Félix Aberasturi

Note journal

(traduction)
Espaces de la mémoire
- Premier exposition a Mar del Plata ?
- Oui, c’est ma première dans ma ville natale, et c’est une démarche assez forte puisque c’est une manière de revenir vers mes racines.
- Vous revenez avec une série qui possède un forte leiv-motiv…
- Je crois ! Mundos Privados est née de l’idée de travailler sur les espaces intimes que nous avons tous dans nos mémoires, où nous gardons ces images que nous ont marquées. C’est un sujet profond que visent les sentiments, la sensibilité.
- Pourquoi il n’y a pas de gent dans vos tableaux ?
- La présence des humains est implicite à travers les chaises vides…récurrentes dans toute l’œuvre. La position de ces chaises se prête à l’interprétation de chaque un. Il y a en tout sa une certaine mélancolie, puisque on parle des souvenirs, des images du passé…La mémoire c’est un lieu où on revient toujours…