Vulve gravée (2016) Gravures & estampes par Geneviève Vastrade

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Impression d'une découpe dans un tuyau d'orgue avec encrage à l'encre lithographique. Les tuyaux d'orgue étant en étain, le passage à la presse les déforme et chaque tirage est un monotype. À propos de cette œuvre: Classification, Techniques[...]
Impression d'une découpe dans un tuyau d'orgue avec encrage à l'encre lithographique. Les tuyaux d'orgue étant en étain, le passage à la presse les déforme et chaque tirage est un monotype.

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J’ai exercé mon art sculptural essentiellement sur la pierre pendant des années. Je remporte en 1997 le prix de sculpture monumentale David et Alice Van Buuren sur le thème du Contrepoint (sculpture en[...]

J’ai exercé mon art sculptural essentiellement sur la pierre pendant des années.

Je remporte en 1997 le prix de sculpture monumentale David et Alice Van Buuren sur le thème du Contrepoint (sculpture en grés de Fontenoille) et réalise en 2005 la stèle commémorative de la catastrophe de Ghislenghien (bloc de 5 tonnes en petit granit). C’est un travail physiquement lourd et très « masculin ». Mes sculptures de l’époque sont des stèles, des monolithes. Un critique d’art écrit à propos de l’œuvre qui remporte le prix Van Buuren :

« Fugue en trois temps, découpée dans le grès de Fontenoille, constitue davantage un travail de la matière. Métaphore de la fusion et du rejet des corps. Comme une aspiration un peu désespérée au dialogue, en même temps que le désir de fuir. Là où l’artiste exprime peut-être le mieux le contrepoint, c’est dans la parole qui émane du non-dit. »

Ainsi, à l’époque, isolée du monde sous mon masque, mon casque et ma combinaison de protection, je lutte en permanence avec ce matériau lourd et peu souple, qui me maintient enfermée dans un carcan et une image monolithique…

En 2007, je commence à m’intéresser à la gravure : c’est un tournant pour moi. Je passe de la masse dure et non flexible qu’est la pierre à l’étain, l’aluminium, le papier. J’ajoute, je creuse ou enlève de la matière. J’expérimente la plaque à graver, le papier qui accueillera l’estampe… Je retrouve dans cette technique, comme l’on dirait de Dubuffet : « une spontanéité inventive et une tendresse barbare ». Mes gravures sont toujours des monotypes. Ainsi, je passe d’un art masculin, physiquement pénible, qui nécessite une préparation et une maîtrise des outils, où c’est la pierre qui guide mes mains, à un art plus libre, plus souple et plus fragile où je me laisse surprendre par le résultat chaque fois différent. Un art qui me réconcilie progressivement avec ma féminité.

 Aujourd’hui, j’ai repris les outils de la pierre. Je grave dans la pierre tout ce que mon parcours m’a appris. J’y prends beaucoup de plaisir. Chaque éclat allège la pierre et m’émerveille…

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