Cyril Emmanuel, alias X the Villain
Points Clés
Artiste nigérian contemporain basé à Lagos
Œuvres en peinture, sculpture et performance
Thèmes : identité, santé mentale, discrimination, culture africaine
Matières symboliques : huile de palme, charbon de bois
Engagé pour les droits humains et l’accessibilité
Investissement à fort potentiel : jeune, engagé, visionnaire
Né en 1995 à Lagos, Nigeria, Cyril Oluwamuyiwa Emmanuel, connu sous le nom de X the Villain, est bien plus qu’un artiste : il est un conteur du réel et du futur, un sculpteur de mémoires, un performeur de vérités inconfortables. À travers la peinture, la sculpture et la performance, il interroge l’identité, explore la mémoire collective africaine et projette une vision percutante du monde à venir.
Enemies in Universe, Lovers in Metaverse (2022), Cyril Emmanuel (X the Villain), Acrylique sur Toile, 53,3x78,7 cm
Une démarche artistique profondément enracinée
Autodidacte, inspiré par des figures comme Léonard de Vinci, Tehching Hsieh, Yinka Shonibare ou encore Jean-Michel Basquiat, X the Villain construit un langage artistique unique, fusionnant l’héritage ancestral yoruba avec des matériaux bruts et symboliques comme l’huile de palme ou le charbon de bois. Son travail dépasse le cadre esthétique : il est une expérience immersive, militante et inclusive, pensée pour parler aux corps, aux esprits et aux cœurs — quel que soit le public.
Il s’inscrit dans une tradition d’artistes qui mettent l’art au service du dialogue sociétal, en explorant des sujets comme la santé mentale, la marginalisation, le racisme ou la crise identitaire. En cela, Cyril n’est pas seulement un artiste : il est un militant de la conscience collective.
Œuvres marquantes : du tangible au numérique
The American Dollar (2025), Cyril Emmanuel (X the Villain), Acrylique sur Toile, 101,6x101,6 cm
Parmi ses œuvres les plus notables, Enemies in Universe, Lovers in Metaverse (2022) est une vision prophétique du transhumanisme, entre critique sociale et imaginaire numérique. Avec un style rappelant les manuscrits médiévaux, Cyril y peint une ère nouvelle où les identités se dissolvent dans le virtuel, questionnant notre rapport à la réalité et à l’humanité.
En 2025, avec The American Dollar et The Nigerian Naira, il aborde les symboles monétaires comme miroirs culturels. Dans ces œuvres, l’argent devient narration, histoire et pouvoir. Les billets deviennent des affiches cinématographiques, où les figures historiques (Franklin, Awolowo) cohabitent avec des codes visuels forts : violet, or, monumentalité. C’est une réinterprétation esthétique et critique de la valeur, entre gloire nationale, mémoire coloniale et quête de dignité.
Une signature artistique en pleine révolution
The Nigerian Naira (2025), Cyril Emmanuel (X the Villain), Acrylique sur Toile, 99,1x99,1 cm
Investir dans X the Villain, c’est miser sur une vision artistique singulière et universelle. Bien plus qu’un simple observateur du monde, il le réinvente, transcendant les frontières géographiques et thématiques tout en restant profondément ancré dans la réalité africaine contemporaine. Son art parle à tous sans jamais renier ses racines. Basé à Lagos, épicentre mondial de la création émergente, il évolue dans une scène vibrante portée par des collectionneurs, des galeries et des institutions avides de nouveaux récits. Son profil jeune, engagé et innovant en fait une valeur montante à fort potentiel. À cette ascension s’ajoute un engagement éthique et humain : dans un monde où l’art doit aussi être responsable, il incarne une approche consciente des enjeux sociaux et environnementaux. Ses œuvres et performances, accessibles aux personnes handicapées, sont pensées pour inspirer, inclure et éveiller. Son travail rare et puissant, mêlant thématiques percutantes, techniques mixtes, tradition, performance et technologie, s’impose comme un manifeste artistique. Investir dans X the Villain, c’est soutenir une nouvelle génération d’artistes africains qui redéfinissent l’histoire de l’art contemporain.
Cyril Emmanuel, alias X the Villain, est un artiste qu’il faut non seulement suivre, mais soutenir. Son travail, à la croisée du rituel, du politique et de l’utopique, nous invite à regarder en face les fractures du monde et à rêver, malgré tout, d’un avenir commun.
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FAQ – X the Villain
Quel est le style de X the Villain ?
Conceptuel, contemporain, performatif, avec une forte portée symbolique.
Quels matériaux utilise-t-il ?
Huile de palme pour les peintures, charbon pour les sculptures, matériaux locaux et durables.
Pourquoi investir dans son travail ?
Il incarne l’avenir de l’art africain : engagé, innovant, avec une vision universelle.
Est-il exposé à l’international ?
Il est en pleine ascension, et de plus en plus repéré par les cercles artistiques globaux.
Nicolas Sarazin
