Stanko Kristic

BIOGRAPHIE

STANKO KRISTIC Français d’origine yougoslave vient s’installer à Paris en 1975.
Son travail comme maçon dans le bâtiment, décoration intérieur et extérieur
le fait sortir presque naturellement de la décoration vers la création artistique pure.
Sur son temps libre, il sculpte des cheminées puis pour la maison Kalenger des vases.
En 1982, il loue un atelier à Paris 11ème où ses sculptures restent secrètes; après un vernissage,
des artistes découvrent chez lui une quarantaine de masques en marbre et verre, ils lui conseillent d'exposer,
ce qu'il fait à la Galerie « Bache » à Paris 11ème.
Tout de suite, la télévision Antenne2 dans l'émission « Matin Bonheur » l'interview, il y reçoit
de grands encouragements. Cela lui donne confiance et les expositions s'enchaînent.

Il découvre de nouvelles techniques très personnelles qui lui permettent de créer des œuvres originales à voir sur Internet.
Dans chaque matériel : ciment, plâtre, pâte de verre, marbre, faïence, céramique, vitrail, peinture,
acier et acier inoxydable, il invente de nouvelles techniques. C'est un pur autodidacte.

Son inspiration : une force psychologique intérieure mêlée à du mystère à tendance surréaliste ou grec.
Son style est très original, inclassable, on pourrait le rapprocher de celui de Picasso.
Après la vie d’artiste à Paris, il s’installe à Cordes sur Ciel en 1994 et travaille dans la démesure.
Dans son atelier-galerie, sa musique vous envoûte car à l'esthétique se mêle un certain mystère avec un brin d’humour.

Sa création : les masques de lumière. En 1999, une exposition et une conférence sont organisées à l’Institut Universitaire de Formation des Maîtres à Paris 17ème par Michel Spitz, directeur d'Art Plastique et animée par le professeur Bertrand Thillier, docteur en histoire de l’art.
D'abord défini comme un « sculpteur de masques », STANKO KRISTIC est aujourd'hui un « sculpteur pluriel ».
Son esprit imaginatif vous agrandira volontiers toute œuvre pour devenir une création monumentale et unique.
En 2014, France2 le filme dans sa Galerie-atelier pour « Le village préféré des Français » avec Stéphane Bern.