Association Joudour d’Art et de Développement

Ce n'ai pas magique les arts ? Unir deus cultures et dans l'ensemble plusieurs mondes chacun et un monde en lui pour vivre une expérience originale il a fallu des artistes qui connaissent Ce n'ai pas magique les arts ? Unir deus cultures et dans l'ensemble plusieurs mondes chacun et un monde en lui pour vivre une expérience originale il a fallu des artistes qui connaissent bien le terme qui représente pour chacun d'eux une contrainte qui est suffisante pour dévoiler une partie du monde qu'on est.
le camping atelier ou l'atelier camping a Gafait, simple et sincère parce qu’en général les artistes ne sont pas exigeants ;dans une semaine q'on a vraiment vécu dans des cabanes en roseaux qui entourent la piste d'activités communes ; la tasse de café le thé, le déjeuné qui change chaque foi ;le tajine …;et les grandes salades et la belle cuisine de Claude le soir qu'on remercie beaucoup et bien sur entre les pauses boufs il y a la grande partie du temps pour la peinture et la sculpture tout le monde se régale chacun a un regard ,des gestes, des attitudes des manières distinctes et différents , ce regard partagé c'est un des bénéfices de l'atelier de solidarité.
Le support sur quoi je peint c'est une issue qui mène à la grande liberté ou tout est permis, je retrouve tous les goûts et les sensations, quant j'entame une toile généralement je commence sans avoir une idée préalable, dés que je pose les première touche la toile devienne vivante et commence a révélé l'idée avec tout ces composants; composition,harmonie.
Ce n'est pas magique les arts?
bien le terme qui représente pour chacun d'eux une contrainte qui est suffisante pour dévoiler une partie du monde qu'on est.
Jawad Embarki

nous sommes si loin et étrangers -artistes de paris- mais si proches, juste en vous recevons le premier jour à l’aéroport d’Angade à Oujda ce lien c’est fait.
Pour nous tous il est important de considérer un étranger avec égards ,pour moi il en est de même ,l'étranger est celui qui porte un savoir d'ailleurs ,qui a un regard nouveau sur moi,qui prend le risque de me connaître,qui a prit la peine de se déplacer,et surtout pense qu'il va rentrer chez lui un jour et dire ce qu'il a vu .C'est un peu comme un personnage qui au jugement dernier parlera de moi , il est comme l'enfant qui ouvre les yeux le premier jour sur le monde .Car je ne suis pas obligé avec un étranger ,je peux l'ignorer,je ne lui dois rien en apparence, mais c'est le fond de mon âme avec ma bonté ou ma méchanceté qui vont s'exprimer devant lui. Je' sais que souvent la peur prend le dessus. Mais qu'est-ce qu'on risque? Et c’est comme cela que nous avons travaillé et crée et partager le quotidien au pied de la montagne entre les bras de la source de « ain chifa » source de guérison.
De la grotte de Lascaux aux gravures de Figuig en passant par le temple d'Angkor, la mosquée de la koutoubia la tour de Samarra la tour Effile le Penseur de Rodin, les couleurs de Chaiibia , ou l'Urinoir de Duchamp, les semaine artistique de Gafaiit explorent, à travers l'infinie variété des sujets de discutions et des échanges, l'extraordinaire richesse du patrimoine artistique de l'humanité. En partagent les goût les styles et les techniques. En partagent les sens l’espoir et le bon coeur, chrétiens musulmans juifs et existentialistes nous avons tous partager du 18/07/2007 au 25/07/2007 la passion de peindre de sculpter et de photographier, d’imaginer de copier et d’interpréter, d’extérioriser et de refouler,pour s’enrichir du plus noble des créature qui est l’art.



Ketouy abdennabi
Abdel

A l'un des deux bouts du monde, il y a une montagne.
Sur cette montagne, se dresse un rocher.
De ce rocher coule une source.

A l'autre bout du monde, vit le grand coeur du monde.
Car le monde aussi a un coeur, et c'est son battement qui maintient le monde en vie.

Un jour, alors qu'il regarde au loin, le coeur du monde aperçoit la source.
Et cette vision éveille son désir, et son amour.

Comme toutes les créatures de la terre, le coeur du monde veut se rapprocher de sa bien-aimée.
Alors il quitte son bout du monde, il franchit la grande distance qui sépare les deux bouts du monde et il arrive au pied de la montagne d'où coule la source.

Une fois là, le coeur du monde réalise qu'il ne peut plus faire un seul pas en avant. Que, s'il s'avance dans l'ombre de la montagne, à cet instant même il perdra de vue la source. Et s'il perd de vue la source, ne serait-ce qu'un seul instant, il en mourra, le monde entier en mourra, toutes les créatures de la terre en mourront.

Mais le soleil baisse. Bientôt il fera nuit. Dans l'obscurité, le coeur du monde va perdre de vue la source. Alors le coeur du monde se met à chanter.

Son chant parvient à la source.
La source lui répond, avec son chant à elle.
Les deux chants se rencontrent dans l'espace et se fondent en un seul.
Et ce chant unique se répand sur toute la terre.

Toutes les créatures de la terre l'entendent, ce chant unique, et comprennent qu'au terme de ce jour le coeur du monde va mourir.
Alors s'éveillent en elles leurs propres chants.

Tissés ensemble, ces chants créent, jour après jour, le temps qu'il faut pour que s'épanouisse l'amour qui unit le coeur du monde et sa bien-aimée.

Et c'est ainsi que, fait de chants et d'amour, le temps est recréé jour après jour.
Juste ce qu'il faut pour que la vie continue sur la terre.


J'aime les contes, j'en lis, j'en raconte, j'en fais des spectacles.
Celui-ci, je l'ai trouvé dans la tradition juive.
Et à moi la mécréante, qui ne suis ni juive, ni musulmane, ni chrétienne, il m'a semblé qu'il avait le pouvoir de dire toute la magie que nous avons créée ensemble, Marocains et Français, unis par le désir de la beauté, à Gafaït, en une toute petite semaine !

Elli

: Au printemps 2007 durant la Traversée de l’Oriental (Festival randonneur organisé par l’IFO et l’ANAP) je rencontrais 2 OVNIS : Abdel et Jaouad, peintres et prof d’arts plastiques de leur état. Une amitié immédiate naissait et l’envie de poursuivre un chemin ensemble aussi. Ce chemin se fit tout naturellement avec l’idée de mettre en place des échanges entre artistes français et marocains où l’accent serait mis tout autant sur la création artistique que sur l’échange humain et solidaire.
Et puis nous voilà un beau jour de Juillet débarquant 5 français et 7 marocains à Gafaiit. A l’ombre des arbres et des bâches tendues, 3 cabanes en bambou et 2 tentes entourent l’Atelier ouvert sur la vie du « camping » et de ses habitants d’un été. Seule sculpteur du groupe, je cherche un coin pour « taper » sur mes cailloux où bruit et poussière n’incommoderont pas mes acolytes. C’est en bordure de cascade, derrière le four à pain , que je trouve un bout de talus faisant office d’établi et un gros caillou de l’oued que je transformerai au fil des jours en « Maternité ». Lorsque je reviens de mon mini atelier, laissant retomber grains de poussière et degrés Celsius devenus parfois insupportables, je débarque sur une autre planète où toiles, pinceaux et couleurs sont les maîtres d’un ballet qui me fascine. Jamais de ma courte vie d’artiste je n’avais assisté à cela : le geste et la couleur produisant dans l’élan et la fougue une œuvre complète. Cette révélation dans cet atelier ouvert et sans complexe me permet rapidement d’oser utiliser la « couleur » (parent pauvre de la sculpture).
Voici comment venue pour une chose que je pensais définie : sculpter des pierres de Gafaiit en compagnie de complices, je rencontrais, comme un coup de foudre amoureux, une liberté et une légèreté de création qui m’ « autorisait » tout simplement à aborder la peinture, domaine inconnu et intimidant pour moi.

Suzel Galia

N’étant, au départ, invité à participer aux rencontres de Gafaiit qu’en qualité de compagnon de Suzel Galia (et de souffleur dans mon saxophone !), je peux difficilement relater mes impressions d’artiste plasticien (que je ne suis pas) résultant de cette semaine d’échange culturel. Je peux néanmoins faire part des quelques réflexions d’ordre général que m’a inspiré cette aventure.
L’Occidental moyen (que je suis…) se laisse souvent guider par deux tendances qu’on pourrait presque assimiler à deux défauts complémentaires : l’envie et le regret.
Pour ses vacances, par exemple, il rêve de pays exotiques – pas trop chauds quand même et où on cause un peu sa langue si possible et, ah oui, sans les petites bêtes qui vous courent dessus la nuit – puis, après son voyage, il regrette de n’avoir pas réellement partagé la vie des « vrais gens » (comme il dit), d’être passé à côté de la « culture locale ». Bref, il a le blues du touriste de base.
Autre exemple : l’homme moyen (toujours moi…) possède un bon fond (j'espère !) qui lui donne parfois quelque envie d’actions solidaires. En réalité, il en a toutes les meilleures intentions du monde et désire ardemment que les autorités, les gouvernants, les responsables et son voisin de palier s’occupent de tout (ce ne sont pas les idées qui lui manquent) ; mais lui regrette de n’avoir ni le temps, ni les moyens, ni l’énergie pour toutes ces nobles aspirations. Là, c’est le blues du bénévole (sans base).
Pour mon séjour à Gafaiit, je n'aurai pas la prétention de croire que j'ai été bénévole sans être touriste mais, en compagnie d'artistes marocains et français qui savent donner et voyager, j'ai eu le sentiment fort de me sentir un peu moins Occidental moyen. Ce n'est pas rien.
Et puis, en plus de l’affection qu’ils ont su susciter en moi, ce dont je suis mille fois reconnaissant à Suzel, Abdennabi, Rosy, Benhamza, Elli, Driss, Nicole, Jaouad, Taghzoute (père & fils) sans oublier Sameh, Chaïbe et tous les autres, c’est de m’avoir permis de réaliser toutes ces envies : voyage, culture, solidarité… sans l’ombre d'un regret !
Claude

Le camping de Gafaïts est une sorte de petite ville, une oasis où l’eau est partout en permanence jusque dans les cafés où elle coule entre les chaises et vous rafraîchit les pieds.

Nous y avons avons vécu des moments intenses et directs avec les 6 artistes marocains Abdel, Driss, Hamsa, Jawad, Mohamed, et Mohamed le Père, plus un saxophoniste, et Sameh, l’écrivain et président de l’association qui nous a invité.
Nous avons tout de suite plongé au cœur de ce pourquoi nous étions réunis: créer, peindre, sculpter, photographier... Nous avons tout de suite partagé ce quelque chose d’intime, et qui tient une place aussi importante dans chacune de nos vies pourtant si différentes, à savoir la création artistique. Il y eut des moments d’intense activité, chacun dans son histoire et chacun portés par la résonance de la création contagieuse des autres. Il y a vraiment eu des moments magiques !

C’était un peu comme si on avait fait naître une sorte d’animal, qui vivait sa propre vie, dans notre petit royaume entre les tentes, sous le toit de bambou, tantôt fébrile, tantôt vacant et goûtant le moment présent, les beignets et les petites gâteries d’après dîner. Cet animal c’était nous et les voisins de camping qui venaient en visiteurs et les enfants avides de dessiner aussi. Il y avait toujours du monde, qui passait, qui nous invitait à boire le thé au moment où on allait juste commencer à démarrer. Ca a été pour moi une découverte que de peindre avec plein de bruit, de monde autour qui regarde, bavarde, moi qui peins dans la solitude, avec un casque sur les oreilles pour m’isoler encore un peu plus .
Les choses simples étaient belles et mises en valeur : les petites salades de tomates, les étals des marchands de légumes, les pains ronds. J’ai aussi apprécié la cuvette d’eau fraîche dans les toilettes à la place du papier hygiénique, mais ceci est un détail trivial.
Après dîner, quand Claude le sentait bien il sortait son saxophone, ou mettait sur le tapis des questions brûlantes sur la condition des femmes ou la religion, ou bien on se racontait des histoires drôles et on parlait de tout et de rien.

Nous nous sommes rendus compte de la différence qu’il y a entre être artistes en France et au Maroc : s’il est difficile de vivre de son art en France, combien ça l’est plus au Maroc. En même temps il y a aussi plus de possibles en terme de projets réalisables.

Je suis bien consciente que la magie n’a qu’un temps. Le retour sur terre ramène les différences d’opinions, de projets, la réalité en quelque sorte .Et c’est tant mieux !

Nicole Pavlowsky

De Gafait, il me reste des mots parfumés de sensations coulées par l’eau dans la chaleur de l’oasis :
Rivière, limpidité, ruisseau, cascade, bouillonnement, pureté, fraîcheur, roseaux, grenouille, glouglou, immersion, thé à la menthe les pieds dans l’eau, reflets, éclats, bain, reflet de lune, palmier, amande, chanson, femmes, youyous…

De Gafait, il me reste des mots épicés de sable et de soleil :
Plateau, herbe sèche, Alfa, désert, Orient, dune, immensité, beauté,ocre rose, rochers,chaleur, Maroc, douceur, aridité, sucré, doré, irisé, cannelle, coriandre, safran, brume, voile, blanc, chants, danses …

De Gafait, il me reste une musique qu’aucun mot ne pourrait jouer : un beau morceau de partage, aux tonalités de rencontre, humanité, échange, dialogue, hospitalité, connaissance, créativité, création, amitié, différences, ressemblances, unicité, spiritualité, grands bonheurs, engagement, unité, Art !

De Gafait, il me reste un temps d’arrêt dans ma peinture. L’eau de Gafait a lavé pour le moment mon ancrage à la terre et la matière, ma peinture se fait liquide et s’étire en coulures. La palette est moins solaire car qui oserait égaler la beauté des couleurs du désert ? Ne plus se perdre, suivre sur la toile la ligne des Hauts Plateaux, toucher la pureté du trait… Réfléchir, comprendre : le monde, les hommes, leurs histoires, l’art, la vie.


Rosy

De Gafaït ,ce petit éden rural où abondent potagers et vergers que traverse de part en part une rivière assez généreuse tout comme ses habitants d’ailleurs, je n’ai gardé que le côté rustique , la chaleur et l’hospitalité de ses habitants . Enfant, je gambadais , de fond en comble, dans les sinuosités de cet olympe, d’où montaient de sournois murmures que ces petits rus me faisaient parvenir jusque dans mes sensations les plus profondes , dans lequel les senteurs des arbres fruitiers mélangées à la terre qui venait juste d’être irriguée emplissaient mon âme à jamais et où papillonnaient de délectables couleurs qui vous donnaient l’envie de croquer à pleines dents tellement elles débordaient de vie ,raisins , figues ,pommes et éternelles pêches . Entre ces arbres paradisiaques, les mignons petits champs de pommes de terre , de navets , de carottes , de la menthe étaient le plus souvent l’affaire des femmes qui leur prodiguaient de fins soins.
C’est dans ce cadre de rêve que les deux cultures, celle de la terre et celle de l’esprit, se sont donné rendez-vous pour une idylle artistique sans précédent .Grâce aux efforts conjoints des artistes de deux associations, Les AAB ( Les Ateliers d’Artistes de Belleville de FRANCE) et L’AJAD ( L’association Joudour d’Arts et de Développement du MAROC) qu’une manifestation artistique axée surtout sur la peinture a été organisée dans le but de promouvoir non seulement l’art visuel dans ce petit hameau de quelques dizaines de familles mais surtout de participer à une semaine de solidarité au profit des enfants, du 18 au 25 Juillet 2007, en l’honneur de L’AGCD ( L’Association Gafaït de Culture et de Développement ) qui de son côté œuvre dans le même esprit avec une énergie sans faille. Les artistes de cette association, L’AGCD, ont été d’ailleurs les instigateurs pour que l’activité picturale puisse voir le jour. Pour cela, ils ont invité les deux associations citées ci-dessus pour un séjour d’une semaine. Du côté Français, il y avait Elli DROUILLEAU, Nicole PAVLOVSKY, Rosy CHAIGNON et Suzel GALIA et du côté Marocain il y avait Mohamed BENHAMZA, Jawad MBARKI, Med TAGHZOUTE le fils, et Abdennabi KETOUY. Durant toute cette semaine, de nombreuses activités se sont déroulées, jour après jour, dans la fraternité et la bonne humeur : ateliers avec les enfants, ouvrages d’artistes sur place, fresques, randonnées, danses folkloriques et même musique moderne. D’autres artistes étaient là en invités d’honneurs , à l’exemple l’artiste et photographe Mohamed TAGHZOUT et le peintre Drisse RAHAWI , Bensameh DARWICHE poète et tant d’autres encore qui de près ou de loin ont donné de leur temps et de leur énergie pour la réussite de cette première manifestation culturelle qui ne restera certainement pas sans suite puisque l’année prochaine les mêmes artistes Marocains ont été invités à participer à une autre activité du même genre en France par la même association les AAB .
Les autorités locales de Gafaït ,qui avaient mis tant soit peu à la disposition des participants les moyens dont ils disposaient pour que tout se passe bien, ont été à leur tour très ravies de ce genre d’activités qui avaient donné un peu de vie à leur campagne.
Les artistes des deux mondes , Français et Marocains agissant dans la considération et la tolérance , viennent encore une fois de nous prouver que l’art alternatif quand il va au devant des gens fait mouche et éveille la sensibilité à la fois des adultes et des enfants.

Ali ADRAI

L’association Joudour d’Art et Développement à le plaisir de vous présenter l’artiste qui vient enrichir notre atelier de solidarité artistique organisé au profit des jeunes élèves qui quitte l’école pour manque de moyen matériel, cet atelier et organisé en partenariat avec l’Association Gafait de Culture Et de Développement du 10 au 20/07/2008

GAMET DOMINIQUE
Plasticienne
41 rue de Pali-Kao
75020 PARIS
Tel 01 43 58 17 67
Portable 06 33 34 47 80
Mail :




EXPOSITIONS – PERFORMANCES


Evénementiel

2006 Peinture et Musique, fête de la musique, Le Thillay
« Couleurs en partage » Peinture et Musique, portes ouvertes Hôpital
de Nanterre
1998 Peinture et Arts Martiaux, manifestation sportive
Salle Jacques Brel, Pantin
1997 Performance : « Le noir encré, le blanc papier, l’instant tracé »
Portes ouvertes, Pantin. Peinture et Danse
1985 Masques de théâtre « rencontre autour de l’Art Roman »
à Moissac , Peinture en public

Expositions personnelles :
2008 Portes Ouvertes Ateliers de Belleville
2006 Salon INTERMAT, club VIP dessins : « des Machines et des Hommes »
2004 Librairie Parcifal « Etats de la chair », vidéo art, photo-peinture, lecture
publique : extraits d’écrits de Georges Bataille. « L’intime » et
« le crime de Coye la forêt »
2002 Ars Longa, Paris, centre culturel multimédia
2000 Portes ouvertes, ateliers de Belleville « L’exhibitionniste »
1997 Galerie « L’œil du Huit » Paris « L’homme, la femme et le voyeur »
1994 Centre Culturel Pierre Poiret, Gonesse
1992 Galerie Bernanos, Paris
1990 Bistrot Blanc, Paris
1986 Maison des femmes Cergy Saint Christophe


Expositions collectives :

2008 Festival Art à Meschers « Métissage, Kalantabaa »
2007 « L’intime au risque de l’autre » Paris I Panthéon Sorbonne
Foire internationale d’Arts Contemporains à Metz Festival Art Meschers
2001
2000 Arts Plus à Montreuil « Carré de la Chair »
1998 Galerie Pantin « Obsession »
1993 Espace l’Harmattan, sept Artistes à Paris
1992 Trois Artistes Contemporains à Pantin
1988-1991 Salon des Arts Plastiques de Marne la Vallée
1982 Chapelle Saint Dominique à Perpignan
1980 Galerie de la Boétie, Paris
1979 Salon des Artistes Indépendants, Grand Palais à Paris
1977 Salon des métiers d’art de Paris


Réalisations diverses :
Peintures murales : Hôpital Tenon, restaurant Etoiles à Paris
Affiches, Logos …


PEDAGOGIE-FORMATIONS :

1991-2008 Plasticienne intervenant dans les Hôpitaux auprès d’enfants psychotiques,
de patients en long séjour, de personnes à la rue,
. Formatrice pour artistes et personnel hospitalier
Congrès International de Psychopathologie de l’Expression à Paris
Colloque Culture à l’hôpital avec « Enfance et Musique » à Paris
Hôpital Saint Joseph avec l’association Tournesol
Institut de formation en soins hospitaliers à Maison Blanche
Art et Culture à l’hôpital avec « Tournesol » et « Musique et Santé »
DRAC et ARH de Bourgogne, ADATP association Art thérapie
Géront Expo-Handicap, Salon organisé par la Fédération Hospitalière de
France, intervention débat.
Enseigne les Arts Plastiques aux enfants et adultes dans les centres
Culturels, villes de Gonesse , Pantin, Le Thillay.

FORMATION :

Diplôme de dessin de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux Arts
de Paris. 1985
Licence d’Arts Plastiques, Université Paris VIII. 1993
En formation « Terre, Sculpture et céramique » à « Terre et feu » 2007-2008


-Membre du groupe de réflexion « démarches artistiques et pratiques soignantes, enjeux éthiques » de l’Espace Ethique de l’APHP

L’association Joudour d’Art et Développement à le plaisir de vous présenter l’artiste qui vient enrichir notre atelier de solidarité artistique organisé au profit des jeunes élèves qui quitte l’école pour manque de moyen matériel, cet atelier et organisé en partenariat avec l’Association Gafait de Culture Et de Développement du 10 au 20/07/2008

Né le 19 octobre 1966 à Dakar Célibataire Permis B. Véhiculé

FORMATION 1993 Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique (Beaux Arts de Montpellier) 1988-89 Cycle de formation transdisciplinaire Art Science Entreprise (Université Paris 1)
PARCOURS ARTISTIQUE 1992 à 1990 Suivi de cursus universitaire Ecole des Beaux Arts Edinburgh Ecosse Ecole d'Art Cardiff Pays de Galles 1996 à 1993 Résidences artistes à l'étranger Irlande & Irlande du Nord (Belfast)
2002 à 1996 Résidences d'artistes en milieu scolaire Lycée J. Brel & Collège P. Eluard Vénissieux, échanges, ouvertures d'atelier, réalisation costumes, accessoires pièce de théâtre, «passages, plus ou moins» de Didier Bernard.
2000 à 1996 Conception & Elaboration de Fresques murales dans différents lieux et quartiers, associations & organisations de la ville de Vénissieux, Centre Social Villeurbanne.
1998 à 1996 Conception & Réalisation de Décors de spectacle «le bal des enfants» de Denis Plassard Ecole Max Barel Théâtre Vénissieux.
«village» Festival multiculturel les Nuits Métisses le Cadran Vénissieux. «paroles de femmes» de Farida Serhod Centre Culturel B. Vian théâtre Vénissieux.
«fêtes escales» Festival de musiques vivantes Vénissieux. «le grand spectacle» de Doménico Boisseau Volume Variable Saint Fons. 2006 à 1995 Expositions individuelles et participation à des évènements temporels «le passage» Waarsaal 3 Bern Suisse. .
«l’eau» la Maison des Arts Contemporains Pérouges.
«l'écriture élémentaire» Galerie G. Dumont Pollionnay.
«souvenir des Minguettes» Collège Paul Eluard Vénissieux.
«l'écriture n'a qu'une parole» Centre Culturel le Briscope Brignais.
«trois artistes en résidences» Centre G. Philippe Vénissieux.
«histoire d'eau» Centre d'Arts Plastiques Corbas.
«l’art sur la place» - l’autre - Biennale d’Art Contemporain de Lyon, Centre Social L. Michel/Centre d’Arts Plastiques Saint Fons.
«sax/peinture» Direct avec Katia Vichard Quartiers Max Barel/ Julio Curie Vénissieux.
«carte blanche» Lycée H. Herriot Lyon.
«temps et plus» Direct Uni-Est et Solid’Arte le Toboggan Décines.
«the Claremorris Art Committee » open exhibition - exposition itinérante,
en Irlande, Irlande du Nord et Angleterre (Liverpool et Manchester).
«le lièvre & la tortue» Queen Street Studios Belfast Irlande du Nord. «regard sur le toi» Condition des Soies Lyon. .
«préliminaire en grandeur nature» Exposition sur internet l’Explornet Lyon.
«statu(t)re d'artistes» Direct Saint Gilles Belgique.


EXPERIENCES DIVERSES 2008 à 2004 : Professeur d’Arts Plastiques Collège Lyon, Corbas, Rilleux La Pape & Aix les bains Tous les cycles du collège Professeur d’Arts Plastiques Lycées Lyon & Villeurbanne Première option lourde + travaux personnels encadrés Terminale option facultative 2008 à 1996 : Interventions Ateliers Municipaux Vénissieux Ateliers H. Matisse Arts Plastiques enfants 6/10 ans Atelier H. Matisse Arts Plastiques jeunes 10/14 ans 2003 à 2000 : Interventions Arts Plastiques Collège Paul Eluard Vénissieux Travail sur le thème Espace et Mots, Livre Classes de 6ième et 4ième Installation Objet/Sculpture, Calligraphie arabe, Ecriture Poétique 2001 à 1997 : Interventions Ecole Primaire Vénissieux Travail Arts Plastiques CP, CE1, CE2, CM1, CM2 1999 à 1996 : Cours Dessin Aquarelle Centre Social Louise Michel Saint Fons Adultes

L’association Joudour d’Art et Développement à le plaisir de vous présenter l’artiste qui vient enrichir notre atelier de solidarité artistique organisé au profit des jeunes élèves qui quitte l’école pour manque de moyen matériel, cet atelier et organisé en partenariat avec l’Association Gafait de Culture Et de Développement du 10 au 20/07/2008

Hervé Chastel
Peintre - Plasticien
De formation autodidacte.

7, rue Max Ernst 75020 Paris Email :

06 86 43 13 07 01 74 30 43 86

Dec. 2007 De Nous à Vous - Exposition collective, Les Noyaux, local expérimental des Ateliers de Ménilmontant
43, rue des Panoyaux 75020
Oct. 2007 Portes ouvertes des Ateliers de Ménilmontant
Mai. 2007 Portes ouvertes des Ateliers d'artistes de Belleville
Avril. 2007 Elections Interactives - Exposition collective Les Noyaux
Oct. 2006 Portes ouvertes des Ateliers de Ménilmontant
Aout 2006 Salon d'art plastique Thevet Saint Julien
Oct. 2005 Portes ouvertes des ateliers de Ménilmontant
Fév. 2005 Cuisine à 2 - Exposition collective Les Noyaux
Oct. 2004 Portes ouvertes des Ateliers de Ménilmontant
Mai. 2004
2003
2002
2001
2000 Portes ouvertes des Ateliers d'Artistes de Belleville

L’association Joudour d’Art et Développement à le plaisir de vous présenter l’artiste qui vient enrichir notre atelier de solidarité artistique organisé au profit des jeunes élèves qui quitte l’école pour manque de moyen matériel, cet atelier et organisé en partenariat avec l’Association Gafait de Culture Et de Développement du 10 au 20/07/2008

Jacques Paris

BIOGRAPHIE
&
OEUVRES

Jacques Paris dans son atelier de Saint André d'Embrun
"Quatuors"
Jacques Paris vit et travaille en France, dans les Hautes Alpes, depuis 1975. Né au Viêt-Nam en 1948, il a vécu son enfance en Afrique et à Madagascar jusqu'en 1964.
Etudiant l'enseignement du dessin et des arts plastiques au Lycée Claude Bernard, il commence à peindre. C'est à cette époque parisienne, qu'il rencontre de grands peintres comme Alfred Manessier, Jean Bazaine, Frédéric Benrath, Ashiro Kano et surtout Lorris Junec, avec lequel il entretient des relations privilégiées et régulières jusqu'à sa disparition en 1993. Cette amitié avec Junec est à la source de sa conception de la peinture contemporaine.
________________________________________
• Jacques Paris expose son travail sous forme de séries et de suites dans différents lieux. Parmi elles quelques expositions récentes :
• "Suite canadienne", galerie observatoire 4 de Montréal au Québec
• "Chercheur d'or", Centre d'art contemporain de l'Abattoir d'Embrun
• "Apocalypse", suite Embrun et Salon de Mai à Paris en 1997
• "Lamentations, au Conseil Général de Digne en 1997
• "Didon et Enée", peintures de scène pour le festival d'art lyrique au château de Picontal
• "Leçons de Ténèbres", exposés à la Poudrière de Mont Dauphin (site MONUM) et présentées en 2000 accompagnées des poèmes de José Angel Valente et de la musique de J. Haydn "Les sept paroles du Christ ", jouée par Pierre Bouyer et Nicole Tamestit
• "Agape", Gap, 2000
• "Echelle de Jacob", à la Maison des Artistes de Cagnes sur Mer en 2002

• "Abd El Kader", Gap, 2003

• "Arbre Jaune", Salon de mai, Paris, 2004
• "Du spirituel dans l'art", Mont Dauphin 2004
• "Caprices", Forcalquier, 2004
• "Quatuors", Lyon 2004

• "Le rêve de la météorite", Gap, 2005
• "Quatuor", Saint Donnat, 2005
• "Abd El Kader" et "Le rêve de la météorite", Fès, 2005
• "Nous, agrandissement de croquis", Gap, musée départemental, 2005

Tombeau Abd el-Kader Gap 2008

séries René Leys à l'atelier en janvier 2006


Arbre jaune


• "Stèles", Lyon, 2006
• "René Leys I et II", Les Mées, mai 2006
• "Le rêve de la météorite", Mont Dauphin Arsenal, , été 2006
• "Les leçons de Ténèbres", Mont Dauphin, La Poudrière, été 2006
• "Mandala" , Embrun, restaurant "le temps retrouvé", juin2006-Juillet 2007

• "Présence romane" Simiane la Rotonde (04), 29 juin - 30 juillet 2007
• "Faust" , Forcalquier (04), Novembre 2007
• "Pénélope", Festari 2007, Suhareke, Kosovo, du 24 au 29 septembre 2007.
• "Tawassine", "Héro et Léandre", Oujda, Maroc, peintures en résidence à l'IFO, novembre 2007
• "Poussin-Montagne", projet, 2008-2009
• "d'après Philippe de Champaigne", dessins et peintures, Saint Julien en Beauchêne : projet d'expositions en collaboration avec l'écomusée du Buech, l'hôtel Les Alpins et le Musée départemental de Gap.
• "Leçons de Ténèbres", dans le cadre des expositions hors les murs du Musée départemental de Gap, projets d'exposition/concerts en différents lieux des Hautes Alpes, Les sept dernières paroles du Christ de Haydn, Leçons de Ténèbres de Couperin.
• "Exils", Atelier en résidence d'artiste, Gafaït, Maroc, du 10 au 20 juillet 2008
• "Gilgamesh", restaurant Le Temps Retrouvé, Embrun, du 20 mai 2008 au 1 juin 2009.
• "Tombeau d'Abd el-Kader", dans l'exposition "Réveille-toi on est demain", Musée départemental Gap, du 17 mai au 21 septembre 2008
• à l'occasion du bicentenaire de la naissance de l'Emir Abd el-Kader, le musée-museum départemental de Gap invite Jacques Paris à une résidence du 1er février au 2 mars 2008.

+33 492 432 759
Mob. 06 79 57 94 40

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CURRICULUM VITAE

Nom: TAYEB GHOURDOU
Addresse: 8 Rue B 40, Hay Al Fath, Oujda, Maroc
Telephone : 072527311
•E-mail :
INFORMATIONS PERSONNELLES

 Situation de famille : marié (2 enfants)
 Nationalité : marocaine
 Date de naissance : 01 – 11 - 1969
 Lieu de naissance : Oujda
FORMATION ACADEMIQUE

• 2007 - … prépare doctorat en « Cultural Studies » (Langue et Littérature Anglaises) Faculté des Lettres et Sciences Humaines Dhar Lmahraz Université Sidi Med ben Abdallah, Fez.
• 2003 – 2005 : D.E.S.A (Langue et Litérature Anglaises) Faculté des Lettres et Sciences Humaines, Université Med 1er, Oujda.
• 1993 : Ecole Normale Supérieure (E.N.S)
• 1992 : Licence en Langue et Littérature Anglaises (Faculté des Lettres et Sciences Humaines, Université Med 1er, Oujda.)
• 1988 : baccalauréat (Lettres Modernes : options Langue Anglaise)
EXPERIENCE PROFESSIONNELLE

• 1993 – 2005 : professeur de langue Anglaise en 2eme cycle du lycée à Ouarzazate, Taza, Jrada
• 2004 – 2005 : professeur de « Intensive Reading » à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines, Université Med 1er, Oujda.
AUTRES DIPLÔMES ET ATTESTATIONS

• 2000 : participation aux 1 ères journées nationales de consolidation de la culture de l’information et de l’Internet animées par le ministère d’éducation nationale à Rabat.
• 2001 : formation en informatique (Windows ; Access ; Visual Basic 5.0 à l’ E.P.I (Ecole Privé d’Informatique) à Oujda.
• 2005 : participation au symposium international sur « the local and the global : culture, specificity, universality » organisé par l’U.F.R. “Colonial and Postcolonial discourses” (Faculté des Lettres et Sciences Humaines, Université Med 1er, Oujda.)
ACTIVITES ASSOCIATIVES

• Secrétaire général de L’ ASSOCIATION JOUDOUR POUR L’ART ET LE DEVELOPPEMENT (OUJDA)
• Exposition de photos aux portes ouvertes de Belleville Mai, 2008.
LANGUES

• Arabe : maîtrise complète
• Français : maîtrise complète
• Anglais : maîtrise complète
• Espagnol : niveau débutant
ACTIVITES DE RECHERCHES

• Recherches pédagogiques : articles pas encore publiés dans le domaine pédagogique concernant l’enseignement de la langue anglaise au lycée et à l’université.
• Recherches accomplies dans le cadre de l’U.F.R. (Colonial and Postcolonial discourses) concernant la diversité des cultures et l’hégémonie des discours.

 Jawad mbarki
 Né le 13/09/1970 à jerada
 Baccalauréat arts plastiques session 1992
 Issu de cpr tanger session 1994
 Membre de l association joudour pour les arts plastiques
Expositions de peintures :
 Plusieurs expositions à différentes villes du Maroc
Expositions:
 institut français d Oujda
 colloque AMEF Oujda
 festival Gharnati d Oujda
 festival international de Tafoughalte
 Les portes ouvertes des AAB Paris ( Ateliers des Artistes de Belleville)
 Les ateliers de solidarité des AJAD à Gafaît et Figuig

L'atelier d'écriture sera animé par Dominique Dubost-Paris, diplômée
de l'Université de Provence pour l'animation d'atelier d'écriture,
docteur ès Lettres et Arts de l'Université de Provence.
A animé des ateliers d'écriture dans le cadre de l'Université du Temps
Libre, à Embrun ; au Musée de Gap ; lors de visites culturelles ou
dans des lieux à caractère particulier.

Elli DROUILLEAU fabrique des mobiles depuis 1992.

Elle les expose chaque année dans le cadre des Portes Ouvertes des Ateliers de Belleville.

Elle a participé également à plusieurs expositions collectives :
• au Centre de documentation sur l'Art du collage, à Sergines (89):"Carte blanche à Ivan COAQUETTE" - juin 2001

• avec l'association ZOO, au Pré Saint Gervais (93) : "Le nouveau salon des arts ménagers" - 1998

• à la Galerie MAILLETZ, Paris - 1997 - Portes Ouvertes des Ateliers de Ménilmontant à Paris en octobre 1997

• deux expositions collectives organisées par l'association La Santa Maria à Saint Maixent (72) en 1991 et 1992.

Elle fait partie de la Galerie Internet

Depuis deux ans, elle travaille à constituer des expositions à thèmes, comportant dix à quinze mobiles, de tailles diverses (de 30 cm à 1,50m de haut environ).

Activité culturelle à Taza Au coure de la rencontre national des arts plastiques à la maison de culture à Taza, organiser par l association espace des grottes

Photos souvenir avec un des peintres participant à une exposition collective

Photos souvenir avec des visiteuses de l exposition collective à Taza en 2000