Vue de l'intérieur du Colisée (1816) Pittura da Christoffer Wilhelm Eckersberg

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  • Opera d'arte originale Pittura, Olio
  • Dimensioni Altezza 11,5in, Larghezza 10,1in
  • Incorniciatura Questa opera d'arte non è incorniciata
  • Categorie Classicismo Monumento
La peinture "Vue de l'intérieur du Colisée" de Christoffer Wilhelm Eckersberg offre une représentation fascinante et détaillée de l'intérieur du célèbre amphithéâtre romain. L'œuvre capture non seulement l'architecture impressionnante du Colisée mais aussi une scène de vie quotidienne qui semble se dérouler au sein de[...]
La peinture "Vue de l'intérieur du Colisée" de Christoffer Wilhelm Eckersberg offre une représentation fascinante et détaillée de l'intérieur du célèbre amphithéâtre romain. L'œuvre capture non seulement l'architecture impressionnante du Colisée mais aussi une scène de vie quotidienne qui semble se dérouler au sein de ses murs historiques.

Eckersberg utilise une perspective soigneusement choisie pour diriger le regard du spectateur à travers les ruines majestueuses. Les arches et les structures partiellement érodées du Colisée se dressent en arrière-plan, témoignant de la grandeur passée de l'édifice tout en fournissant un aperçu de sa décadence au fil du temps.

Au premier plan, la scène est animée par un groupe de personnes engagées dans différentes activités. Certains paraissent impliqués dans une procession religieuse, marquée par la présence de croix et d'individus en prière, tandis que d'autres observent ou participent à l'événement. Cette inclusion de figures humaines donne une dimension vivante à la peinture, reliant le passé glorieux du Colisée à son usage contemporain et à son importance culturelle à l'époque d'Eckersberg.

La lumière joue un rôle crucial dans cette composition, avec des rayons qui semblent filtrer à travers les ouvertures du Colisée, mettant en valeur la texture des pierres anciennes et créant un contraste entre les zones éclairées et les ombres. Cette gestion de la lumière accentue la profondeur spatiale de la scène et enrichit l'atmosphère de la peinture.

Les détails architecturaux sont rendus avec précision, permettant au spectateur d'apprécier la complexité et la beauté de la structure du Colisée. L'attention portée à la représentation des plantes et des arbustes qui poussent parmi les ruines ajoute une touche de vitalité et souligne la capacité de la nature à reprendre ses droits sur les constructions humaines.

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Christoffer Wilhelm Eckersberg était un peintre danois. Il est né le 2 janvier 1783 et est décédé le 22 juillet 1853. Il est né dans la région danoise du sud du Jutland, dans la ville de Blkrog. Il a ensuite[...]

Christoffer Wilhelm Eckersberg était un peintre danois. Il est né le 2 janvier 1783 et est décédé le 22 juillet 1853. Il est né dans la région danoise du sud du Jutland, dans la ville de Blkrog. Il a ensuite préparé le terrain pour l’âge d’or de la peinture danoise. Il est connu comme le « Père de la peinture danoise » parce qu’il a fait cela.Il avait hâte de voyager, non seulement parce qu'il voulait améliorer son art et en apprendre davantage, mais aussi parce qu'il voulait échapper à la réalité de son mariage. Il a trouvé d’autres moyens d’obtenir l’argent dont il avait besoin pour voyager. Quelques jours après le mariage, le 3 juillet, Eckersberg quitta le pays pour voyager. Il se rend à Paris avec l'écrivain, amateur d'art et bailleur de fonds Tnnes Christian Bruun de Neergaard. Ils sont passés par l'Allemagne. De 1811 à 1812, il y apprend auprès du néoclassique Jacques-Louis David.Après deux ans, il se rend à Florence puis à Rome. De 1813 à 1816, il y étudie. Il a travaillé pour améliorer sa peinture sur l'histoire et il aimait peindre de petites études sur la population et les lieux locaux. Il y vécut trois ans avec un groupe d'artistes dirigé par Bertel Thorvaldsen, responsable de la culture.Pendant qu'il était à l'étranger, il a divorcé de Hyssing. Le 2 août 1816, il retourna au Danemark.Peu de temps après son retour au Danemark, Eckersberg l'a fait entrer à l'Académie et lui a offert un tableau intitulé « La mort de Baldur », basé sur une légende nordique. Il épousa Elisabeth Cathrine Julie Juel, fille du portraitiste et professeur à l'Académie Jens Juel, le 8 février 1817. Avant sa mort en 1827, ils eurent deux garçons et quatre filles.En octobre 1817, il fut accepté comme membre de l'Académie. En 1818, il y fut nommé professeur, remplaçant ainsi la place laissée par la mort de Nikolaj Abraham Abildgaard en 1809. L'Académie attendait pour occuper ce poste jusqu'au retour d'Eckersberg de ses voyages d'étudiants. Ils l'ont fait pendant que Christian Faedder Hyer, un élève d'Abildgaard, Christian Gotlieb Kratzenstein-Stub et J. L. Lund tentaient d'obtenir le même emploi. En fin de compte, l'Académie a confié le poste non seulement à Eckersberg, mais également à Lund.En 1828, un an après la mort de son épouse Elisabeth, il épouse sa sœur Susanne Henriette Emilie Juel. Ils ont eu plusieurs enfants ensemble.De 1827 à 1829, il fut responsable de l'Académie. Plus tard dans sa vie, il ne voyait plus assez bien pour peindre et dut donc arrêter. Il mourut du choléra le 22 juillet 1853 à Copenhague. C'était pendant la Grande Épidémie. Il repose au cimetière Assistens de Copenhague.

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