Dolive
Yves Deville (alias « dolive ») est un jeune peintre né en Seine et Marne, il y a….euhh.ben oui, bientôt 55 ans…
Tout d’abord engagé dans la Marine Nationale (suite, en grande partie, au brusque décès de son père), il se rend compte très rapidement, que, bien que très bon marin il est un militaire exécrable, et c’est après de multiples épreuves qu’il parvient à se faire radier (au bout de 5 ans, quand même !).Il passe ensuite quelques années de sa vie en « recherches personnelles » passant du guitariste à Amsterdam au monteur câbleur en région parisienne, de baba cool en Ardèche à bucheron en Ariège, pour se retrouver, quelque temps plus tard monteur en climatisation à Moscou…C’est là , qu’il rencontre une citoyenne Russe, qu’il épouse en 1979.
De retour en France avec sa petite famille, il repart tout d’abord en Arabie Saoudite, puis au Sultanat d’Oman…Devenu, au fil des ans, technicien metteur au point en climatisation, de nouveaux contrats l’emmènent dès lors en Algérie, au Kenya, en Côte d’ivoire, en Egypte…
Déclaré (ou reconnu ?) séropositif en 1987, suite à un dépistage volontaire (amené par une vie quelque peu tumultueuse et débridée…), il apprend simultanément la grossesse d’une de ses anciennes compagnes avec qui il avait entretenu, quelque mois auparavant, une liaison coupable, dirons nous…
Là, le ciel semble lui tomber sur la tête, et Yves décide d’aller « s’exiler » à l’île de la Réunion, chez un vieil ami pour y réfléchir*.
Après avoir contracté plusieurs maladies opportunistes (tuberculose, méningite, cancer, pour ne citer que les plus connues), difficile de se réinsérer dans le monde du travail après un « trou » de plus de 10 ans, et un capital physique revu à la baisse. Aussi, une nouvelle reconversion s’avérait nécessaire, et Yves ayant toujours eu la fibre artistique (de nombreux petits dessins, croquis, peintures, se retrouvent ça et là chez des amis ou dans des endroits où il est passé), il décida de s’adonner à la peinture (majoritairement d’influence surréaliste).
C’est un peu par hasard (mais qu’est ce le hasard ?), qu’il fit la connaissance d’une jeune femme qui peu à peu allait changer, et même, n’ayons pas peur des mots, bouleverser sa vie. (Mais cela est une autre histoire…)
Tout d’abord lors de rencontres fortuites, (pas tant que ça, en fait), à l’hôpital, puis progressivement d’une manière moins impersonnelle, leurs échanges s’intensifièrent…
Yves appris dès lors avec plaisir les gestes, les rudiments de la technique qu’il ignorait ou que lui faisait se révéler celle qui allait devenir sa Muse, elle, qui avait en sa possession un lourd bagage d’artiste confirmée…C’est ainsi qu’il pu commencer à se laisser aller , sans complexe, à s'exprimer sur la toile.
Il participa aussi, avec Frédérique M. (donc et ainsi, pour ne pas la nommer) au fonctionnement d’une association (1901) donnant des cours de peinture principalement à des enfants. Cours hebdomadaires, expos annuelles….)
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Biography
Yves Deville (alias « dolive ») est un jeune peintre né en Seine et Marne, il y a….euhh.ben oui, bientôt 55 ans…
Tout d’abord engagé dans la Marine Nationale (suite, en grande partie, au brusque décès de son père), il se rend compte très rapidement, que, bien que très bon marin il est un militaire exécrable, et c’est après de multiples épreuves qu’il parvient à se faire radier (au bout de 5 ans, quand même !).Il passe ensuite quelques années de sa vie en « recherches personnelles » passant du guitariste à Amsterdam au monteur câbleur en région parisienne, de baba cool en Ardèche à bucheron en Ariège, pour se retrouver, quelque temps plus tard monteur en climatisation à Moscou…C’est là , qu’il rencontre une citoyenne Russe, qu’il épouse en 1979.
De retour en France avec sa petite famille, il repart tout d’abord en Arabie Saoudite, puis au Sultanat d’Oman…Devenu, au fil des ans, technicien metteur au point en climatisation, de nouveaux contrats l’emmènent dès lors en Algérie, au Kenya, en Côte d’ivoire, en Egypte…
Déclaré (ou reconnu ?) séropositif en 1987, suite à un dépistage volontaire (amené par une vie quelque peu tumultueuse et débridée…), il apprend simultanément la grossesse d’une de ses anciennes compagnes avec qui il avait entretenu, quelque mois auparavant, une liaison coupable, dirons nous…
Là, le ciel semble lui tomber sur la tête, et Yves décide d’aller « s’exiler » à l’île de la Réunion, chez un vieil ami pour y réfléchir*.
Après avoir contracté plusieurs maladies opportunistes (tuberculose, méningite, cancer, pour ne citer que les plus connues), difficile de se réinsérer dans le monde du travail après un « trou » de plus de 10 ans, et un capital physique revu à la baisse. Aussi, une nouvelle reconversion s’avérait nécessaire, et Yves ayant toujours eu la fibre artistique (de nombreux petits dessins, croquis, peintures, se retrouvent ça et là chez des amis ou dans des endroits où il est passé), il décida de s’adonner à la peinture (majoritairement d’influence surréaliste).
C’est un peu par hasard (mais qu’est ce le hasard ?), qu’il fit la connaissance d’une jeune femme qui peu à peu allait changer, et même, n’ayons pas peur des mots, bouleverser sa vie. (Mais cela est une autre histoire…)
Tout d’abord lors de rencontres fortuites, (pas tant que ça, en fait), à l’hôpital, puis progressivement d’une manière moins impersonnelle, leurs échanges s’intensifièrent…
Yves appris dès lors avec plaisir les gestes, les rudiments de la technique qu’il ignorait ou que lui faisait se révéler celle qui allait devenir sa Muse, elle, qui avait en sa possession un lourd bagage d’artiste confirmée…C’est ainsi qu’il pu commencer à se laisser aller , sans complexe, à s'exprimer sur la toile.
Il participa aussi, avec Frédérique M. (donc et ainsi, pour ne pas la nommer) au fonctionnement d’une association (1901) donnant des cours de peinture principalement à des enfants. Cours hebdomadaires, expos annuelles….)
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- Nationality: FRANCE
- Date of birth : 1953
- Artistic domains:
- Groups: Contemporary French Artists
Influences
Education
Artist value certified
Achievements
Activity on Artmajeur
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Article
Quelques maximes en guise de philosophie :
- La vérité, c'est ce qui continue d'exister lorsqu'on a cessé d'y croire...
- On ne devrait pas laisser les intellectuels jouer avec les allumettes...
On peut pas rêver mieux, non ?
Un peu, (beaucoup )de moi même, par lui même...
Yves Deville (alias « dolive ») est un jeune peintre né en Seine et Marne, il y a….euhh.ben oui, bientôt 55 ans…
Tout d’abord engagé dans la Marine Nationale (suite, en grande partie, au brusque décès de son père), il se rend compte très rapidement, que, bien que très bon marin il est un militaire exécrable, et c’est après de multiples épreuves qu’il parvient à se faire radier (au bout de 5 ans, quand même !).Il passe ensuite quelques années de sa vie en « recherches personnelles » passant du guitariste à Amsterdam au monteur câbleur en région parisienne, de baba cool en Ardèche à bucheron en Ariège, pour se retrouver, quelque temps plus tard monteur en climatisation à Moscou…C’est là , qu’il rencontre une citoyenne Russe, qu’il épouse en 1979.
De retour en France avec sa petite famille, il repart tout d’abord en Arabie Saoudite, puis au Sultanat d’Oman…Devenu, au fil des ans, technicien metteur au point en climatisation, de nouveaux contrats l’emmènent dès lors en Algérie, au Kenya, en Côte d’ivoire, en Egypte…
Déclaré (ou reconnu ?) séropositif en 1987, suite à un dépistage volontaire (amené par une vie quelque peu tumultueuse et débridée…), il apprend simultanément la grossesse d’une de ses anciennes compagnes avec qui il avait entretenu, quelque mois auparavant, une liaison coupable, dirons nous…
Là, le ciel semble lui tomber sur la tête, et Yves décide d’aller « s’exiler » à l’île de la Réunion, chez un vieil ami pour y réfléchir*.
Après avoir contracté plusieurs maladies opportunistes (tuberculose, méningite, cancer, pour ne citer que les plus connues), difficile de se réinsérer dans le monde du travail après un « trou » de plus de 10 ans, et un capital physique revu à la baisse. Aussi, une nouvelle reconversion s’avérait nécessaire, et Yves ayant toujours eu la fibre artistique (de nombreux petits dessins, croquis, peintures, se retrouvent ça et là chez des amis ou dans des endroits où il est passé), il décida de s’adonner à la peinture (majoritairement d’influence surréaliste).
C’est un peu par hasard (mais qu’est ce le hasard ?), qu’il fit la connaissance d’une jeune femme qui peu à peu allait changer, et même, n’ayons pas peur des mots, bouleverser sa vie. (Mais cela est une autre histoire…)
Tout d’abord lors de rencontres fortuites, (pas tant que ça, en fait), à l’hôpital, puis progressivement d’une manière moins impersonnelle, leurs échanges s’intensifièrent…
Yves appris dès lors avec plaisir les gestes, les rudiments de la technique qu’il ignorait ou que lui faisait se révéler celle qui allait devenir sa Muse, elle, qui avait en sa possession un lourd bagage d’artiste confirmée…C’est ainsi qu’il pu commencer à se laisser aller , sans complexe, à s'exprimer sur la toile.
Il participa aussi, avec Frédérique M. (donc et ainsi, pour ne pas la nommer) au fonctionnement d’une association (1901) donnant des cours de peinture principalement à des enfants. Cours hebdomadaires, expos annuelles….)
Pour finir, et pour vous « éclairer », c’est en hommage à son épouse (restée séronégative mais décédée il y a quelques années d’un cancer du foie) qu’Yves signe ses toiles des lettres « i » et « v » retranscrites en alphabet cyrillique, ce qui nous donne un « N » inversé et un « B »….
*_Aux dernières nouvelles, il serait toujours en train de réfléchir, c’est bon signe, non ?