jour, le temps d'un instant a brulé son esprit au souffle de l'infini. Ne lui reste que mélancolie et désespoir qu'à travers chacune de ses créations, il tente, sachant bien que ce n'est pas à travers son travail, qu'il ne pourras jamais retranscrire cet infini. Ce ne seras toujours qu'une formation de formes, révélant et cachant à chaque fois recouvert de son pinceau, l'infini.
L'infini n'est pour lui que l'infini de la nuit obscure, cette noirceur de l'âme du monde qu'il s'agit de mettre en lumière pour s'approcher au plus près de cet infini de lumière.
michel
PEINTURES QUANTIC.
A l’aide d’un procédé pictural qui mélange les couleurs et l’encre, les cristaux d’argent et les pixels, le temps et le réel, le sang et la chair, l’esprit et l’infini, le verbe et l’extraordinaire, le vent et les cheveux, la physique quantique et la dialectique, l’âme et la femme, la vie et la mort,
en interpénétration constante dans la lumière d’un jour de pleine lune,
et donne à voir la réalité de ce que peut contempler un esprit ne cherchant plus à rassembler ses états dispersés en dix mille facettes de sa réalité plaquée sur des visions approximatives d’une même totalité, dont toute vision de chaque humanité,
dans chacun des petits êtres humains ne regardant plus la même scène.
Et si c’était vrai ?
C’est à travers le regard du corps,de l’esprit et de l’âme, c’est avec l’intelligence du corps, de l’âme et de l’esprit que la beauté de l’univers se révèle.
Onde et particule, un champ universel d’énergie,un champ de tous les possibles.
toutes ces encres sont ensuite contrecollées sur du carton bois de 3mm
EVAPORESCENCES
Une écriture fulgurante, un besoin irrépressible, une conquête de l'un-pensée, un formidable effondrement, un saut dans le saut, une voix qui s'essuie sur le rebord d'un abime, et qui attends!!!!
un entrechevautrement de maux qui se disloquent en mots léculère de rien, en syllabissale-ment bien décortiqués.
Et pour former des images et incorporer sous formes de métamorphose, la pensée, voire son expression, sa pulsion ... Mettre en forme la voix de l'inconnaissance.
Se servir de textes philosophiques des plus obscurs et puis se délecter, le mot est peut-être trop violent, d'une lecture incompréhensible qui n'est que poésie;
La symbolique des mots qui s'entrepercutent, provoquant un rythme inconnu et qui s'éjouissent entre eux d'une mélodie incompréhensible aux yeux du lecteur.
L'oreille n'a ici rien à voir !!! Ce sont bien les yeux qui entendent.
C'est bien là, le mystère de ces écritures, peinture abstraite et pourtant lourd d'un sens qui reste encore à trouver, à modeler, à interpréter, à combiner dans un chaos de connexions neuronales, modelant la lumière qui éclabousse les pigments qui n'existent pas vraiment, dans le champ du point 0, dans l'attraction d'un corps étranger à toute tentative de description.
Il me reste à trouver une feuille sous forme d'un rouleau qui aurait l'épaisseur d'un roman, la longueur d'une éternité.
un grand pinceau, du carton blanc ou du papier magique, une gestuelle spontanée en trois coups maximum de pinceau, un voyage dans la spontanéité du geste. Un aboutissement de mon parcours d'artiste précédé de la photo et de la peinture à l'huile; des oeuvres présentées dans de nouvelles galeries.
