Qui va se payer la Vénus ? (2018) Sculptuur door Edwige Col

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Verkocht door Edwige Col

  • Origineel Kunstwerk Sculptuur, Hars
  • Dimensies Hoogte 16,9in, Breedte 5,9in / 3.00 kg
  • Geschikt voor buiten? Nee, Dit kunstwerk kan niet buiten worden getoond
  • Categorieën Conceptuele Kunst
Depuis sa découverte sur l’île de Mélos en 1820, cette effigie divine fascine par sa grâce et par le mystère qui entoure son interprétation. Faut-il y reconnaître Aphrodite, souvent figurée à demi nue, ou Amphitrite, déesse de la mer vénérée à Milo ? L’œuvre reflète les recherches des sculpteurs à la fin de l’époque hellénistique : pétrie de références[...]
Depuis sa découverte sur l’île de Mélos en 1820, cette effigie divine fascine par sa grâce et par le mystère qui entoure son interprétation. Faut-il y reconnaître Aphrodite, souvent figurée à demi nue, ou Amphitrite, déesse de la mer vénérée à Milo ? L’œuvre reflète les recherches des sculpteurs à la fin de l’époque hellénistique : pétrie de références classiques, elle innove par sa composition hélicoïdale, par l’insertion de la figure dans l’espace et le glissement du drapé sur les hanches.
Découverte d'un chef-d'œuvre mutilé
La Vénus de Milo est découverte en 1820 à Mélos (Milo en grec moderne), une île du sud-ouest des Cyclades. Le marquis de Rivière en fait hommage à Louis XVIII, qui l’offre au Louvre l’année suivante. L’œuvre jouit dès lors d’une grande notoriété. Principalement constituée de deux blocs de marbre, la statue est réalisée en plusieurs parties travaillées séparément et reliées par des scellements verticaux (buste, jambes, bras et pied gauches), selon la technique des pièces rapportées. Ce procédé est assez répandu dans le monde grec, en particulier dans les Cyclades où l’œuvre a été créée vers 100 av. J.-C. Les bras n’ont jamais été retrouvés. La déesse était parée de bijoux en métal dont ne subsistent que les trous de fixation : un bracelet, des boucles d’oreilles et un bandeau dans les cheveux. Une polychromie aujourd’hui disparue rehaussait peut-être le marbre.
Le mystère d'une déesse sans nom ni attribut
La déesse est nimbée de mystère, son attitude toujours aussi énigmatique. Les lacunes du marbre et l’absence d’attribut rendent difficiles la restitution générale de la statue et son identification. Aussi a-t-elle été imaginée dans les attitudes les plus variées : appuyée contre un pilier, accoudée à l’épaule d’Arès ou tenant divers attributs. Selon qu’elle portait un arc ou une amphore, elle était Artémis ou une Danaïde. Beaucoup s’accordent à y reconnaître une effigie d’Aphrodite en raison de la semi-nudité de la figure, de la féminité de sa silhouette onduleuse et de la sensualité de ses formes. Elle tenait peut-être une pomme - allusion au jugement de Pâris -, une couronne, un miroir ou un bouclier dans lequel elle contemplait son reflet. Mais il pourrait s’agir aussi d’Amphitrite, déesse de la mer, vénérée dans l’île de Milo.
Une création hellénistique : héritage classique et innovations
La statue a parfois été considérée comme une réplique librement inspirée d’un original de la fin du IVe siècle av. J.-C., du fait de sa parenté avec l’Aphrodite de Capoue (Musée archéologique de Naples), une copie romaine d’un type statuaire analogue. La Vénus de Milo renoue en effet avec la tradition classique, mais apparaît plutôt comme une recréation classicisante de la fin du IIe siècle av. J.-C. Sa physionomie altière, l’harmonie des traits du visage, son impassibilité, sont empreintes de l’esthétique du Ve siècle av. J.-C. ; la coiffure et la délicatesse du modelé des chairs évoquent les créations de Praxitèle, sculpteur du IVe siècle av. J.-C. L’œuvre reflète cependant les innovations apparues durant la période hellénistique, entre le IIIe et le Ier siècle avant notre ère. La composition hélicoïdale, l’insertion de la figure dans un espace tridimensionnel et l’allongement du torse à la poitrine menue sont caractéristiques de cette époque. La déesse est saisie dans l’instantané, le glissement du vêtement sur les hanches provoquant le serrement des jambes. La nudité contraste avec les effets d’ombre et de lumière du drapé profondément fouillé.

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Edwige Col est une « Singul’artist » française née dans le centre-ouest de l’Hexagone. Elle réside en France et a bâti sa notoriété sur son art très singulier qui ne fait parti d’aucun courant connu. Sa passion[...]

Edwige Col est une « Singul’artist » française née dans le centre-ouest de l’Hexagone. Elle réside en France et a bâti sa notoriété sur son art très singulier qui ne fait parti d’aucun courant connu. Sa passion pour les couleurs et l’aura de la pop’culture remonte à ses débuts d’adolescence lorsqu’elle dessine sur des tee-shirts et peint des toiles pour des vitrines commerciales. Son inspiration est issue du lifestyle qui l’accompagne. Depuis toujours elle exprime la liberté de vivre, l’expression spontanée et même une sorte de rébellion. C’est dans sa vingtaine, au retour d’un voyage sur le continent américain qu’elle se prend de plus en plus au jeu du pop art et street art. Elle s’inspire de Andy Wahrol et Jean Michel Basquiat et toujours de la jeunesse californienne qui passe ses journées au soleil à surfer, faire du skate en bikini et danser sur de la musique punk le soir venu. C’est dans le brassage culturel et les contre-cultures qu’elle puise son inspiration. Toujours à la recherche de la liberté la plus fondamentale, elle explore dans chacune de ses œuvres les limites entre le visible et l’invisible. Elle glisse de l’un à l’autre tel que le glisseur urbain le fait sur le béton. Elle partage ses valeurs d’audace, de créativité mais aussi de ludisme dans chacune de ses œuvres. Sa genèse est son art propre, qui nous surprend toujours même là où on ne l’attend pas.
Le travail de Edwige Col est visible sur son site et en Europe, il a fait l’objet d’exposition solo à la galerie LEOG qui est sédentaire et itinérante. Elle est publiée dans de nombreuses revues et est présente chez de nombreux collectionneurs.

De kunstenaar werd uitgelicht in een artikel in Artmajeur Magazine:

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