La lumière et l'obscurité dans la Cathédrale d'Oxford (1998) Peinture par Paul Dmoch

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  • Œuvre d'art originale Peinture, Aquarelle sur Papier
  • Dimensions Hauteur 39in, Largeur 27,2in
  • Catégories Expressionnisme
la « Vraie lumière », cette illumination qui, portée par le pur et subtil Esprit, doit permettre de dominer la matière. Mais générer la lumière, éclairer au sens propre comme au sens figuré, c’est aussi engendrer l’ombre, et cette dualité universelle, illustrée par le Yin et le Yang, et pour nous F\ M\ par le pavé mosaïque, nous rappelle[...]
la « Vraie lumière », cette illumination qui, portée par le pur et subtil Esprit, doit permettre de dominer la matière.

Mais générer la lumière, éclairer au sens propre comme au sens figuré, c’est aussi engendrer l’ombre, et cette dualité universelle, illustrée par le Yin et le Yang, et pour nous F\ M\ par le pavé mosaïque, nous rappelle l’indissociabilité entre blanc et noir, clarté et obscurité, positif et négatif, connaissance et ignorance. Ces deux pôles apparemment inconciliables sont en fait condamnés à vivre une perpétuelle dynamique de liaison/opposition, lumière et ombre étant « Les deux éternelles voies ».

Ce thème de la lumière et des ténèbres se décline le plus souvent par l’opposition de l’une aux autres. Le monde est envisagé comme composé de deux parties distinctes qui constamment se heurtent mais aussi se complètent en une opposition féconde, dualité que Spinoza traduit par : « Lux seipsam et tenebras manifestat » (La manifestation de la lumière manifeste les ténèbres).

Dans ce combat permanent entre ombre et lumière, entre esprit et matière, entre matérialisme et spiritualité, l’équilibre s’opère lorsqu’il y a fusion entre les deux, quand l’esprit avec force, sagesse et beauté, illumine la matière, quand le compas recouvre l’équerre nous permettant de rompre le cercle d’ombre qui nous entoure et d’aller jusqu’au bout de notre potentialité créative.

« Perdu dans les ténèbres à la croisée des chemins… Que la lumière nous éclaire » nous dit le Rituel. Notre quête à la recherche des ces « voies éternelles du monde » va donc nous entrainer de l’ombre à la lumière, de la matière à l’esprit, du profane au sacré. Pour pénétrer dans la lumière il va nous falloir découvrir et explorer tous les chemins possibles. Nous allons alors découvrir que « l’âme du monde » n’est pas d’une essence différente de la nôtre.

Mais avant de partir sur les traces de Zarathoustra explorer « Ces chemins de lumière entourés d’ombres épaisses », afin d’approcher les Vérités essentielles, il convient de définir les concepts « d’ombre » ou ténèbres et de « lumière » et d’envisager leur interaction inséparable.

Ombre et lumière s’opposent depuis la nuit des temps et se partagent notre monde intérieur ; « Il n’y a pas de lumière sans ombre ! » et pas un être humain sans sa part d’ombre. C’est ce que pensait Jung qui, dans le cadre de son analyse psychologique de l’Homme, envisage que nous soyons tous porteurs, en nous-mêmes, d’une part d’ombre. C’est cette part d’ombre qui est à l’origine de « l’éternel antagonisme qui impose au sujet de se confronter à ce qu’il veut ignorer de lui-même… ». C’est cette « lumière noire », ce « Midi obscur », considérés par la mystique de l’Islam comme « l’ombre de Dieu », que le psychiatre suisse qualifie de « notre double inversé ». C’est la face obscure de notre personnalité, notre ombre intérieure, qui renferme l’ensemble de nos traits de caractères cachés. L’ombre de notre personnalité serait en quelque sorte notre « frère jumeau caché dans les profondeurs de notre inconscient ».

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Etre un artiste n'est pas quelque chose que l'on décide. C'est un état d'esprit. Ce n'est pas un choix.... De l'obscurité jaillit la lumière J'ai connu les deux extrêmes, la lumière comme[...]

Etre un artiste n'est pas quelque chose que l'on décide. C'est un état d'esprit. Ce n'est pas un choix....

De l'obscurité jaillit la lumière
J'ai connu les deux extrêmes, la lumière comme l'obscurité. Ces extrêmes sont des pôles qui vont ensemble ... ils sont une force motrice l'un pour l'autre, pourrait-on dire. La vie semble faite d'opposés ... la lumière et l'obscurité. Les sentiments qu'elles suscitent semblent contraires, mais il y a une connexion cachée entre elles. Elles ne peuvent fonctionner l'une sans l'autre. L'expérience de lumière n'est possible qu'en vivant l'absence de lumière, et par contraste avec son contraire, l'obscurité. L'art est la seule véritable expression des sentiments du voyage infini au plus profond de soi-même. Pour moi c'est une métaphore de l'éternelle recherche de l'équilibre entre ces deux éléments fondamentaux de l'existence humaine.

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