3 œuvres par Caroline De Otero (Sélection)
Télécharger en PDFLe Mystère des Abysses (2004) • 3 œuvres
LE MYSTERE DES ABYSSES Une promenade au cœur des Abysses avec la photographe Caroline de OTERO. Sa série [...]
LE MYSTERE DES ABYSSES
Une promenade au cœur des Abysses avec la photographe Caroline de OTERO. Sa série de tirages noir et blanc grand format nous replongent dans le mystère des profondeurs.
En photographiant nos monstres marins, au plus près de leur matière, nous découvrons un nouveau monde.
Infiniment grand ? Infiniment petit ?
Le jeu des dimensions est renforcé par l’intrusion d’un photogramme, un nouveau monstre marin, fabuleux celui-ci, attirant les voyageurs par la douceur de son chant .
INFINITESIMALES
“Etre grand ou infinitésimal, n’est ce pas la même chose ?” s’interrogeait le philosophe et mathématicien Blaise Pascal dès le XVIIe siècle.
C’est à ce voyage en terre de démesure que nous invite aujourd’hui Caroline de Otero.
Part d’infime, part d’intime, ses “Infinitésimales” posent un regard décalé sur le grand monde sous-marin.
Un microcosme (littéralement, “petit monde”) pris dans le filtre de ce que la technique photographique appelle communément “macro” (littéralement, “ce qui est gros”).
Et si Pascal avait raison !
Gros plan donc sur cet univers tentaculaire, surprenant, terrifiant parfois et toujours mystérieux où le tout petit et l’énorme se confondent.
Plante ou fossile ? Mammifère ou invertébré ? Mâchoire acérée ou cils vibratoires ?
L’œil de la photographe nous entraîne là où le nôtre s’arrête trop souvent : montrer
l’invisible, traquer le détail, débusquer le merveilleux. Alors seulement l’imagination s’éveille.
Ici, un toboggan végétal, là un coucher de soleil abyssal, plus loin encore, un mille-pattes à pompons.
Guide féerique de ces divagantes hallucinations, une sirène mutine, faufile ses humeurs taquines et prend la pose au gré des paysages découverts.
Christophe Terral
Une promenade au cœur des Abysses avec la photographe Caroline de OTERO. Sa série de tirages noir et blanc grand format nous replongent dans le mystère des profondeurs.
En photographiant nos monstres marins, au plus près de leur matière, nous découvrons un nouveau monde.
Infiniment grand ? Infiniment petit ?
Le jeu des dimensions est renforcé par l’intrusion d’un photogramme, un nouveau monstre marin, fabuleux celui-ci, attirant les voyageurs par la douceur de son chant .
INFINITESIMALES
“Etre grand ou infinitésimal, n’est ce pas la même chose ?” s’interrogeait le philosophe et mathématicien Blaise Pascal dès le XVIIe siècle.
C’est à ce voyage en terre de démesure que nous invite aujourd’hui Caroline de Otero.
Part d’infime, part d’intime, ses “Infinitésimales” posent un regard décalé sur le grand monde sous-marin.
Un microcosme (littéralement, “petit monde”) pris dans le filtre de ce que la technique photographique appelle communément “macro” (littéralement, “ce qui est gros”).
Et si Pascal avait raison !
Gros plan donc sur cet univers tentaculaire, surprenant, terrifiant parfois et toujours mystérieux où le tout petit et l’énorme se confondent.
Plante ou fossile ? Mammifère ou invertébré ? Mâchoire acérée ou cils vibratoires ?
L’œil de la photographe nous entraîne là où le nôtre s’arrête trop souvent : montrer
l’invisible, traquer le détail, débusquer le merveilleux. Alors seulement l’imagination s’éveille.
Ici, un toboggan végétal, là un coucher de soleil abyssal, plus loin encore, un mille-pattes à pompons.
Guide féerique de ces divagantes hallucinations, une sirène mutine, faufile ses humeurs taquines et prend la pose au gré des paysages découverts.
Christophe Terral
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