Don't call me Junior !!! (2024) 绘画 由 Christian Girault

Indiana Jones, héros ringard ? C’est ce que bien des critiques de cinéma pensaient avant la sortie du premier opus, « Les aventuriers de l’Arche perdue » : un personnage des années 1930, qui parcourt frénétiquement le monde, jamais cela n’aura le moindre succès à l’aube des années 1980. Qu’importe, George Lucas a crée le personnage, scénarise sa vie avec Philip Kaufman. Et c’est son grand ami Steven Spielberg que se charge de la réalisation. Au départ l’acteur principal devait être Nick Nolte, puis Tom Selleck. Mais il fallut les oublier. Steven proposa alors le nom d’Harrison Ford, mais George Lucas ne voulait pas que l’on réutilise son acteur fétiche de « Star wars ». Mais il n’y avait pas de meilleur choix et, à force de persuasion, George finit par accepter. Heureusement !

Indiana, c’est le nom du chien ? Effectivement, mais celui du chien de George Lucas de l’époque !

Au final, en 1981, « Les aventuriers de l’Arche perdue » devient un film culte, phénomène du box office, et d’autres épisodes verront le jour. Et oui, le talent de Steven Spielberg rencontre toujours le succès.

Pour cette nouvelle déclinaison pop art, j’ai choisi de me servir uniquement des trois premiers films ; période où Harrison Ford n’était pas encore trop âgé. Le fait que ne soit pas représentés la guerre où des soldats nazis est délibéré ; j’ai préféré associer les femmes des trois premiers films, Karen Allen, Kate Capshaw, l’épouse de Steven Spielberg, et Alisson Doody. Des femmes, qu’à l’image du cinéma d’aventures des années 1930, on venait « coller entre les pattes » du héros, histoire de compliquer un peu son action. Mais elles savaient aussi faire fondre l’aventurier et apportaient le romantisme. Je ne suis nullement misogyne, mais c’était ce que véhiculait le cinéma d’avant la Seconde Guerre mondiale...

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