通过购买选项租赁Richard Savic的作品“ Processus Phase 24 ”
Richard Savic的画图可通过购买选项进行租赁
选择您的每月还款额:
索取租赁信息 "Processus Phase 24"
联系我们, 融资专家将在24小时内回复您:
常见问题
What are the advantages of leasing works of art?
- Financial Flexibility: You can enjoy exceptional, high-value works of art without a large initial investment.
- Tax Benefits: Receive potential tax benefits as rents can be deducted as a business expense.
How are the prices of monthly payments for leasing works of art set?
- The costs depend on the value of the work, the duration of the leasing contract, and any services included such as installation.
Can we buy the work after the leasing period?
- Yes, on ArtMajeur leasing contracts offer a purchase option at the end of the contract, allowing customers to acquire the work at a determined price (residual value).
How are the safety and insurance of works managed?
- Insurance during the duration of the rental contract is the responsibility of the customer. It is therefore important to check the details of your insurance contract to be sure that your leased works are covered in the event of damage.
What are the conditions for terminating the leasing contract before its end?
- Unless there are specific conditions, leasing contracts for works of art commit the client to payment of the entire price of the work; payments are therefore due until the end of the lease.

关于作者
Biographie
Richard Savic est né à Paris, le 7 janvier 1968, de parents yougoslaves. Très tôt il est attiré par l’expression artistique. D’abord initié à la chanson, cette passion va le conduire à l’opéra de Nantes (1980). Remarqué par Odette Lhoste, il sera conduit à acquérir une formation de chanteur-comédien. Il va aussi s’initier à la danse, apprendre la diction, le chant, et se produira sur scène à Nantes (1983), et à Limoges (1984-1985).
Il quitte Nantes et retourne s’installer à Paris. Coiffeur, il se tourne vers le domaine du spectacle. Il apprend le métier de perruquier de théâtre aux ateliers DENIS POULAIN puis à la COMEDIE FRANCAISE (1986-1989). Il se met ensuite au service d’artistes tels que Pjilippine Leroy Beaulieu, André Dussolier , Claude Rich et Claude Brasseur, Annie Girardot . Parallèlement à cette activité il continue à dessiner, à peindre et à écrire tout en poursuivant son travail d’exploration vocale dans la classe de JEAN NIROUET chanteur haute-contre et suit également les cours de la chanteuse DANIELLE LICARI. Il se lance dans un travail vocal plus expérimental. Il invente des sons, enregistre des essais vocaux en travaillant sur les cris, les sons gutturaux et diphoniques. L’esprit militant, il revendique sa "différence" et s’engage dans la lutte contre le SIDA au sein de l’association « AIDES » où il reçoit une formation de volontaire (1988—1989).
De retour à Nantes il travaille comme perruquier de 1992 à 1995. En 1993 il fonde l’association « Chrome, Parasites et Couleurs » et organise durant deux années consécutives le festival « Théâtre, Vies et Musiques » dans le quartier de la Manufacture des tabacs. Il fait la rencontre de LUCE COURVILLE présidente et fondatrice du groupe de réflexion sur la toxicomanie et s’engage dans le groupe.
Une autre rencontre va le marquer profondément, il aura la chance de retenir l’attention d’un très grand artiste, acteur de cinéma, comédien, mais aussi sculpteur et dessinateur : JEAN MARAIS. Richard lui avait écrit, Jean Marais lui avait répondu et commença alors un échange qui va tisser entre le jeune homme et le vieil homme une merveilleuse amitié. Cette amitié lui inspire un roman dont il a publié le premier tome aux éditions Maïa "PROCESSUS la métamorphose de Vlad" .
De 1999 à 2003 Richard expose ses œuvres à Nantes et Saint Brévins les Pins.
Depuis 2010 Richard aborde une nouvelle phase de son travail pictural et d'écriture (une écriture qu'il qualifie d'habitée) et qui interroge sur l’identité ainsi que sur la représentation du monstre intérieur. Ce thème de la déconstruction et de l’effondrement qu’il qualifie « d’ouvert sur d’innombrables possibles » lui est particulièrement cher, car il touche aussi à l’essence même de son origine Yougoslave qu’il revendique fortement aujourd’hui. Il espère présenter ses nouvelles œuvres à BELGRADE, ville qu’il considère comme celle d’un retour à son propre recommencement.