Dani Zouhir

• Je vais parler de mon parcours dans la peinture,Simplement.comme si je vous racontais mes derieres vacances.
Je n’ignore pas que le discours est nécessaire à la compréhension de la demarche artistique ;je ne rejette pas,mais il déposséde parfois,de la vèritè.Ma passion a besoin de mots simples de chacun. 
Le ton de la confidence vous permettra de m’entendre au plus prés,et nous partagerons une identiteé retrouvé.On y a ?Alors,imaginer une fin de journeé sur une plage de maroc…. nos pas ralentis par le sable.plus loin,la maison blanche à sidi benaissa de meknes sous les maives bougainvillers qui croulent de toute part! Quand nous arrivons,nous boirons un thé sur la terrasse.le soire s’installer et notre prau satureé de soleil,respira enfin.
Alors,marchons….J’ai toujours dessineé ou.presque J’avais deus ans et demi quand J’ais commis mon premier chef.d’oeuve,(un bol de café avec de la fumée.qui son échappe) en perspective.
Toute la famille s’en etonna….je devais dire (comenta bruyamment) (n’oubliens pas les origines mediterrannées .et le maroc pour écrin.vous imaginez !)mais nous y reviendrons … à douze ans. j’ai commencé à peindre à l’huile.jusque-là.je n’avais fais que des gouches sur des grands panneaux de bois .ce support me désepérait parce que j’étais.obligé de passer à n’en plus finir .des couches de ces couleure à l’eau pour obtenir l’échat souhaité.j’ignorais tout des enduits préables qui rendent le bois impermeable et lisse. je me demandais rien à personne et chacun savait que je détaistais etre dérange dans ma solitude créative. je n’ai pas changé d’un iota !.
C’est ainsi qu’après quelques années à peindre la sorte.tout devient plus aisé quand .à douze ans.un de le frère de ma mère à donner un cadeau des livre pour étudier la peintur.et une boite de peinture à l’huile avec pinceaux et méduins.sur des tubes bien alignés s’etalaient des moms à rever :vert véronèze.bleude cobalt.ocre jaune.violet de mars … 
Ce fut ma première jouissance.et me tourbillm de la création m’emparta.je ne me couchais plus jamais avant minuit ou une heure du matin .et ma maman me laissaient veiller.c’était extrordinaire de peindre conxience de mes possibilités !je m’exaltais de me voir tracer des traitjustes.de réussir des mélages de couleurs .d’oser la nudité ;je me peignais que des corps de femmes nues et des compositions romanesque.champetres ou paysannes .à la manière des frères le nain.comme je le découvrais plus tard .tout me paraissait futile à coté de ces silances mocturnes.face à moi-meme. 
Le matin je partais ou l’école.encore incendié du bonheur d’avoir peint presque tout la nuit .tout le reste n’était que brouillard.à cette époque .j’acheter un dictionnaire et je découvers sur une des pages illustrées de ce
larousse.que je conserve précieusement .les tableaux qui allaient bouleverser ma vie (la jocande)! allez savoire pourquoi.cette
dernière m’emballa au point d’on commencer une série de copies.
Des lars.je me pris pour la reincarnation de léonard de vinci jusque’à lui vouer un veritable culté.cher leonard.c’est avec vous en filigrane et avec votre mona que j’ai tout appris…….je peux dire que vous avez été mes premiers amis.du sfumato auxcontrastes.subtis.des clains obscurs à l’ambiguite des sourires.tout y est passé ! c’est vraiment comme ça que j’ai fait mon apprentissage en peinture.
Alors que je bouillais d’émergie.je restais secret et promenais sur le monde un regard désenchante ,Rien ne semblait aller assez vite .tout me paraissait vieux.dépassé.revolu.je voulais des terres nouvelles .des mots avant-gardistes, des amours inédits.j’attendais l’exeption.
.Je ne marcheplus.je ne courais plus
. Je ne mangeais plus.je n’avalais plus
.Je ne savais que partirais.que je serais celui-là .je n’avais aucune patience. 
Je vivais dans l’incompréhension de tous .fuyant les amis de mon age qui ne pouvaient rien m’offrire de plus que ce que m’apportait ma passion dévorante.

vous trovez que ça se trouve dans ces partrais immense que je peins ?
Eh oui .c’est vrai …je n’avais pas fait le rapprochement.
Enfance heureuse .douce.parfumé comme le maroc.
Ce pays et un visage !celui que je préfère .mes amies .mes frères arabes…vos sourires 
Dani zouhair