Atelier (2009) Photographie par Delechat

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Vendu par Delechat

Certificat d'authenticité inclus
  • Ce travail est une "Open Edition" Photographie, Giclée / Impression numérique
  • Dimensions Plusieurs tailles disponibles
  • Plusieurs supports disponibles (Papier d'art, Impression sur métal, Impression sur toile)
  • Encadrement Encadrement disponible (Caisse américaine + sous verre, Cadre + sous verre acrylique)
Installe-toi. Repose-toi, là, tiens cette table prés de celle-ci, oui ! Celle là ! Ce petit pupitre juste pour deux, celle avec cette fleur déposée dans la bouche d’un grand vase ébréché gueulant tous les parfums de la beauté d’une rose, rose, ou celle-ci prés des bouquets suspendus d’une glycine, entre parme et mauve ou auprès de n’importe qu’elle[...]
Installe-toi. Repose-toi, là, tiens cette table prés de celle-ci, oui ! Celle là ! Ce petit pupitre juste pour deux, celle avec cette fleur déposée dans la bouche d’un grand vase ébréché gueulant tous les parfums de la beauté d’une rose, rose, ou celle-ci prés des bouquets suspendus d’une glycine, entre parme et mauve ou auprès de n’importe qu’elle autre. Ici ou bien là ! Car peu m’importe, je te l’avoue je te retrouverai en nuances.

Tiens celle là près avec ce roman délaissé autre titre colorié me semble idéal !

Cette simple chaise que tu déplaces et replaces, je l’aurai sciemment voulu de bois, pour que par la suite elle s’enflamme. Et je te demanderai si cette assise est assez stable et confortable pour le fondement de ta pensée te précisant que bientôt je renverserai le sol pour te faire toucher le là.

« Chevalets repliés d’avoir trop supporté les toiles inachevées, bouts de chiffons informes jonchant du sol le multicolore, tubes, orphelins des bouchons, éparpillés ça et là dégueulant les belles couleurs séchées du passé, pots d’huile comme des vases logeant les tiges des brosses mortes de ne pas avoir été nettoyées a temps, traits jetés en pitié sur les feuilles pliées puis chiffonnées et oubliées prés des pieds, fragments d’essais punaisés et laissés en proie à la poussière du désert des regards, palettes entassées et superposées regrettant en silence de n’avoir engendrée la beauté des couleurs, enfin le désordre d’une composition bien disposée ; te laisse imaginer le tableau….»

Je suis peintre


Nature Morte

Fleurs fanées dans un bouquet
Rêves oubliés dans une pensée
Rose éclose dans une névrose
Soleils ouverts sur une étendue de prose
Je marche cueillant les termes
Les déposent dans des simples vers
Sur une table de bois
Restant de marbre aux parfums de toi
J’emplis le tout de multi-larmes
Arrangeant les pics comme des armes
Et dresse les feuilles en paravent
Voilà, le bouquet qui est fait
Puis, j’écarte le nauséabond du lieux
et dépose le vase au milieu
Des salles à manger bien rangées et ordonnées.
Debout les pieds sur le plat,
Récitant et piquant,
Les bouquets en voix.
Voilà des parfums.
L’essence.


Je regarde la température : « ?°C ». Vite, me faut allumer mon feu pour la réchauffer et la convier à se dénuder.

Tu sais ici les chiffres ont désertée ce lieu il y a bien longtemps. Ils m’ont quitté, ce sont lassés de ma retenu, c’est vrai, souvent je l’ai mal mené, quand tard les soirs je les manipuler de mon quotient inconscient, je ne pouvais tenir en place loin de l’exception par soif des brillants étincelants, froids lisses et cassants.

Je les ai désappris, plus simplement.

Je broie en « si » une branche oubliée à terre ; à première vue du charme ou de « l’être », je ne sais plus trop, mais peu importe, à ce stade, les fausses notes de ma composition, je me contenterai même, si tu savais, d’un brin de boulot pour des chaînes de cette belle nuit d’ébène, briser l’éclat du peu plié, recopié et bien caché.
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Bonsoir, Je ne sais, si c’est à moi de te répondre, ou à toi ? Dans notre correspondance pour le moins décousue. Mais bon ! Je brise le silence et tente l’aperçu dans ses éclats. 22:47:[...]

Bonsoir,

Je ne sais, si c’est à moi de te répondre, ou à toi ? Dans notre correspondance pour le moins décousue. Mais bon ! Je brise le silence et tente l’aperçu dans ses éclats.

22:47: et quelques autre poussières, ce que nous sommes en somme.

Je suis dans mon atelier, j’imagine ! T’imagines ? Non tu ne peux imaginer mon univers, j’suis bête ! Nous nous connaissons si peu. Déjà c’est peut-être beau… Au vu des apparences, cela doit être à moi de te parler.

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