Lumière I (2022) Sculpture par Emmanuel Brocart

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Vendu par Emmanuel Brocart

Lumière I Mosaïque, marbre, céramique, plâtre, pâte de verres et métal. Un éclat vif et sec qui me saisit en une seconde, une nappe blanche et chaleureuse qui inonde le ciel, un signe réconfortant que la terre tourne et que je suis bien en vie; la lumière du sud. Insaisissable sinon au moyen de l’aquarelle ou du crayon de[...]
Lumière I

Mosaïque, marbre, céramique, plâtre, pâte de verres et métal.

Un éclat vif et sec qui me saisit en une seconde, une nappe blanche et chaleureuse qui inonde le ciel, un signe réconfortant que la terre tourne et que je suis bien en vie; la lumière du sud. Insaisissable sinon au moyen de l’aquarelle ou du crayon de couleur, je tente d’en ramener quelques reflets dans mes carnets de croquis. Un album de couleur qui viendra colorer le triste avril Parisien.

Fenêtre ouverte sur ce sud regretté et cette mer vivifiante,
Lumière I est une invitation à la contemplation. Celle du mystère de notre vie autant que celle du mystère de notre condition mortelle. L’homme regarde la mer ou regarder le ciel et dans cette confrontation de la beauté de la création il s’interroge, il médite, il prie, enfin il vit.


Emmanuel Brocart 2022

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Originaire de Bordeaux, ayant suivi une formation Graphique à Bordeaux, il est diplômé des Arts-Décoratifs ou il se spécialise en "Image imprimée". Il vend des tirages et des travaux originaux[...]

Originaire de Bordeaux, ayant suivi une formation Graphique à Bordeaux, il est diplômé des Arts-Décoratifs ou il se spécialise en "Image imprimée".

Il vend des tirages et des travaux originaux depuis 2018

Dernières Expositions

-Juin 2023, Maison CHÉRET Paris

-Mars 2023, La trinité, Paris

Dernière séries:

KINTSUGI

« L’art est une blessure qui devient lumière »

Comment l’expérience de l’art peut être dans le même temps un lieu de mort et un lieu de vie? Comment un coeur animé par la folie des intuitions créatrices peut-il être le lieu du chevauchement entre la damnation et la miséricorde. 

Kinstugi, est le choix résolu de la miséricorde. Le choix de l’art qui soigne, du crayon qui unifie, de la plume qui corrige et du pinceau qui réconcilie. C’est le choix de la vie au détriment de la perte. Le choix de l’espérance qui surgit dans la tristesse. Dans l’obscurité à jaillit une grande lumière.

Le Kintsugi, plus qu’un artisanat, désigne une sagesse. Un art de la résilience et de la réparation. Un art de la cicatrice qui n’exprime pas une blessure, mais qui s’exhibe fièrement comme la marque d’un combat dont on est sorti victorieux.

Oscillation esthétique, intégralement produite au long d’un processus de cicatrisation, les travaux exposés illustrent les étapes de la réparation d’un corps et d’un coeur fragilisé. Colère et joie, humour et cynisme, souffrance et lumière se donnent la réplique et dressent ainsi un dialogue profondément humain. Un dialogue qui tend à décrire l’existence préservée de l’exceptionnelle, qui s’abandonne à la passion tout en la niant. Un dialogue convenu et pourtant imprévisible, un dialogue qui apprend de la fragilité et qui la considère, l’apprivoise et l’accepte. 

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