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Sophie Dogor

Retour à la liste Ajouté le 28 mai 2007

Biographie vue par Mr Mayerus Direction de la DDJS

Ce soir, nous accueillons Sophie DOGOR qui présente ici quelques unes de ces œuvres regroupées dans une exposition au titre évocateur d’« Itinérances ». L’itinérance renvoyant bien sûr à un parcours de vie créative, à une œuvre picturale riche de sa diversité et des émotions qu’elle génère.

S’il faut bien sûr toujours distinguer le moi social du moi artistique et créatif, on rappellera tout d’abord que Sophie, artiste autodidacte, est une jeune mère de famille - ces 2 enfants l’accompagnent ce soir – et qu’elle intervient dans des établissements spécialisés comme animatrice d’ateliers créatifs et de séances de peinture notamment auprès de personnes âgées, atteintes de la maladie d’Alzheimer. Elle contribue ainsi par ses interventions à restaurer des liens relationnels distendus et même à redonner parfois le goût oublié pour certains de la création et, au-delà, celui de la communication.

Elle intervient également en milieu scolaire et notamment dans des établissements du premier et du second degré implantés sur des territoires sensibles. Dans une démarche créative et éducative, elles est parvenue, avec des publics a priori pas toujours réceptifs à l’éducation artistique, à présenter les primitifs niçois (Bréa, Canavesio …), l’art sacré des chapelles de Nice et du Moyen-Pays et même à impliquer ces élèves, parfois récalcitrants, dans la réalisation artistique de peintures murales.

Car, au plan artistique, Sophie Dogor excelle dans l’art de la fresque. Elle a ainsi, depuis 1995, réalisé de nombreuses décorations chez des particuliers, ou dans des salles de spectacle d’exposition, à Monaco notamment (Faux marbre, patine).

En 2003, c’est encore elle qui réalise, à Peille, le chemin de croix à fresques, ou la restauration de la Chapelle de la Coletta, entièrement à fresques, avec peinture sur enduit frais à base de chaux, de sable et de pigments naturels broyés.

2003, c’est également l’année où elle se voit décerner le 1er prix du Patrimoine historique par l’association des Vieilles maisons françaises et le Conseil général des Alpes maritimes.

Mais le travail sur toile constitue aussi l’autre aspect de sa création qu’il s’agisse de reproduction de tableaux d’après les gravures de Gustave Doré ou d’aquarelles qui lui permettent d’exposer à Cannes, à Sainte Agnès, à Nice (au Park Hôtel, à l’Aéroport, en salle des fresques de la Mairie de Nice pour les mois de l’Art sacré) ou encore tout récemment à Saint Paul de Vence.





Ce soir, c’est à la DDJS que Sophie présente, sur des thèmes diversifiés, quelques éléments de son inspiration et de sa vision du monde.

Portraits, paysages vénitiens nimbés d’une lumière ocre, natures mortes intimistes traduisent la diversité du talent de Sophie. Elle peut en effet, pour certaine œuvres, revendiquer ouvertement la modélisation d’un art classique dix huitièmiste très figuratif ou, pour d’autres, celui d’une création beaucoup plus moderne, épuré  Modigliani.

A d’autres moments, mais toujours avec cette constance dans le travail sur la couleur, les tons chauds, la recherche de la transparence, l’inspiration devient plus personnelle, plus intimiste et créatrice d’atmosphère.

Je laisse donc le soin à chacun de parcourir ce déambulatoire, pour découvrir l’univers et la personnalité de cette artiste et ressentir sa sensibilité esthétique et créatrice.








Vernissage Expo Sophie DOGOR
(DDJS 15/05/07)


Nous accueillons Sophie DOGOR qui présente ici quelques unes de ces œuvres regroupées dans une exposition au titre évocateur d’« Itinérances ». L’itinérance renvoyant bien sûr à un parcours de vie créative, à une œuvre picturale riche de sa diversité et des émotions qu’elle génère.

S’il faut bien sûr toujours distinguer le moi social du moi artistique et créatif, on rappellera tout d’abord que Sophie, artiste autodidacte, elle intervient dans des établissements spécialisés comme animatrice d’ateliers créatifs et de séances de peinture notamment auprès de personnes âgées, atteintes de la maladie d’Alzheimer. Elle contribue ainsi par ses interventions à restaurer des liens relationnels distendus et même à redonner parfois le goût oublié pour certains de la création et, au-delà, celui de la communication.

Elle intervient également en milieu scolaire et notamment dans des établissements du premier et du second degré implantés sur des territoires sensibles. Dans une démarche créative et éducative, elles est parvenue, avec des publics a priori pas toujours réceptifs à l’éducation artistique, à présenter les primitifs niçois (Bréa, Canavesio …), l’art sacré des chapelles de Nice et du Moyen-Pays et même à impliquer ces élèves, parfois récalcitrants, dans la réalisation artistique de peintures murales.

Car, au plan artistique, Sophie Dogor excelle dans l’art de la fresque. Elle a ainsi, depuis 1995, réalisé de nombreuses décorations chez des particuliers, ou dans des salles de spectacle d’exposition, à Monaco notamment (Faux marbre, patine).

En 2003, c’est encore elle qui réalise, à Peille, le chemin de croix à fresques, ou la restauration de la Chapelle de la Coletta, entièrement à fresques, avec peinture sur enduit frais à base de chaux, de sable et de pigments naturels broyés.

2003, c’est également l’année où elle se voit décerner le 1er prix du Patrimoine historique par l’association des Vieilles maisons françaises et le Conseil général des Alpes maritimes.

Mais le travail sur toile constitue aussi l’autre aspect de sa création qu’il s’agisse de reproduction de tableaux d’après les gravures de Gustave Doré ou d’aquarelles qui lui permettent d’exposer à Cannes, à Sainte Agnès, à Nice (au Park Hôtel, à l’Aéroport, en salle des fresques de la Mairie de Nice pour les mois de l’Art sacré) ou encore tout récemment à Saint Paul de Vence.


Ce soir, c’est à la DDJS que Sophie présente, sur des thèmes diversifiés, quelques éléments de son inspiration et de sa vision du monde.

Portraits, paysages vénitiens nimbés d’une lumière ocre, natures mortes intimistes traduisent la diversité du talent de Sophie. Elle peut en effet, pour certaine œuvres, revendiquer ouvertement la modélisation d’un art classique dix huitièmiste très figuratif ou, pour d’autres, celui d’une création beaucoup plus moderne, épuré  Modigliani.

A d’autres moments, mais toujours avec cette constance dans le travail sur la couleur, les tons chauds, la recherche de la transparence, l’inspiration devient plus personnelle, plus intimiste et créatrice d’atmosphère.

Je laisse donc le soin à chacun de parcourir ce déambulatoire, pour découvrir l’univers et la personnalité de cette artiste et ressentir sa sensibilité esthétique et créatrice.




















SM/DDJS/15-05-07

Artmajeur

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