Allegorie: l'Art et l'Autorite 绘画 由 Nikolai Kupriakov

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Nikolai Kupriakov 出售

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  • 原创艺术品 绘画, 在帆布上
  • 外形尺寸 高度 83.9in, 宽度 53.9in
  • 分类 画作 低于US$20,000 超现实主义 神秘主义
Les années 2010 au Québec sont marquées par la corruption du pouvoir, ainsi que par les actes de violence envers la population. Les droits fondamentaux sont brimés et la police ne respecte plus la Constitution, réprimant avec brutalité son propre peuple. Les arts ont perdu leur droit à la libre expression, et sont soumis au politically[...]
Les années 2010 au Québec sont marquées par la corruption du pouvoir, ainsi que par les actes de violence envers la population. Les droits fondamentaux sont brimés et la police ne respecte plus la Constitution, réprimant avec brutalité son propre peuple.

Les arts ont perdu leur droit à la libre expression, et sont soumis au politically correct, pris sous l’emprise de cette ombre croissante qui infecte toutes les sphères de notre société. La censure est devenue monnaie courante, et la répression des artistes, un fait banal.

Pendant ce temps, les autorités continuent de forniquer avec la mafia et de bouffer comme des porcs dans les clubs privés en utilisant les fonds publics.

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Fondateur de l'École des Beaux-arts de Montréal-Artus et artiste engagé, Nikolai Kupriakov œuvre au Québec depuis 1991. Ses nombreuses études en art et en architecture, ainsi que sa compétence ont contribué[...]

Fondateur de l'École des Beaux-arts de Montréal-Artus et artiste engagé, Nikolai Kupriakov œuvre au Québec depuis 1991. Ses nombreuses études en art et en architecture, ainsi que sa compétence ont contribué au fil des ans, à bâtir sa réputation.

Né en Russie en 1963, il affirme avec certitude sa volonté de devenir artiste-peintre dès son jeune âge. Par la suite, sa vie et son parcours n’ont jamais dérogé du domaine des Beaux-Arts, qui selon lui, reste l’unique pilier de l’amalgame complexe que sont devenues les diverses pratiques en arts visuels.

Après avoir terminé ses études à l’École des Beaux-arts de Chuguev (Ukraine) en 1979, Nikolai Kupriakov obtient en 1985 un Baccalauréat en Architecture de l’Institut Polytechnique de Irkoutsk en URSS, puis en 1990, un Baccalauréat en Enseignements des arts plastiques de l’Académie nationale des Beaux-arts de Vilnius en Lituanie. Une fois établi au Québec, il obtient en 2001 une Maîtrise en Conservation de l’environnement bâti de l’Université de Montréal.
Entre 1985 et 1990, il travaille aussi comme architecte à Vilnius et gagne deux concours d’envergure national, ce qui lui permet malgré son jeune âge de devenir membre de l’Ordre des architectes de Lituanie.

Ses travaux artistiques de l’époque sont marqués par l’idéalisme d’un étudiant avec la tête légèrement enflée par les succès relatifs dans les milieux écolier et universitaire. Certains problèmes avec les autorités du régime soviétique le poussent à développer une attitude d’intolérance pour le système autoritaire en place.

En 1991, espérant trouver une société basée sur des valeurs qui respectent la démocratie et la liberté individuelle, Nikolai Kupriakov s’installe au Canada. Ses premières années sont marquées par une lutte acharnée avec le système d’immigration canadien afin de pouvoir s’établir au Québec. Pendant huit longues années, il est privé de ses deux enfants restés coincés en Lituanie. Cette thématique devient récurrente dans ses œuvres de l’époque.

Néanmoins, l’artiste mène une vie professionnelle active dans le milieu des arts visuels. Il s’implique dans la vie associative et fait partie d’abord du conseil d’administration du Conseil de la peinture du Québec (1996-1997), et ensuite du Conseil d’administration du Regroupement des artistes en arts visuel du Québec (RAAV) de 1998 à 2003. Il pratique la peinture et participe à de nombreuses expositions au Québec et à l’étranger. Ses œuvres, d’une profondeur particulière, amènent souvent le public à réfléchir sur plusieurs aspects de la vie sociale. Certaines de ses expositions ont déjà provoqué un débat public sur le rôle de l’art dans la société.

L’ironie du sort est que c’est au Québec qu’il est le plus frappé par la censure. Plusieurs de ses œuvres de nature contestataire, qui critiquent soit l’abus de pouvoir soit les tabous, sont retirées de diverses expositions. En 2005, après avoir critiqué la discrimination et les abus dans la Politique d’intégration des arts à l‘architecture du Québec qui s’adresse aux artistes professionnels, il se voit expulsé du fichier de cette politique par le Ministère de la Culture. Toutefois, il forme un groupe d’artistes qui militent pendant des années afin d’améliorer cette politique gouvernementale et de démocratiser son application.

En parallèle avec la pratique de la peinture de chevalet, il développe systématiquement la performance comme une forme de popularisation de la peinture. Ses interventions sont spectaculaires et ne passent pas inaperçues.

Il produit de nombreuses performances comme artiste invité dans des émissions de télévision, notamment ‘’La fin du monde est à 7 h 00’’, ‘’Le Gala Artis de 2009 ’’ et plusieurs autres. En juin 2009, lors du Festival du Grand Rire à Québec, il fait une prestation avec l’Orchestre symphonique de Québec dans le Grand théâtre de Québec.

En 1999, il fonde l’École des Beaux-arts de Montréal Artus (EBAMA) qui au fil des années devient l’école phare dans le domaine de l’enseignement classique des arts visuels à Montréal. Très rapidement son école devient la plus en demande parmi les établissements d’enseignement de la peinture et du dessin. La compétence de ses professeurs ainsi que la rigueur des programmes développés par Nikolai Kupriakov ont propulsés EBAMA au niveau d’incontournable dans le domaine de la formation professionnelle en peinture.

Autant dans sa création que dans son implication dans le milieu des arts visuels, Nikolai Kupriakov reste toujours fidèle à sa philosophie des arts fondée sur la démocratie et la liberté dans ce domaine. De plus, il défend vigoureusement ses principes du respect et du pluralisme des courants esthétiques. Ceci lui coûte cher cependant.

En effet, dans le contexte d‘une lutte acharnée contre la discrimination des artistes professionnels du Québec, il produit en 2013 une œuvre contestataire où figure le portrait d’une juge de la Cour supérieure du Québec en excréments. Il est immédiatement réprimé par la police du Québec. Ainsi, sa lutte contre la discrimination se transforme en lutte pour la Liberté d‘expression. Nikolai Kupriakov se voit obligé de s’exiler afin d’éviter une arrestation imminente.

Toutefois, même en exil depuis décembre 2013, il continue sa lutte et produit des performances dans lesquelles il peint les portraits de juges québécois ainsi de personnalités policières en excréments dans des lieux publics à travers le monde.

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