通过购买选项租赁Kalizae的作品“ Star Light-No Sens ”
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常见问题
What are the advantages of leasing works of art?
- Financial Flexibility: You can enjoy exceptional, high-value works of art without a large initial investment.
- Tax Benefits: Receive potential tax benefits as rents can be deducted as a business expense.
How are the prices of monthly payments for leasing works of art set?
- The costs depend on the value of the work, the duration of the leasing contract, and any services included such as installation.
Can we buy the work after the leasing period?
- Yes, on ArtMajeur leasing contracts offer a purchase option at the end of the contract, allowing customers to acquire the work at a determined price (residual value).
How are the safety and insurance of works managed?
- Insurance during the duration of the rental contract is the responsibility of the customer. It is therefore important to check the details of your insurance contract to be sure that your leased works are covered in the event of damage.
What are the conditions for terminating the leasing contract before its end?
- Unless there are specific conditions, leasing contracts for works of art commit the client to payment of the entire price of the work; payments are therefore due until the end of the lease.

关于作者
Cinq éléments guident cette quête , non comme des symboles, mais comme des partenaires concrets dans le processus de création :
L’eau, fluide originel, modèle l’aléatoire. Elle suit la pente, épouse l’obstacle, creuse sans bruit. Elle est le mouvement, le glissement, l’adaptation.
Le métal, ici l’aluminium, résiste puis cède. Il conserve la mémoire de l’écoulement, fige l’instant où la matière hésite entre solidité et liquide.
Le bois, socle ou matrice, oppose sa densité organique. Il est le repère, la trace du vivant, la racine. Il structure sans enfermer.
Le feu initie la transformation. Il n’est pas destructeur mais révélateur. Il rend la matière malléable, incandescente, prête à renaître autrement.
L’air, enfin, invisible et omniprésent, pénètre les interstices. Il fait vibrer le vide, souffle entre les formes, révèle les contours par son passage.
Ce processus est une chorégraphie lente entre l’intention et le lâcher-prise. L’artiste ne modèle pas seulement la matière : il compose avec ce qui lui échappe. Il offre des résistances, puis observe. Il sculpte des passages, des creux, des équilibres instables.
Sous la surface visible, entre les méandres et les replis secrets, une topologie souterraine s’impose, instinctive, organique, libre. Ici, l’aluminium ne se laisse pas dominer : il devient fluide, presque vivant. Il coule, se répand, hésite, contourne. Comme une lave refroidie en pleine course ou une rivière souterraine cherchant sa voie dans les failles du monde, il suit son propre chemin gravitationnel.
Ne pas imposer pas la forme, l’écouter. Ériger des obstacles, non comme des barrières, mais comme des invitations au détour, à la bifurcation lente, à l’accident fécond. L’aluminium ralentit, se tord, se fige parfois, ou stagne dans un silence dense. Chaque œuvre naît de cette tension entre l’incontrôlable et l’intention, entre la main et la matière, entre le plein et ce qui échappe.
Ce travail n’est pas un geste figé mais une cartographie mouvante de l’invisible : une géographie intérieure où le vide est guide, où le contour donne sens à ce qui n’est pas là. Une sculpture à lire comme on lit les strates d’une roche ou les sédiments d’un souvenir.
Dans cette démarche, la matière ; aluminium, lave, eau, suit sa logique propre. Elle est libre, soumise à la gravité, à l’imprévisible, à l’érosion du temps. Ne pas contraindre : juste guider, proposer, laisser faire. Et c’est dans cette cohabitation subtile entre intention et hasard que naît une œuvre faite autant de silence que de forme.
Ainsi naît une topologie du vide, une cartographie souterraine où le regard ne se pose plus sur les volumes, mais les traverse. Une œuvre qui invite à percevoir autrement : à lire le silence, à écouter le souffle, à reconnaître la force de l’invisible et si voir, c'était reconnaitre les contours du vide?
Et si le plein n’était que le décor de l’invisible ?
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