Toutes les oeuvres de Jerkou Slimane
Bouquet de rêves aux couleurs d'un passé lointain • 19 oeuvres
Voir tout
Art Amazigh Bouquet de rêves aux couleurs d'un passé lointain
Offre gratuit : 30 EURO
1) Œuvre sur[...]
Art Amazigh Bouquet de rêves aux couleurs d'un passé lointain
Offre gratuit : 30 EURO
1) Œuvre sur Toile
- Format 80 cm / 50 cm
- Prix = 150 Euro
Avec une attestation d’authenticité
2) Reproductions Photo :
- Tirage grande qualité sur papier mate duré de vie 80 ans
- Dépêche gratuit par voie postale dans un tube plastique spécial
- Format standard 45/30 cadre disponible sur le marché
- Prix : 30 EURO
Avec une attestation
GSM : 212 - 362627750
fax : 212 - 535589121
Offre gratuit : 30 EURO
1) Œuvre sur Toile
- Format 80 cm / 50 cm
- Prix = 150 Euro
Avec une attestation d’authenticité
2) Reproductions Photo :
- Tirage grande qualité sur papier mate duré de vie 80 ans
- Dépêche gratuit par voie postale dans un tube plastique spécial
- Format standard 45/30 cadre disponible sur le marché
- Prix : 30 EURO
Avec une attestation
GSM : 212 - 362627750
fax : 212 - 535589121
PEINTURE SUR TOILE 01 • 26 oeuvres
Voir tout
Offre gratuit : 30 EURO
1) Œuvre sur Toile
- Format 60 cm / 40 cm
- Prix = 190 Euro[...]
Offre gratuit : 30 EURO
1) Œuvre sur Toile
- Format 60 cm / 40 cm
- Prix = 190 Euro
Avec une attestation d’authenticité
2) Reproductions Photo :
- Tirage grande qualité sur papier mate duré de vie 80 ans
- Dépêche gratuit par voie postale dans un tube plastique spécial
- Format standard 45/30 cadre disponible sur le marché
- Prix : 30 EURO
Avec une attestation
GSM : 212 - 62627750
fax : 212 - 35589121
1) Œuvre sur Toile
- Format 60 cm / 40 cm
- Prix = 190 Euro
Avec une attestation d’authenticité
2) Reproductions Photo :
- Tirage grande qualité sur papier mate duré de vie 80 ans
- Dépêche gratuit par voie postale dans un tube plastique spécial
- Format standard 45/30 cadre disponible sur le marché
- Prix : 30 EURO
Avec une attestation
GSM : 212 - 62627750
fax : 212 - 35589121
PEINTURE SUR TOILE 02 • 25 oeuvres
Voir tout
Offre gratuit : 30 EURO
1) Œuvre sur Toile
- Format 60 cm / 40 cm
- Prix = 180 Euro[...]
Offre gratuit : 30 EURO
1) Œuvre sur Toile
- Format 60 cm / 40 cm
- Prix = 180 Euro
Avec une attestation d’authenticité
2) Reproductions Photo :
- Tirage grande qualité sur papier mate duré de vie 80 ans
- Dépêche gratuit par voie postale dans un tube plastique spécial
- Format standard 45/30 cadre disponible sur le marché
- Prix : 30 EURO
Avec une attestation
GSM : 212 - 62627750
fax : 212 - 35589121
1) Œuvre sur Toile
- Format 60 cm / 40 cm
- Prix = 180 Euro
Avec une attestation d’authenticité
2) Reproductions Photo :
- Tirage grande qualité sur papier mate duré de vie 80 ans
- Dépêche gratuit par voie postale dans un tube plastique spécial
- Format standard 45/30 cadre disponible sur le marché
- Prix : 30 EURO
Avec une attestation
GSM : 212 - 62627750
fax : 212 - 35589121
Sérigraphie SUR TOILE • 14 oeuvres
Voir tout
Offre gratuit : 30 EURO
1) Œuvre sur Toile
- Format 60 cm / 40 cm
- Prix = 150 Euro[...]
Offre gratuit : 30 EURO
1) Œuvre sur Toile
- Format 60 cm / 40 cm
- Prix = 150 Euro
Avec une attestation d’authenticité
2) Reproductions Photo :
- Tirage grande qualité sur papier mate duré de vie 80 ans
- Dépêche gratuit par voie postale dans un tube plastique spécial
- Format standard 45/30 cadre disponible sur le marché
- Prix : 30 EURO
Avec une attestation
GSM : 212 - 62627750
fax : 212 - 35589121
1) Œuvre sur Toile
- Format 60 cm / 40 cm
- Prix = 150 Euro
Avec une attestation d’authenticité
2) Reproductions Photo :
- Tirage grande qualité sur papier mate duré de vie 80 ans
- Dépêche gratuit par voie postale dans un tube plastique spécial
- Format standard 45/30 cadre disponible sur le marché
- Prix : 30 EURO
Avec une attestation
GSM : 212 - 62627750
fax : 212 - 35589121
Spéciale Mouvement Amazighe • 17 oeuvres
Voir tout
Offre gratuit : 30 EURO
1) Œuvre sur Toile
- Format 60 cm / 40 cm
- Prix = 140 Euro[...]
Offre gratuit : 30 EURO
1) Œuvre sur Toile
- Format 60 cm / 40 cm
- Prix = 140 Euro
Avec une attestation d’authenticité
2) Reproductions Photo :
- Tirage grande qualité sur papier mate duré de vie 80 ans
- Dépêche gratuit par voie postale dans un tube plastique spécial
- Format standard 45/30 cadre disponible sur le marché
- Prix : 30 EURO
Avec une attestation
GSM : 212 - 62627750
fax : 212 - 35589121
1) Œuvre sur Toile
- Format 60 cm / 40 cm
- Prix = 140 Euro
Avec une attestation d’authenticité
2) Reproductions Photo :
- Tirage grande qualité sur papier mate duré de vie 80 ans
- Dépêche gratuit par voie postale dans un tube plastique spécial
- Format standard 45/30 cadre disponible sur le marché
- Prix : 30 EURO
Avec une attestation
GSM : 212 - 62627750
fax : 212 - 35589121
Influences d’actualité • 13 oeuvres
Voir toutSpécial Haut Atlas Oriental • 12 oeuvres
Voir toutIMA-HAGHA-ALI • 20 oeuvres
Voir tout
Je viens de cette âme
qui est à l'origine de toutes les âmes
je suis de ce village
qui est le village[...]
Je viens de cette âme
qui est à l'origine de toutes les âmes
je suis de ce village
qui est le village de ceux qui sont sans village
Le chemin de ce village n'a pas de fin
Va, perds tout ce que tu as,
c'est cela qui est le tout."
« La vérité est un miroir tombé de la main de Dieu et qui s'est brisé. Chacun en ramasse un fragment et dit que toute la vérité s'y trouve »
« Ta tâche n'est pas de chercher l'amour, mais simplement de chercher et trouver tous les obstacles que tu as construits contre l'amour »
Les saints sont des hommes ou des femmes distingués dans les diverses traditions religieuses par leur relation particulière avec le divin et leur élévation spirituelle.
L'impact d'un saint dépasse souvent l'espace de sa religion propre, quand son rayonnement moral apparaît comme universel : c'est le cas, par exemple, de Gandhi guide spirituel de l'Inde ou Mère Teresa bienheureuse du catholicisme, ainsi que, jusqu'à un certain point, de tous les fondateurs de grandes religions.
Mais si la plupart des religions de l'Inde ont volontiers des tendances syncrétistes, ce n'est pas le cas des trois monothéismes occidentaux (judaïsme, christianisme, islam) où la sainteté se conçoit dans le cadre d'une appartenance communautaire ou sacramentelle. Le sunnisme et le protestantisme refusent même la notion de saint et le culte porté à des personnes humaines. Cela n'empêche cependant certaines branches soufistes hétérodoxes et chiites d'avoir développé, en marge de l'islam officiel et savant, un culte fervent autour des tombeaux des saints.
Les saints sont des hommes ou des femmes distingués dans les diverses traditions religieuses par leur relation particulière avec le divin et leur élévation spirituelle.
L'impact d'un saint dépasse souvent l'espace de sa religion propre, quand son rayonnement moral apparaît comme universel : c'est le cas, par exemple, de Gandhi guide spirituel de l'Inde ou Mère Teresa bienheureuse du catholicisme, ainsi que, jusqu'à un certain point, de tous les fondateurs de grandes religions.
Mais si la plupart des religions de l'Inde ont volontiers des tendances syncrétistes, ce n'est pas le cas des trois monothéismes occidentaux (judaïsme, christianisme, islam) où la sainteté se conçoit dans le cadre d'une appartenance communautaire ou sacramentelle. Le sunnisme et le protestantisme refusent même la notion de saint et le culte porté à des personnes humaines. Cela n'empêche cependant certaines branches soufistes hétérodoxes et chiites d'avoir développé, en marge de l'islam officiel et savant, un culte fervent autour des tombeaux des saints.
La ville de taroudannt est l’une des plus anciennes médinas marocains ayant participé à l’animation de la vie intellectuelle dans le souss, vue ce rôle, les monuments de cette cité doivent entretenus et conservés puisqu’il ferment une source d’histoire et d’authenticité.
I- Facteurs responsables de la détérioration des monuments :
1-L’enceinte : (son importance historique et les causes de sa détérioration).
Selon le témoignage d’IBN AZZAYAT dans la biographie qu’il a réservé au saint ABOU MOHAMED SALEH BEN OUANDALOUSS (SIDI OU SIDI) décédé vers 592h, la ville de TAROUDANT fut entourée d’une muraille, qui faisait partie du dispositif défensif aménagé par les Almoravides pour mettre fin aux attaques des tribus berbères de l’Anti-Atlas et du Haut Atlas. Il est historiquement attesté que l’enceinte de Taroudannt remonte au 16éme siècle/10éme siècle (h), quand le souverain MOHAMED ECKEIKH procéda à sa restauration, et à la rénovation de la ville (en 935h).
La muraille mesurait à l’époque de son aménagement 7.250m de hauteur et entre 1.50 et 4.00m de largeur. La Kasbah sultanienne s’étend sur une superficie de 50.000m2 et se situe à l’angle Nord-Est de la ville.
De même, cette muraille est pourvue de cinq fameuses portes.
Bab Silsila (l’actuel Bab El Kasbah) qui était l’entrée des sultans.
Bab Zorgan, Bab Targhount (bab El-Ghazw), Bab Ouled Bounouna et Bab Lakhmiss.
Comme la pierre faisait défant dans la région, l’enceinte était construite en terre battue (pisé) associée à de la chaux.
Quant aux fondations de la muraille, elle est construite avec du béton cydopeen mélangé au moellon. Cette forte maçonnerie contribue certainement au soutènement de l’enceinte, selon le témoignage de TAMANARTI.
qui est à l'origine de toutes les âmes
je suis de ce village
qui est le village de ceux qui sont sans village
Le chemin de ce village n'a pas de fin
Va, perds tout ce que tu as,
c'est cela qui est le tout."
« La vérité est un miroir tombé de la main de Dieu et qui s'est brisé. Chacun en ramasse un fragment et dit que toute la vérité s'y trouve »
« Ta tâche n'est pas de chercher l'amour, mais simplement de chercher et trouver tous les obstacles que tu as construits contre l'amour »
Les saints sont des hommes ou des femmes distingués dans les diverses traditions religieuses par leur relation particulière avec le divin et leur élévation spirituelle.
L'impact d'un saint dépasse souvent l'espace de sa religion propre, quand son rayonnement moral apparaît comme universel : c'est le cas, par exemple, de Gandhi guide spirituel de l'Inde ou Mère Teresa bienheureuse du catholicisme, ainsi que, jusqu'à un certain point, de tous les fondateurs de grandes religions.
Mais si la plupart des religions de l'Inde ont volontiers des tendances syncrétistes, ce n'est pas le cas des trois monothéismes occidentaux (judaïsme, christianisme, islam) où la sainteté se conçoit dans le cadre d'une appartenance communautaire ou sacramentelle. Le sunnisme et le protestantisme refusent même la notion de saint et le culte porté à des personnes humaines. Cela n'empêche cependant certaines branches soufistes hétérodoxes et chiites d'avoir développé, en marge de l'islam officiel et savant, un culte fervent autour des tombeaux des saints.
Les saints sont des hommes ou des femmes distingués dans les diverses traditions religieuses par leur relation particulière avec le divin et leur élévation spirituelle.
L'impact d'un saint dépasse souvent l'espace de sa religion propre, quand son rayonnement moral apparaît comme universel : c'est le cas, par exemple, de Gandhi guide spirituel de l'Inde ou Mère Teresa bienheureuse du catholicisme, ainsi que, jusqu'à un certain point, de tous les fondateurs de grandes religions.
Mais si la plupart des religions de l'Inde ont volontiers des tendances syncrétistes, ce n'est pas le cas des trois monothéismes occidentaux (judaïsme, christianisme, islam) où la sainteté se conçoit dans le cadre d'une appartenance communautaire ou sacramentelle. Le sunnisme et le protestantisme refusent même la notion de saint et le culte porté à des personnes humaines. Cela n'empêche cependant certaines branches soufistes hétérodoxes et chiites d'avoir développé, en marge de l'islam officiel et savant, un culte fervent autour des tombeaux des saints.
La ville de taroudannt est l’une des plus anciennes médinas marocains ayant participé à l’animation de la vie intellectuelle dans le souss, vue ce rôle, les monuments de cette cité doivent entretenus et conservés puisqu’il ferment une source d’histoire et d’authenticité.
I- Facteurs responsables de la détérioration des monuments :
1-L’enceinte : (son importance historique et les causes de sa détérioration).
Selon le témoignage d’IBN AZZAYAT dans la biographie qu’il a réservé au saint ABOU MOHAMED SALEH BEN OUANDALOUSS (SIDI OU SIDI) décédé vers 592h, la ville de TAROUDANT fut entourée d’une muraille, qui faisait partie du dispositif défensif aménagé par les Almoravides pour mettre fin aux attaques des tribus berbères de l’Anti-Atlas et du Haut Atlas. Il est historiquement attesté que l’enceinte de Taroudannt remonte au 16éme siècle/10éme siècle (h), quand le souverain MOHAMED ECKEIKH procéda à sa restauration, et à la rénovation de la ville (en 935h).
La muraille mesurait à l’époque de son aménagement 7.250m de hauteur et entre 1.50 et 4.00m de largeur. La Kasbah sultanienne s’étend sur une superficie de 50.000m2 et se situe à l’angle Nord-Est de la ville.
De même, cette muraille est pourvue de cinq fameuses portes.
Bab Silsila (l’actuel Bab El Kasbah) qui était l’entrée des sultans.
Bab Zorgan, Bab Targhount (bab El-Ghazw), Bab Ouled Bounouna et Bab Lakhmiss.
Comme la pierre faisait défant dans la région, l’enceinte était construite en terre battue (pisé) associée à de la chaux.
Quant aux fondations de la muraille, elle est construite avec du béton cydopeen mélangé au moellon. Cette forte maçonnerie contribue certainement au soutènement de l’enceinte, selon le témoignage de TAMANARTI.
Taghlite - Maroc • 11 oeuvres
Voir tout
Offre gratuit : 30 EURO
1) Œuvre sur Toile
- Format 60 cm / 40 cm
- Prix = 130 Euro[...]
Offre gratuit : 30 EURO
1) Œuvre sur Toile
- Format 60 cm / 40 cm
- Prix = 130 Euro
Avec une attestation d’authenticité
2) Reproductions Photo :
- Tirage grande qualité sur papier mate duré de vie 80 ans
- Dépêche gratuit par voie postale dans un tube plastique spécial
- Format standard 45/30 cadre disponible sur le marché
- Prix : 30 EURO
Avec une attestation
GSM : 212 - 62627750
fax : 212 - 35589121
1) Œuvre sur Toile
- Format 60 cm / 40 cm
- Prix = 130 Euro
Avec une attestation d’authenticité
2) Reproductions Photo :
- Tirage grande qualité sur papier mate duré de vie 80 ans
- Dépêche gratuit par voie postale dans un tube plastique spécial
- Format standard 45/30 cadre disponible sur le marché
- Prix : 30 EURO
Avec une attestation
GSM : 212 - 62627750
fax : 212 - 35589121
laksiba Jean Vaugien chef de l'armée française • 6 oeuvres
Voir tout
Le photographe : Jean Vaugien
Jean Vaugien naît le 20 août 1916 à Breurey-les-Faverney (Haute-Saône,[...]
Le photographe : Jean Vaugien
Jean Vaugien naît le 20 août 1916 à Breurey-les-Faverney (Haute-Saône, France). Deux ans plus tard sa famille rejoint le Maroc où son père, officier des Zouaves, était affecté avant la guerre. La famille Vaugien suit ensuite les différentes affectations du père dans les territoires berbères du Maroc. Grâce à son enfance au Maroc Jean Vaugien apprend à connaître le pays, ses habitants, ses langues : l'arabe et surtout le berbère qu'il maîtrise parfaitement. Comme son père il devient officier et est affecté au Maroc dès 1938.
Pendant la Seconde Guerre mondiale il est nommé chef du 14e Goum chérifien, une unité issue d'une tribu berbère du Maroc spécialisée dans les combats en montagne. Il mène brillamment cette unité pendant les campagnes d'Italie, de Provence et d'Alsace. Il y partage la vie rude et les combats de ces farouches guerriers berbères qui ont joué un rôle décisif dans la prise de Monte Cassino. Puis, en Alsace, il rejoint l'État major de la première Armée française où il devient aide de camp du général de Lattre de Tassigny. Aux côtés du chef de l'armée française, il participe à toute la campagne du Rhin au Danube.
Ci-contre, le capitaine Jean Vaugien (à gauche), aide de camp du général de Lattre de Tassigny, chef de la 1ère armée française (à droite). (Remise de décorations à la 1ère Division de la France Libre, Luxeuil, décembre 1944).
Le capitaine Jean Vaugien (à gauche) et le commandant Jean Rousseau, chef du cercle d'El Ksiba (à droite), encadrant des notables de la tribu des Aït Ouirra. (El Ksiba, photo prise entre le 5/2/48 et le 1/7/51).
Rentré au Maroc à la fin de la guerre, il devient officier des affaires indigènes et est affecté début 1948 à El Ksiba dans le moyen Atlas marocain. Jusqu'en août 1951 il assure le commandement du bureau d'El Ksiba. En tant qu'officier des affaires indigènes il doit assurer la sécurité et l'administration de son territoire et en particulier contrôler la tribu berbère des Aït Ouirra. L'administration de ces régions de montagne avait été confiée à l'armée en raison de l'instabilité permanente des tribus berbères qui ne s'étaient jamais totalement soumise. Son rôle est donc de diriger l'administration locale, de maintenir la paix entre les tribus, d'assurer le bon fonctionnement des institutions et de la justice coutumières.
C'est pendant ce séjour, entre juillet 1950 et janvier 1951, qu'il rédige un mémoire sur la tribu dont il a la charge : Évolution d'une tribu berbère du Maroc central, les Aït Ouirra. Ce mémoire aurait pu n'être qu'un travail de commande de l'administration coloniale française. Mais grâce à sa familiarité avec les tribus berbères, Jean Vaugien se livre à un véritable travail d'ethnologue et de géographe. C'est de ce mémoire que sont extraites les photographies présentées ici.
Jean Vaugien poursuit ensuite sa carrière à Paris, en Algérie et en Allemagne et prend sa retraite avec le grade de général. Il est décédé accidentellement le 20 mars 1975 à Mascara (Algérie).
Les photographies
Les photographies de personnes sont les plus intéressante tant d'un point de vue esthétique que d'un point de vue ethnologique. Cependant nous avons tenu à présenter aussi les photographies de paysage par respect pour l'auteur. Nous présentons donc toutes les photographies du mémoire avec les légendes qui ont été données par Jean Vaugien.
Merci de me faire part de vos remarques en m'envoyant un courrier à l'adresse suivante :
Gauthier Langlois, petit-fils du général Vaugien
Jean Vaugien naît le 20 août 1916 à Breurey-les-Faverney (Haute-Saône, France). Deux ans plus tard sa famille rejoint le Maroc où son père, officier des Zouaves, était affecté avant la guerre. La famille Vaugien suit ensuite les différentes affectations du père dans les territoires berbères du Maroc. Grâce à son enfance au Maroc Jean Vaugien apprend à connaître le pays, ses habitants, ses langues : l'arabe et surtout le berbère qu'il maîtrise parfaitement. Comme son père il devient officier et est affecté au Maroc dès 1938.
Pendant la Seconde Guerre mondiale il est nommé chef du 14e Goum chérifien, une unité issue d'une tribu berbère du Maroc spécialisée dans les combats en montagne. Il mène brillamment cette unité pendant les campagnes d'Italie, de Provence et d'Alsace. Il y partage la vie rude et les combats de ces farouches guerriers berbères qui ont joué un rôle décisif dans la prise de Monte Cassino. Puis, en Alsace, il rejoint l'État major de la première Armée française où il devient aide de camp du général de Lattre de Tassigny. Aux côtés du chef de l'armée française, il participe à toute la campagne du Rhin au Danube.
Ci-contre, le capitaine Jean Vaugien (à gauche), aide de camp du général de Lattre de Tassigny, chef de la 1ère armée française (à droite). (Remise de décorations à la 1ère Division de la France Libre, Luxeuil, décembre 1944).
Le capitaine Jean Vaugien (à gauche) et le commandant Jean Rousseau, chef du cercle d'El Ksiba (à droite), encadrant des notables de la tribu des Aït Ouirra. (El Ksiba, photo prise entre le 5/2/48 et le 1/7/51).
Rentré au Maroc à la fin de la guerre, il devient officier des affaires indigènes et est affecté début 1948 à El Ksiba dans le moyen Atlas marocain. Jusqu'en août 1951 il assure le commandement du bureau d'El Ksiba. En tant qu'officier des affaires indigènes il doit assurer la sécurité et l'administration de son territoire et en particulier contrôler la tribu berbère des Aït Ouirra. L'administration de ces régions de montagne avait été confiée à l'armée en raison de l'instabilité permanente des tribus berbères qui ne s'étaient jamais totalement soumise. Son rôle est donc de diriger l'administration locale, de maintenir la paix entre les tribus, d'assurer le bon fonctionnement des institutions et de la justice coutumières.
C'est pendant ce séjour, entre juillet 1950 et janvier 1951, qu'il rédige un mémoire sur la tribu dont il a la charge : Évolution d'une tribu berbère du Maroc central, les Aït Ouirra. Ce mémoire aurait pu n'être qu'un travail de commande de l'administration coloniale française. Mais grâce à sa familiarité avec les tribus berbères, Jean Vaugien se livre à un véritable travail d'ethnologue et de géographe. C'est de ce mémoire que sont extraites les photographies présentées ici.
Jean Vaugien poursuit ensuite sa carrière à Paris, en Algérie et en Allemagne et prend sa retraite avec le grade de général. Il est décédé accidentellement le 20 mars 1975 à Mascara (Algérie).
Les photographies
Les photographies de personnes sont les plus intéressante tant d'un point de vue esthétique que d'un point de vue ethnologique. Cependant nous avons tenu à présenter aussi les photographies de paysage par respect pour l'auteur. Nous présentons donc toutes les photographies du mémoire avec les légendes qui ont été données par Jean Vaugien.
Merci de me faire part de vos remarques en m'envoyant un courrier à l'adresse suivante :
Gauthier Langlois, petit-fils du général Vaugien
Chargement...
Loading...
Contacter Jerkou Slimane
Envoyer un message privé à Jerkou Slimane
Envoyer un message