Buissonnières

Premières cuissons Raku de 2016 !

J'ai profité d'une journée de temps sans pluie pour faire mes premières cuissons Raku de 2016 !

8 pièces à cuire : 6 résultats acceptables, 2 pièces moins réussies, pas de casse de cuisson, ni de manipulation.

Je suis content : j'avais besoin de nouvelles pièces pour de futures et proches expositions !

Il est encore temps de souhaiter une excellente année 2016 ! 

Je vous souhaite du bonheur, et les petits bonheur de la création artisitique !

There is still time to wish an excellent year 2016! 

I wish you happiness, and small happy hours of the artistic creation !

Je partcipe avec beaucoup d'autres à cette exposition ...

Une première cuisson de pièces sculptées en 2016 ... Il s'agit de la cuisson de biscuitage. Elles sont maintenant en attente d'engobage sur cuit, d'émaillage, de cuisson Raku et d'enfumage ... Il me faut attendre une journée sèche sans pluie !

Ganesh

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Vérat alangui

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Gli Amanti di Verona

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Mon ange gardien est fatigué !

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Le Rayonnant (déjà engobé à cru)

Un élan artistique très fédérateur...

Les connaissez-vous ? Bien sûr, il y a des «piliers » comme le sculpteur Jean Divry, Guy L'Hostis (peintre de la marine) ou la famille Ollivier-Henry
avec Yvon, Anne-Marie ou Erwan en sculpture ou peinture. Mais le vivier artistique paimpolais bénéficie aussi d'inspirations moins connues mais
précieuses et de qualité.
Malo de la Fouchardière symbolise cet ancrage avec l'arrivée progressive de nouvelles signatures comme Agnès Pormenté (pastel), Joël Le Jeune (cartes marines), Le Mansec, Romain Etterlen (peintre), Gérard Tonneau (céramiste, lire par ailleurs) ou Ségolène Cavelot (lire par
ailleurs).
Ce Paimpol artistique (NDLR : il y manque des noms incontournables comme celui d'Alain Le Nost) s'appuie aussi sur la création photographique à l'image de Quyen ou de Monique Mélo.
Samedi et dimanche, tous ces artistes ont non seulement ouvert les portes de leurs ateliers, mais ils ont aussi ouvert leurs coeurs et leurs sensibilités créatrices. « Il faut soutenir et valoriser le travail des artistes, inciter le public à pousser la porte des ateliers, voilàce qui nous a poussés à organiser cet événement », a insisté Brigitte Le Saulnier,
vendredi soir lors du vernissage de cette 2e édition. L'adjointe aux affaires culturelles n'a pas caché qu'autour de Paimpol, d'autres artistes manifestaient leur envie de rejoindre le mouvement... Rendez-vous donc en 2016, à une autre échelle sans doute.
Ph. P

C'était une nouveauté de 2015, en plus d'accueil le public dans leurs ateliers, les artistes ont
pris part à l'exposition collective à la Halle.lundi 26 octobre 2015
Journal Ouest-France du lundi 26 octobre 2015
Edition : Lannion-Paimpol - Rubriques : Paimpol

La Mère des Singes, pendant le vernissage ...

Un élan artistique très fédérateur...
Les connaissez-vous ? Bien sûr, il y a des «piliers » comme le sculpteur Jean Divry,Guy L'Hostis (peintre de la marine) ou la famille Ollivier-Henryavec Yvon, Anne-Marie ou Erwan en sculpture ou peinture. Mais le vivier artistique paimpolais bénéficie aussi d'inspirations moins connues mais précieuses et de
qualité.
Malo de la Fouchardière symbolise cet ancrage avec l'arrivée progressive de nouvelles signatures comme Agnès Pormenté (pastel), Joël Le Jeune (cartes marines), Le Mansec, Romain Etterlen (peintre), Gérard Tonneau (céramiste, lire par ailleurs) ou Ségolène Cavelot (lire par ailleurs).
Ce Paimpol artistique (NDLR : il y manque des noms incontournables comme celui d'Alain Le Nost) s'appuie aussi sur la création photographique à l'image de Quyen ou de Monique Mélo.
Samedi et dimanche, tous ces artistes ont non seulement ouvert les portes de leurs ateliers mais ils ont aussi ouvert leurs coeurs et leurs sensibilités créatrices. « Il faut soutenir et valoriser le travail des artistes, inciter le public à pousser la porte des ateliers, voilà ce qui nous a poussés à organiser cet événement », a insisté Brigitte Le Saulnier, vendredi soir lors du vernissage de cette 2e édition. L'adjointe aux affaires culturelles n'a pas caché qu'autour de Paimpol, d'autres artistes manifestaient leur envie de rejoindre le mouvement... Rendez-vous donc en 2016, à une autre échelle sans doute.
Ph. P
Tous droits réservés.

lundi 26 octobre 2015
Journal Ouest-France du lundi 26 octobre 2015
Edition : Lannion-Paimpol - Rubriques : Paimpol

Un élan est donné. 

Ce week-end, la 2e édition des « portes ouvertes » sur les ateliers d'artistes a confirmé son intérêt. Le vivier est riche, prometteur et à
soutenir. Découvertes avec deux « nouveaux ».

À peine débarqué de Quintin où il a encore ses fours, Gérard Tonneau a rejoint le bel équipage des artistes paimpolais, embarqué dans cette 2e édition des « Portes ouvertes ». Frappé d'un coup de foudre pour Paimpol et pour l'abbaye de Beauport dont il est voisin (36, rue de Beauport), le sculpteur - céramiste faisait donc partie des « découvertes » possibles de l'édition 2015.
Ceux qui ont poussé sa porte n'ont pas pu être déçus. En plus du talent, l'artiste a le sens de l'accueil et du partage. « Je m'y suis mis en 2009. Ce fut comme une révélation. Depuis, ça me passionne, confie-t-il tout en moulant une nouvelle pièce. Inlassablement, il est prêt à tout dire de son travail et de ses echerches. Et pas question de feindre. « De la terre modelée à l'objet fini, il y a une transformation extraordinaire. Une alchimie que je recherche. Il y a quelque chose qui se rapproche de l'accouchement et on ne sait jamais complètement à quoi va ressembler le bébé. » Sa technique de cuisson de l'émail raku s'inscrit ntimement dans cette démarche créatrice. Passionné par la frontière entre l'homme, ses origines et l'animal, Gérard Tonneau prépare une exposition sur les « Hominidés
». Fils de mineur et enfant des corons du Nord, il veut aussi que sa démarche « reste accessible et populaire. » L'art ouvert à tous et sur tous. C'était bien dans l'esprit du weekend...

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Philippe PÉRON.
Tous droits réservés.
 

L'allumage du four Raku (à gaz)

Première cuisson terminée : les pièces sont à 1000° ...

Sortie du four, premier choc thermique : la pièce passe de 1000° à la température ambiante (10°)

Les trois pièces sont en choc thermique, une dizaine de minutes ...

Sortie de l'enfumage.

Deuxième cuisson.

Après l'enfumage.

Troisième cuisson.

Après le 1er choc thermique, avant l'enfumage ....

A la sortie de l'enfumage.

Ce matin, je suis allé vite fait ouvrir mon four : je voulais voir le dragon que j'avais enfourné la veille ! Ouf ! Il n'est pas cassé, et les couleurs me plaisent. J'espère qu'il plaira à ses commanditaires !

Cela me donne de l'énergie pour de nouvelles aventures à l'engobe !

Des amis, producteurs de cidre et de spiritueux, m'ont commandé une sculpture de dragon. Le logo qu'ils ont choisi pour commercialiser leurs produits est un dragon. Ils souhaitent pouvoir disposer d'une sculpture apparentée à ce logo. Je me suis donc mis au travail, à modeler mon premier dragon. Après plusieurs heures, je n'étais pas mécontent du résultat et j'ai laissé la pièce commencer à sécher.

Compte tenu de la complexité et de la fragilité du dragon, je n'ai pas souhaité utiliser la technique du raku pour son apparence finale. Cette dernière, par la violence du choc thermique et par l'utilisation des grosses pinces sur la pièce incandescente, me paraissait trop dangereuse ...  J'ai fait le choix de colorer la pièce à l'engobe (argile délayée et colorée par des oxydes et des sels)  puis de la recouvrir d'un émail craquelé transparent, pour une cuisson plus sécurisée dans le four électrique. Le dragon avait séché quelques jours et je souhaitais le couvrir d'engobe avant qu'il ne soit complètement sec et avant sa première cuisson (celle du biscuitage). Hélas, à trop manipuler la pièce en lui appliquant l'engobe, celle-ci a fini par éclater dans mes mains.

Deux jours plus tard, après avoir surmonté ma déception, je me suis remis à l'ouvrage. Le modelage achevé, cette fois-ci, j'ai décidé de laisser la pièce sécher plus longtemps et de la biscuiter (première cuisson) avant de la recouvrir d'un engobe prévu pour être utilisé sur du "cuit". C'est donc un dragon d'un blanc immaculé qui est sorti du four.

La pièce a changé d'aspect une fois recouverte par l'engobe ... La seconde cuisson est prévue dans deux jours ! A suivre !