Bernard De Souzy
Bernard de Souzy fait ses études supérieures à J.B. Say à Paris – Formation technique Arts et Métiers. Dans les années 1982-1983 il réalise, en tant que sculpteur, son premier succès mondial avec le Lampadaire aux serpents ; cette pièce fût achetée par plus de 50 musées de par le monde.
En 1996 Bernard de Souzy rejoint le Conseil Supérieur des arts plastiques de l’UNESCO, sous la présidence de M. Sotto Major. Il réalise les portraits - en peinture et sculpture - de plusieurs hommes d'État. Parmi eux figurent le buste du chancelier Helmut Kohl, réalisé pour la Chancellerie du RFA, le buste de Bill Clinton, réalisé pour National Art Gallery à Washington, le buste et le portrait du Président Chirac, réalisé pour le Musée de la Présidence de la République Française. Il a réalisé aussi les portraits en peinture et sculpture de nombreux artistes et personnalités comme Gérard Depardieu, Francis Huster, Enzo Ferrari et Michaël Schumacher.
En 1997, Bernard de Souzy est élu Académicien des Arts et Lettres de Russie.
Il est l'initiateur d'un style qu'il intitule Subjectivisme.
Bernard de Souzy est un grand amateur de musique, ceci traduit par les multiples musiciens qu'il eut peint. Toutes ces peintures sont concentrées dans son livre Art Rocks .
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Biografía
Bernard de Souzy fait ses études supérieures à J.B. Say à Paris – Formation technique Arts et Métiers. Dans les années 1982-1983 il réalise, en tant que sculpteur, son premier succès mondial avec le Lampadaire aux serpents ; cette pièce fût achetée par plus de 50 musées de par le monde.
En 1996 Bernard de Souzy rejoint le Conseil Supérieur des arts plastiques de l’UNESCO, sous la présidence de M. Sotto Major. Il réalise les portraits - en peinture et sculpture - de plusieurs hommes d'État. Parmi eux figurent le buste du chancelier Helmut Kohl, réalisé pour la Chancellerie du RFA, le buste de Bill Clinton, réalisé pour National Art Gallery à Washington, le buste et le portrait du Président Chirac, réalisé pour le Musée de la Présidence de la République Française. Il a réalisé aussi les portraits en peinture et sculpture de nombreux artistes et personnalités comme Gérard Depardieu, Francis Huster, Enzo Ferrari et Michaël Schumacher.
En 1997, Bernard de Souzy est élu Académicien des Arts et Lettres de Russie.
Il est l'initiateur d'un style qu'il intitule Subjectivisme.
Bernard de Souzy est un grand amateur de musique, ceci traduit par les multiples musiciens qu'il eut peint. Toutes ces peintures sont concentrées dans son livre Art Rocks .
- Nacionalidad: FRANCIA
- Fecha de nacimiento : 1945
- Dominios artísticos:
- Grupos: Artistas Franceses Contemporáneos
Influencias
Formación
Cotización de artista certificada
Logros
Actividad en Artmajeur
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Pourquoi le Subjectivisme
Bernard de Souzy, créateur du Subjectivisme.
Le Subjectivisme est ma réponse à l'art actuel face au pouvoir dissolvant du conceptuel.
Dans l'Art, il y a le rationnel et l'irrationnel, qui est subjectif. Le Subjectivisme, c'est cet aspect intimiste, c'est une empreinte faite d'observation, d'imaginaire, d'assemblages, qui forment un tout en perpétuel mouvement, Mes tableaux sont en mouvement.
Quand le Bon Dieu t'a fait don de la capacité de t'exprimer dans un art, tu es condamné à aller au bout de ce que tu as a dire. Mon message artistique et subjectiviste est un message d'optimisme, de réflexion, de recueillement, à l'égard de ceux qui vont regarder er "recevoir" cette peinture.
Le Subjectivisme est pour moi une écriture nouvelle, qui me donne une joie et une excitation terribles, une nouvelle naissance, un bonheur constant. Les spectateurs eux aussi seront enclins à porter eux aussi sur cette peinture un regard nouveau. Certains aimeront, d'autres n'y comprendront rien. Mais je ne crois pas que ça puisse laisser indiffèrent.
Cette forme d'écriture s'est imposé a moi au fil des années, sans que je fasse de recherches. C'est une inspiration permanente, obsessionnelle, presque un esclavage. J'essaie que ma peinture soit constamment l'éloge et l'apologie de la vie et de l'être humain. Pour cette raison je hais le cynisme.
Mon art, le Subjectivisme
J'ai vécu seul, longtemps, des années, plus de vingt ans.Pendant tout ce temps, j'ai habité dans ma tête et surtout dans mon atelier de Saint-Ouen oû j'ai passé le "clair de mon temps".
C'est là qu'a vraiment commencé mon histoire.
Je venais d'avoir 40 ans, je venais d'abandonner mon activité d'antiquaire, mon associé était décédé brutalement, et malgré nos antagonismes, sa mort avait agi sur moi, comme un déclic.
Ma voix intérieure me disait "ce monde du commerce et des affaires n'est pas le tien, donne ta vie à l'art..."
Je ne l'ai pas donnée tout de suite (ma vie)...il me fallait vivre, payer les dettes d'une faillite désastreuse, règler les inextricables questions de la disparition de mon partenaire, et surtout règler les dettes fiscales et les impôts himalayens que me réclamait le fisc.
J'ai dons repris mon métier, mais en y réservant une large place à mes créations.
Très rapidement, j'ai mis en oeuvre quelques projetsqui étaient restés en l'air, mais dont j'avais réalisé les dessins.
J'ai toujours dessiné et peint tout ce que je voyais.Mais d'un coup, j'avais le sentiment que je pourrais matérialiser les projections de mon esprit.
J'ai toujours aimé les meubles, les anciens, mais surtout ceux des créateurs, les pièces originales, osées, extravagantes même.
De plus, j'ai depuis mon plus jeune âge, une passion pour les luminaires.
J' allais enfin pouvoir m'exprimer, dans un département décoration qui sans que le prévoie, allait devenir mon domaine de prédilection, mais aussi un formidable terrain d'expérience.
J'avais acquis une petite échoppe au marché aux puces de Saint-Ouen, placée dans la rue principale.
Avec ses 200.0000 visiteurs mensuels, l'endroit me semblait idéal pour une étude de marché et surtout pour connaître les réactions des clients potentiels.
En quelques mois, j'avais remonté la pente de manière telle, que mes créations s'arrachaient.Je ne fournissais pas suffisamment.
Mon produit phare était le lampadaire aux serpents que je vendis dans le monde entier à plus de 2000 exemplaires, sans jamais avoir fait un centime de publicité!
Il me sembla alors que le temps était venu de tirer le rideau et de vivre ma passion:l'art.
Ce que je fis.
Il faut être "fou" pour devenir artiste, disait souvent Scharpnel, il ajoutait ensuite, "à moins d'être un génie....et encore"....
Fort de cette maxime que je ne contredirais pas, je me suis empressé d'installer un atelier de sculpture au rez-de-chaussée de l'immeuble de St-Ouen.La pièce est vaste, je me suis entouré d'un assistant roumain, rencontré à Bucarest, sur les traces de Brancusi, dans l'enceinte de l'Union des Artistes, organisme d'état en pleine déconfiture, après la chute du régime Ceaucescu.
Mon nouveau collaborateur se nomme Laurent, il grand, fort physiquement, fraichement diplômé comme professeur de sculpture, son avenir en Roumanie représente à peine un salaire de 100 dollars par mois....
Il n'hésite pas plus de 24 heures pour me rejoindre à Paris et va rapidement devenir indispensble pour moi.
J'ai toujours eu beaucoup d'admiration pour le sculpteur animalier Bugatti.Et puis son histoire se rattache à celle de mon arrière grand'père qui habitait rue d'Amsterdam et qui lui offrit l'hospitalité.Son fils Pierre, mon grand'père, habitait les Invalides, à côté de chez Auguste Rodin, les deux hommes se connaissaient.Mon aïeul ne manquait jamais les expositions parisiennes du maître.
Chez ma grand'mère, sur la commode de sa chambre, se trouvait un bronze du "Penseur" qui n'en finissait pas de penser...
J'étais fasciné par le sujet tant il semblait vivant, prêt à se lever...mais pensait toujours.
Que pensa-t-il quand il vit ma grand'mère Blanche, allongée sur son lit de mort...
Il ne pensa plus bien longtemps, tout au moins, là oû il était, puisqu'il rejoignit une vente aux enchères de l'hôtel Drouot et s'en alla penser ailleurs...c'est hélas souvent le destin des oeuvres d'art, et c'est finalement peut-être mieux ainsi.
La sculpture de Rodin fût dispersée en même temps qu'une autruche de Bugatti qui s'en alla chez un anonyme amateur..
Ces deux oeuvres qui du vivant ne ma grand'mère semblaient n'intéresser que deux personnes, elle et moi, venaient de subir un rejet collégial des héritiers.J'avais 25 ans et les goûts et appréciations paternels pesaient encore lourd sur mon esprit.
Tout ce qui n'était pas du 18 ème siècle, n'avait aux yeux de mon père, aucun intérêt...alors..la réponse arrivait d'elle-même.M'interposer eût été une offense, mieux, une faute de goût qui m'aurait ridiculisé.Je n'ai pas osé m'interposer pour que l'on conserve ces deux oeuvres.
A toute chose malheur est bon!
C'est la nostalgie qui me projetait dès lors, dans le monde de la sculpture.
Mes oeuvres premières furent d'abord animalières.
J'avais longuement vécu en Afrique centrale, fait de nombreux safaris qui m'avaient permis d'observer de près les animaux dans le monde sauvage.
Il me semblait naturel de les représenter en liberté, dans le réalisme de la nature.
C'est ainsi que je sculptai d'innombrables fauves, panthères, lions et éléphants...pour bifurquer vers la représentation humaine et le portrait.
Il me semblait, et il me semble toujours que cette discipline est de loin, la plus difficile à intégrer.
Mais les difficultés m'ont toujouirs stimulé! J'aime et j'ai toujours aimé relever des défis.J'étais armé d'une puissante volonté, mais aussi d'une technique longuement éprouvée.
Laurent estimait que depuis presque trois ans qu'il travaillait avec moi, il devait évoluer.Nous nous quittâmes bons amis.Je retrouvais la solitude l'atelier, solitude qui allait devenir ma compagne de chaque jour.
Dans l'atelier, je n'étais pas vraiment seul, mes sculptures étaient là pour me tenir compagnie!
En cinq ans, j'avais réalisé plus de 52 portraits, tous acceptés, des chefs d'états, des sportifs, des stars et des anonymes aussi.
J'avais acquis un style, un toucher de la matière qui se distinguait nettement de ce que pouvais voir dans les galeries d'art.
Je ne parvenais pas à m'intégrer ni à me sentir à l'aise dans le conceptuel.
J'aurais pu en me forçant,...mais j'y aurais perdu mon âme, ma liberté aussi!
Il est vrai que je vivais enclacmuré dans mon atelier, atelier dans lequel, aucun autre artiste n'est jamais rentré.A part mon vieux copain Michel Kiriliuk, sculpteur d'origine polonaise, pour qui j'ai beaucoup d'admiration et d'amitiés.
Mon monde était donc clos, il l'est toujours.Une nouvelle bifurcation allait m'emporter.
Je revenais brutalement au dessin, à l'aquarelle, puis à l'huile, aux toiles, aux pinceaux, à la couleur, aux couleurs de la vie et surtout à celles que j'inventais avec frénésie et passion, autour des portraits de "ceux du siècle".
Pourquoi autant de portraits?
Et bien parce que l'Homme est à l'origine de tout, il me semblait normal de lui créer un sanctuaire.
J'avais compris depuis longtemps que si la ressemblance physique était certes indispensable, cela ne suffisait pas.
Pour moi, le portrait doit aller bien au delà.Sur le mur de mon atelier, j'ai écrit au feutre "l'essentiel est invisible à l'oeil".
Il me fallait aller plus loin, c'est l'âme-même du sujet que je voulais voir apparaître, dans sa subjectivité.
Qu'avais-je dit là? sa subjectivité? ....mais oui, l'âme est un élément métaphysique qui touche à la plus sensible et la plus immense subjectivité.
C'est ainsi que le "Subjectivisme" c'est imposé à moi, naturellement, normalement, logiquement.
Il n'est pas de véritable artiste sans spiritualité.
Cette spiritualité devait s'exprimer, la tâche était et est toujours immense et si les yeux sont les fenêtres de l'âme, c'est en les fermant que je rêve mes tableaux, en les clignant que je sais si un détail correspond à la projection de mon esprit.
Il me faut quitter l'oeuvre un bref instant, pour n'en distinguer que les contours vagues, pour ensuite la découvrir globalement et en redécouvrir la signification kaléidoscopique, pour donner un sens.Trans mettre mon émotion propre.
Quelque chose d'indicible, de magique, d'inexplicable, se produit à un moment donné, une sorte de frénésie calme, d'entousiasme intérieur me gagne, l'oeuvre apparait comme dans mon rêve et parfois mieux encore.Je ne peux expliquer vraiment techniquement, ce que font mes mains, ni pourquoi je mélange telle ou telle couleur pour obtenir ce que je visualise mentalement.
Dans ces moments, je suis incapable de penser, mes gestes sont quasiment inconscients, mamain est comme guidée par une force, une impulsion merveilleuse qui me poursuivra jusqu'à l'épuisement.
J'ai ainsi peint 400 portraits de hommes et des femmes qui marquèrent notre siècle.
L'histoire de notre époque en quelques tableaux!