Ajouté le 18 sept. 2006
Le temps va si vite que la conscience ne peut pas suivre... Il faut donc aller aussi vite que le temps (vivre avec son temps), l'apprivoiser, le maîtriser puis en disposer à son aise, l'étirer, le pétrir et en sortir ses émotions qui ne pourrons être que hors du temps, intemporelles voire éternelles. L'universalité, ce cosmos apprivoisé est à l'état naturel chez l'enfant puis disparait pour la plupart d'entre-nous dans un almagame conventionnel. Paradoxalement l'Universel n'émmerge de nous que par une profonde introspection et de notre individualité retrouvée. cette première flamme, ces premiers mots, ces visions premières de l'être n'ont pas été animales, loin de là, mais reste universelles comme en témoigne toute l'histoire de l'Art... à suivre