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Zurück zur Liste Hinzugefügt am 22.07.2014

mes exposition et participations graffs

Expositions récentes depuis ma reprise d’activité artistique :

Décembre 2012 : mise en place en Guyane (Médiathèque de Kourou) d’une résidence d’artiste avec Tchif artiste Africain Béninois et exposition collective où je présente seulement deux œuvres remarquées par Lobie Cognac artiste guyanais de renommée internationale qui m’encourage à poursuivre mes recherches lors d’une visite à mon atelier.

2013 : exposition individuelle lors du festival « musique en bwa » de Kourou avec performance

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2014 : exposition individuelle au théâtre de Macouria lors de son festival  du 23 au 25 mai. C’est lors de cette exposition que le DRAC de Guyane fait savoir son désir de me subventionner.

2014 : exposition collective ( collectif Gaï’rt) lors de sa soirée acoustique Pos son Bèt en Bwa du samedi 31 mai.

 

 

 

2014 : exposition   collective ( collectif Gaïa’rt) au Fort Diamant de Rémire Montjoly ( Guyane) du 21 juin au 11 juillet 2014. J’ai pu présenter une quarantaine d’œuvres . C’est lors du vernissage que Le Dac et son chargé de mission art plastique remarquent de nouveau mon travail.  Egalement la Galerie LAVAG  de Cayenne( seule galerie en Guyane) me propose d’exposer mon travail afin de le valoriser et de le mettre en vente.

http://guyane.la1ere.fr/emissions/jt-guyane émission  journal télévisé soir du 3 juillet 2014, reportage dans lequel j’ai eu l’opportunité de présenter brièvement une partie de mon travail. Pour trouver cette émission il faut faire une recherche dans les archives du journal TV du soir à la date du 3 juillet.

 

Participation à la création de graff :

2014 :   Participation à la création d’un graff sur la façade de l’association ne plus jeter à Cayenne en collaboration avec Kalouf artiste graffeur lyonnais de renom.

Préparation GRAFF de la Façade de Ne plus jeter

ARTICLE PARU SUR GUYAWEB LE 23 AVRIL 2014

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Le graff s’expose

Culture |  Publié le 23/04/2014 à 15H02 | Par : Marion Briswalter

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Avant de diriger dans quelques jours des ateliers de création dans le cadre du Festival des cultures urbaines de Saint-Laurent, Kalouf, graffeur lyonnais de renom a posé ses valises et ses bombes de peinture à Cayenne, à l’invitation de l’association kouroucienne Les amis d’encrage, pour animer une courte résidence street art qui débouchera sur la création d’une fresque à la Crique, sur le mur extérieur de la ressourcerie Ne plus Jeter.

Sept graffeurs «  novices  » qui dans la majorité ont néanmoins l’habitude de tremper leur patte dans l’acrylique se sont inscrits à l’atelier. Depuis ce mercredi après-midi et jusqu’à jeudi, ils investissent les bords du canal Laussat pour composer un travail collectif extérieur. «  L’idée est de faire pratiquer le graff. On va essayer de coller au lieu mais pas que, c’était là toute la difficulté. On n’est pas là pour décorer mais pour pratiquer la bombe. Les gens ne doivent pas s’attendre à un truc de fou  !  » cadre le prof.

A partir de samedi, Kalouf interviendra pour la septième fois à Saint-Laurent, où il asperge depuis plusieurs années ses conseils techniques et sa vision de la portée street art. Son travail et celui de ses anciens stagiaires peut par exemple être aperçu au CCML. Malgré la dimension «  cultures urbaines  » dans laquelle baigne la capitale de l’Ouest, le graff reste toujours assez peu visible dans l’espace public. «  Ça a du mal à prendre mais il y a le souci du prix de la bombe et il n’y a pas de boutiques  ». Des bombes à prix d’or, un comble pour cet «  art des pauvres  »  !

A Cayenne, c’est plus ou moins la même situation, les graffiti restent bien timides et les murs nus. Un collectif encore dans l’œuf, Gaïart, s’est promis de propager «  l’art pour tous  ». Réunis autour de «  l’émulation, du partage, de l’échange des techniques  », les plasticiens présenteront leur première exposition du 21 juin au 15 juillet à la Poudrière à Cayenne, sous l’intitulé Multiportraits. Cheminant, d’ici quelques mois, certains promettent aussi de faire fleurir sur les murs des centre-villes, couleurs et égratignures.

 

 2014 : 17 et 18 mai 2014 Participation à la création du Graff de la librairie Guyalire de Cayenne

2015: exposition collective sur le thème: le dessous des vêtement sous l'égide de l'association Ne plus jeter.

Par Catherine Lama

Publié le 17/05/2014 | 18:30, mis à jour le 17/05/2014 | 18:32

Quand la responsable d'une librairie numérique "Guyalire" décide de donner vie à la façade de son immeuble, elle fait appel à un collectif d'artistes graffeurs. Ils étaient 7 ce samedi à peindre l'immeuble situé avenue de la Liberté à Cayenne.

 

© CL

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La librairie "Guyalire" est voisine du grand hangar de l'association "Ne plus jeter" qui a récemment subi un lifting coloré réalisé par des graffeurs. De quoi donner l'idée à Elodie Pradel de faire la même chose pour sa librairie numérique.
Alors ce samedi de mai, chaud et ensoleillé, ils sont 7 juchés sur un échafaudage à peindre au pinceau et à la bombe cette façade d'immeuble qui était grise et triste. Sur la base d'un projet commun qui répond au voeu de la commanditaire sans brimer l'élan artistique, les couleurs parme, jaune, blanche donnent à la mi-journée, un tout autre aspect à ce bout de l'avenue de la liberté face au canal Laussat presque asséché et rempli de boue verdâtre.


Faire mieux connaître le Street art

C'est Sofia Besson, spécialisée dans le montage de projets artistiques, qui a mis en musique l'opération avec l'équipe de "Guya  art".

 

 Les peintres ont le samedi pour réaliser cette fresque et l'enthousiasme est au rendez-vous. Une expérience similaire avait été menée avec succès au "Skate parc" du quartier de Mirza toujours à Cayenne. Elle est ravie de montrer les résultats du street art qui n'est pas très connu et ne jouit pas toujours d'une belle image. Réunir les artistes, les faire se connaître et travailler ensemble cela crée une émulation et rend possible la réalisation de beaux projets.
 
Processus de création

Il existe selon moi deux grandes catégories d’artistes : ceux qui prévoient tout à l’avance  ( dessins, formes, compositions, couleurs, techniques etc.) et ceux qui se laissent conduire par la toile et qui sont en cela autant spectateur qu’acteur dans le processus de création. J’appartiens à cette deuxième catégorie. C’est à partir de quelques tâches de couleurs ou de quelques formes surgissant de collages de papiers froissés que je me laisse guide par le mystère de la création  Bien sûr, ce constat pourrait être nuancé tant celui qui contrôle peut , au fil de la création, devenir spectateur et en cela modifier quelque peu son orientation initiale, l’inverse étant vrai pour celui qui se laisse conduire par les « accidents », les hasards, et j’ajouterais plus surement par ce qui est  inscrit dans l’ici et le maintenant.

 

Deux orientations, deux styles

Mon travail a pris deux orientations différentes. Un travail  relié à l’expressionnisme avec force  matière  et un travail apparenté à celui de la figuration libre où la couleur prédomine. Il m’apparaît en effet que l’objet ne peut pas toujours supporter le même style et que malgré soi il impose ses exigences pour se dire.

Ma recherche sur la matière consiste pour certains tableaux  à coller sur toile du papier  froissé et à utiliser les aspérités ainsi obtenues pour réaliser à l’aérosol des reliefs généralement terminés à la peinture acrylique pour placer les espaces lumineux et jouer ainsi sur les valeurs. Il m’arrive aussi sur ces tableaux d’y ajouter de la mousse expansive pour marquer encore plus les reliefs et donner ainsi à voir une œuvre en 3D .

Pour d’autres tableaux expressionnistes je travaille avec un fond en papier froissé et pour les formes avec du ciment. Ces tableaux sont donc réalisés sur un support en bois. J’utilise alors aérosol et acrylique pour apposer les couleurs.

Mon deuxième travail s’exprime sur toile et est plus dans la lignée de la figuration libre. J’utilise ici également l’aérosol , l’acrylique et les poscas soit comme matériau premier, soit comme matériau  me permettant d’accentuer  le mouvement  par des traits que j’affectionne particulièrement lors de l’élaboration de mon travail.

 

Artmajeur

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