GAÏA 16 (2007) Peinture par Elric Miault

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Vendu par Elric Miault

  • Œuvre d'art originale (One Of A Kind) Peinture, Pigments / Laque / Encre / Huile sur Toile de lin
  • Dimensions Hauteur 51,2in, Largeur 38,2in
  • État de l'œuvre L'oeuvre est en parfait état
  • Encadrement Cette oeuvre n'est pas encadrée
  • Catégories Abstrait Abstrait
À propos de cette œuvre: Classification, Techniques & Styles Pigments Peinture réalisée à l’aide de poudre colorée mise en suspension dans un liant liquide[...]
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Né en 1977, Elric Miault passe son enfance en Guyane française, en Nouvelle Calédonie et à Tahiti. A dix-neuf ans, Elric décide de franchir l’Atlantique. Il élit alors domicile à Greenwich Village, New York,[...]

Né en 1977, Elric Miault passe son enfance en Guyane française, en Nouvelle Calédonie et à Tahiti. A dix-neuf ans, Elric décide de franchir l’Atlantique. Il élit alors domicile à Greenwich Village, New York, où il s’adonne à ses passions : l’écriture et le dessin. C’est à cette époque qu’il peint sa première série de tableaux. Celle-ci est présentée quelques mois plus tard lors d’une « business party » à Rhodes Island et remporte un vif succès : l’intégralité des œuvres est vendue. Ce sera une expérience décisive pour le jeune Elric. Peu après, il expose quatorze toiles à la « Revel Gallery » de Soho, confirmant ainsi sa vocation. 

Sa voie professionnelle désormais tracée, Elric Miault regagne le vieux continent en 1997. Installé en France, le jeune artiste a alors l’idée de mêler à sa technique picturale des feuilles d’or et des feuilles d’argent, dans la plus noble tradition. A l’avenir, son style ne se départira pas de l’usage de ces métaux précieux, le cuivre et le bronze venant simplement en élargir l’éventail. La même année est également marquée par des voyages initiatiques. Le Maroc d’abord, où Elric Miault apprend l’usage des pigments au centre des tisserands de Sefrou, puis le Japon, où il s’initie au maniement de la laque urushi. C’est alors que s’établit en son style l’influence majeure des couleurs et des métaux précieux. Fin 2007, à l'occasion d'une exposition à Casablanca, son tableau « Djiins » devient la propriété du Musée de Marrakech. Madrid sera ensuite son port d'attache un an durant.

Etabli définitivement en France, l’artiste passera tout de même quatre mois à Rome, la ville éternelle, et s’y imprègnera de sa longue histoire de l’Art. A la même époque, ses œuvres s’exportent à Stockholm où elles sont présentées à la galerie Gunnrummet. Pendant cette période parisienne, l’artiste fait don de son œuvre intitulée « La Prière » à la Fondation Adolphe de Rothschild au printemps 2007. Le 4 mai de la même année, le Musée du Vatican se porte acquéreur du tableau intitulé « La Rose ». Elric Miault devient ainsi le seul artiste vivant à voir son œuvre exposée dans le prestigieux Musée de la Cité vaticane. Le 15 juin, c’est le Musée de la Légion d’honneur et des Ordres de Chevalerie qui, soucieux de moderniser sa collection, choisit le tableau « L’Aiglon ».

Elric Miault et sa famille partagent leur temps entre leur demeure du Vexin et les rivages océaniques, offrant à l’artiste l’espace et la tranquillité que réclament son inspiration et sa maturité. Entouré de l’amour des siens, l’artiste poursuit avec sérénité ses recherches picturales. Depuis 2009, il a exposé en France, notamment au Grand Palais, à l’Espace Pierre Cardin ainsi qu’au Carrousel du Louvre avec la Société Nationale des Beaux-Arts, mais également à Bruxelles et à Tel Aviv. 

Vingt cinq ans après les débuts de l’artiste, les œuvres d’Elric Miault sont présentes dans nombre de collections privées internationales et Musées.

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