Tableau de Loge d'apprenti (2024) Peinture par Alexandre H.
Vendu par Alexandre H.
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Vendu par Alexandre H.
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Œuvre d'art originale (One Of A Kind)
Peinture,
Acrylique
sur Toile
- Dimensions Hauteur 55,1in, Largeur 39,4in
- État de l'œuvre L'oeuvre est en parfait état
- Catégories Expressionnisme Spiritualité
L’élément principal du tableau est un Temple, peut-être celui que chaque franc-maçon doit s’efforcer d’élever à la vertu. Réplique symbolique de celui de Salomon, on y accède en gravissant trois marches, entourées des colonnes J et B. Pour l’Apprenti, ces marches sont le symbole de l’élévation.
Étudier sa symbolique doit permettre à chaque Apprenti franc-maçon de cultiver sa lumière personnelle afin de la faire rayonner pour soi et pour les autres. En France et en Angleterre au XVIIIe siècle, le tableau de Loge se plaçait sur le sol, sur lequel il fut d’abord dessiné à la craie ou au charbon de bois puis effacé soigneusement à la fin des travaux. Une sorte de pratique maçonnique plus récente veut qu’en France on ne puisse marcher sur le tableau de Loge.
Le tableau d’Apprenti comprend : les deux colonnes surmontées de grenades encadrant une porte ; un pavé mosaïque ; une pierre brute ; une pierre cubique à pointe ; l’Équerre et le Compas, la Perpendiculaire et le Niveau ; le Maillet et le Ciseau, la Planche à Tracer. Il est encadré par une corde à nœuds et les quatre points cardinaux y sont indiqués
Au centre du Temple, sur le sol, se trouve un dallage rectangulaire, aux dalles alternativement noires et blanches, appelé Pavé Mosaïque. C’est sur le Pavé Mosaïque qu’à l’ouverture des travaux on étend le tableau de Loge.
Le tableau de Loge est une invitation au voyage : un voyage initiatique. Il répond à des codes précis suivant les rites pratiqués. Sa mise en place fait l’objet d’un rituel : on l’installe à l’ouverture des travaux, et on le désinstalle à la fermeture. L’objet et le lieu participent de ce qu’il y a de moins accessible au profane, car, essentiels lors du travail maçonnique, ils sont soustraits au regard en dehors des tenues. Par ailleurs, le tableau est situé au centre de la Loge, donc dans un lieu où il est visible par tous les Frères et Sœurs comme un repère qu’il n’est pas possible de quitter des yeux, et dans un lieu consacré dont l’espace n’est jamais parcouru lors des déambulations de celles et ceux qui se déplacent dans l’Atelier. Cette localisation centrale nous rappelle analogiquement que c’est au plus profond de soi-même, qu’on puise le moyen d’avancer et de grandir. À ce propos, une distinction assez claire entre l’exotérisme et l’ésotérisme est que le premier propose de se tourner vers des supports extérieurs sacralisés alors que le second invite à trouver le sacré dans notre propre intériorité. Dans une bonne complémentarité, le premier représente le symbole de ce que révèle le second ; c’est toute la différence qui existe entre le mot et l’idée ou entre le symbole et ce qu’il évoque.
Thèmes connexes
Jean Pierre HUE dit Alexandre H. est né en 1949, il vit et travaille à BREST Finistère .
Il participe à de nombreuses expositions en France et à l'étranger et Salons (AAF BRUXELLES, ARTMETZ, PULS'ART, MAC 2000, ZURICH international Art Fair...)
Adresse:
Jean-Pierre HUE
57 boulevard Jean Moulin
29200 BREST
(06 31 99 39 52)
N° inscription Maison des artistes : H218829
N° SIRET : 481 745 164
2019-2024: Une série sur les sens le fait renouer avec une recherche ancienne sur la traduction des sensations liées aux sens ( Le goût - l'odorat - le toucher ) en couleurs, traits, rythmes ...
2010 - 2019 : Ces derniers travaux regroupés dans une série intitulée " Construction-Déconstruction- Reconstruction" proposent des sculptures polygonales en verre acrylique et vitrophanie en quelque sorte des vitraux en trois dimensions.
2002 - 2010 : Depuis 2002, Alexandre H. a renoncé à la toile pour peindre sur support transparent et lisse (verre, plexiglas, vinyle...). Il utilise la très ancienne technique de la peinture à l'envers sur verre.
Il l'a adaptée pour produire également des peintures sous plexiglas.
L'un et l'autre procédés répondent chez lui à un besoin de mise en chantier de la profondeur dans les champs de la perspective et de multiplication des plans pour une lecture plurielle de l'œuvre.
1990 - 2002 : Durant cette période, l’ intérêt pour la réalité humaine, le dépassement de cette réalité, l’amènent à interpréter les corps, à les traiter en profondeur , à écorcher les apparences tout en conservant une lisibilité au sujet et en dépouillant à l’extrême l’environnement du sujet, le décor.
Il poursuit ainsi sa recherche sur la troisième dimension dans le plan, tout en refusant le trompe l’œil ou la perspective.
Cette période a produit toute une série de réalisations : d’une part, des travaux à thématique érotique intitulés « écorchés tendrement affectifs » ; d’autre part, des œuvres traitant des événements du temps, tout en développant un regard original sur la société et sur les sujets d’actualité.
1980 - 1989 : Ingénieur de formation, il développe durant cette période un rapprochement entre art et sciences, notamment par la création de l’association HOLOVISION . (L’holographie utilise l’interférométrie laser pour enregistrer et projeter des scènes en trois dimensions).
Ces années sont consacrées à la réalisation et à l’exposition d’hologrammes de grandes dimensions.
L’ arrêt de la fabrication de plaques holographiques de grandes dimensions par Eastman Kodak interrompt cette création.
1975 - 1980 : Son travail se situe dans la tendance de l’abstraction poétique et lyrique.
Il participe à des expositions dans différentes villes, en France : Brest, Paris, Lyon, Aix en Provence et à l’étranger: Kiel, Karlsruhe, Saarbrücken, Washington.
A signaler une exposition personnelle importante au Palais des Arts de Brest en mars 1977.
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Nationalité:
FRANCE
- Date de naissance : 1949
- Domaines artistiques: Oeuvres d’artistes professionnels,
- Groupes: Artiste professionnel Artistes Contemporains Français
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